PATRICK BRUEL

Patrick Bruel très ému soutient un père dans la détresse !

C'est ce matin, à 11h, qu'avait lieu au Press Club de France, la conférence de presse donnée par Noam Shalit, le père de l'otage franco-israélien Gilad Shalit, caporal dans l'armée israélienne, à l'occasion de ses 850 jours de captivité.

Pour mémoire, le jeune homme, âgé de 19 ans au moment des faits, a été enlevé en juin 2006, à la lisière de la bande de Gaza. Ses ravisseurs, trois groupes palestiniens, dont l'un relevant du Hamas, qui contrôle actuellement la bande de Gaza, exigent la libération de plusieurs centaines de prisonniers palestiniens en échange du jeune soldat.

Pour cette conférence, ce papa meurtri a reçu le soutien de deux personnalités influentes : le chanteur Patrick Bruel et Florence Aubenas, elle-même ancienne otage en Irak (pendant cinq mois en 2005).

Noam Shalit a appelé les Français à se mobiliser pour la libération de son fils : "Comme vous l'avez fait pour Ingrid Betancourt (ndlr: libérée le 2 juillet dernier), je vous demande de vous mobiliser pour mon fils qui a lui aussi la nationalité française".

L'homme, qui a précisé que "les négociations [avec les preneurs d'otages] sont actuellement au point mort", leur a demandé de fournir une "preuve de vie".

Un témoignage bouleversant qui n'a pas manqué de toucher Patrick Bruel, défenseur indéfectible de l'état d'Israël, qui avait joué dans le film de Claude Miller, Un secret, sur le thème de la déportation des juifs durant la seconde guerre mondiale.




http://www.purepeople.com

Patrick Bruel à la Star Academy vendredi 7 novembre 2008

Après Miley Cyrus, Akon ou encore Johnny Hallyday vendredi dernier, les élèves de la Star Academy 8 vont être, encore une fois, gâtés vendredi prochain (07/11/2008) sur le prime.
e parrain de cette Star Academy 8 Christophe Maé sera là et devrait passer faire un petit coucou aux élèves dans la semaine et retrouvera Patrick Bruel et Chimène Badi sur le plateau du prime vendredi soir.

Patrick Bruel : nouvelles dates au Casino de Paris

Jeudi 20 novembre 2008
Petit changement de programme dans la (longue) tournée de Patrick Bruel: la date du 8 avril prévue au Casino de Paris est reportée. Mais réjouissez-vous deux nouvelles dates sont programmées le vendredi 10 avril et le samedi 11 avril au même endroit.
Il y aura donc 4 dates en avril au Casino de Paris: les 6, 7, 10 et 11 avril 2009. Les tickets pour les deux dernières dates sont mis en vente depuis ce mercredi 19 novembre.
Patrick Bruel est actuellement en tournée dans toute la France. Au menu, une quarantaine de dates, s'étalant principalement de novembre à janvier 2009.
Magré cet agenda bien chargé, Patrick sera de la partie aux concerts donnés au profit des Restos du coeur. Ces concerts caritatifs se dérouleront du 21 au 26 janvier, au Palais Omnisports de Paris Bercy. Les places seront en vente à partir du mercredi 25 novembre à 9h, dans la région parisienne et par le biais de plateformes téléphoniques. À noter qu'il n'y aura pas d'autres concerts des Enfoirés en 2009.
http://www.ramdam.com

"Le Républicain Lorrain" - 29 Novembre 2008

Patrick Bruel : générosité à Creutzwald, intimité à Thionville


Patrick Bruel se démarque pour le Téléthon à Creutzwald


La dernière fois que vous étiez en Lorraine, vous boucliez votre tournée face à 35 000 personnes en plein air à Nancy. Cette fois-ci, vous revenez pour la première fois seul en scène avec un piano et une guitare. Pourquoi cette envie acoustique ?[/b]«J'avais envie d'essayer. Si je ne le faisais pas maintenant, je crois que je ne l'aurais jamais fait. Le principe était de s'inviter chez les gens avec la guitare et le piano. Comme si je rentrais dans leur salon. L'idée m'est venue suite à une émission au Québec, il y a pile un an. Je me suis retrouvé face à un public sans savoir ce que j'allais faire. Je pensais tenir péniblement une trentaine de minutes. J'ai pratiquement chanté deux heures. Je ne crois pas, en plus, que l'intimité avec une salle dépende de sa taille. Mais cette nouvelle proximité est très intéressante.»

Comment fait-on le choix des chansons ? Pouvez-vous vous permettre de ne pas interpréter certains titres ?
«J'aime chanter Casser la voix, Place des Grands Hommes ou J'te l'dis quand même. Mais c'était aussi l'occasion de me replonger dans mon répertoire et de retrouver des titres plus méconnus comme Est-ce que tu danseras avec moi ou On l'attendait. Ou de reprendre des artistes qui ont été importants pour moi comme Barbara (Vienne) ou David Bowie (Life on mars). Il m'arrive aussi, suivant les dates, de faire The winner takes it all d'Abba, que j'aime beaucoup. Adieu, qui évoque les attentats de New York et de Madrid, avait par exemple une résonance très particulière avec les événements de Bombay. C'est également parfois l'occasion de tester de nouvelles chansons, comme Lequel de nous.»

Patrick Bruel travaillerait-il sur un nouvel album ?
«J'écris, j'ai en même temps un projet au théâtre et un autre au cinéma. Certaines chansons sont déjà prêtes mais je ne veux pas les interpréter sur scène de peur de les retrouver sur le net (Il a repris plusieurs fois des spectateurs qui filmaient avec leurs mobiles : N.D.L.R.). Certains ne comprennent pas que c'est tout simplement du vol. J'ai la chance d'être déjà reconnu. Comment un jeune artiste peut-il aujourd'hui se lancer si son travail est piraté ? Je pense que c'est une question de civisme et d'éducation.»

On vous retrouvera enfin au cinéma le 18 février 2009 dans Le code a changé de Danièle Thompson.
«Un très très joli film (sourire). Et juste après, le 17 mars, pour mon concert aux Arènes de Metz ! (grand sourire).»


Propos recueillis par Paul-Marie PERNET.

Entre deux concerts en Lorraine, Patrick Bruel a participé à Creutzwald à un match de football pour le Téléthon. Ses deux buts en vidéo avant son retour dans la région le 17 mars 2009 aux Arènes de Metz

Patrick Bruel
Le code a changé.



Réalisatrice : Danièle Thompson
Acteurs : Karin Viard, Dany Boon, Marina Foïs, Patrick Bruel, Emmanuelle Seigner, Marina Hands, Christopher Thompson, Patrick Chesnais, Pierre Arditi

Résumé

Un dîner c'est la dictature de l'apparence : on se fait beau, on rit, on raconte, on frime, on partage souvenirs et projets. Les angoisses sont cachées sous l'humour et les chagrins étouffés par les éclats de rire. Et pour quelques heures on y croit ! C'est ça le principal...Si on a le bon code et que l'on respecte les autres, cordialité, hypocrisie, bonne humeur, on risque de passer une bonne soirée... Mais les masques tombent dès le chemin du retour.

Premières photos:

Dix-huit ans après, Bruel nous a donné rendez-vous

vendredi 05.12.2008, 04:48 - La Voix du Nord



Mercredi soir, au Pasino, Patrick Bruel nous a fait retomber en adolescence. PHOTO DIDIER CRASNAULT

| CONCERT |

Blouson en jean, des trombones en bas du pantalon, nous avions 13, 14 ans à peine et nous aimions « Patrick ». Enfants, il nous avait fait rire avec « Marre de cette nana » ou « Tout le monde peut s'tromper ». En 1990, il nous attendrissait en « nous le disant quand même ». À l'âge des premières amours et des doutes...

Nous profitions des heures de permanence pour écouter son album en nous partageant les oreillettes de nos walkmans « autoreverse », le top du modernisme et nous étions fières d'enchaîner sans nous tromper tous les couplets d'Alors regarde. Nos parents laissaient faire, ne voulant pas freiner notre intérêt soudain pour la chanson française jetée au feu par nos aînés. Un père, curieux, avait même accepté de regarder une émission consacrée à Patrick Bruel pour comprendre cet engouement. En l'entendant chanter a capella puis s'accompagner d'une guitare sèche, il s'était étonné : « Il joue et chante bien. Pourquoi crie-t-il la plupart du temps ? » Nous n'avions pas su comment prendre la chose.

Ces fans devenues trentenaires

Et puis nous voilà, dix-huit ans plus tard, assises sur une chaise du Pasino de Saint-Amand. Autour de nous, elles nous ressemblent, ces jeunes femmes d'une trentaine d'années. Les blousons en jean et les trombones fluos ont été rangés depuis belle lurette. Ils ont fait place à des manteaux noirs et à des talons aiguilles. Elles ont grandi et mûri. Parfois, elles se sont mariées, elles ont eu des enfants. L'une d'elles a d'ailleurs son fils dans les bras pour revivre avec lui une partie de son adolescence.
Sur scène, Patrick Bruel a fait « le choix audacieux » d'un concert en acoustique. En ce mercredi soir, il joue à guichets fermés. Il plaisante devant la scène vide et ses trois guitares sèches posées à ses côtés : « On m'avait bien dit de ne pas jouer au poker avec mes musiciens ! » Le chanteur retrace sa vie et c'est un peu la nôtre qui défile. Nous aussi, nous avons eu de grandes amitiés broyées, des ruptures et l'impression de sombrer dans le besoin d'un autre. Nous avons décroché nos posters de Bruel mais à chaque nouvel album, nous avons tendu l'oreille. La preuve : ses mots nous viennent à la bouche comme un automatisme mais nous veillons à ne plus couvrir sa voix. Les « Patriiiiick » qui résonnent ont un goût d'autodérision. « Le public féminin est formidable. Elles chantent, participent... » Elles sont si fidèles que Bruel a accepté de rajouter une date à sa tournée. Le 6 janvier étant déjà complet, il viendra aussi le 5, au Pasino, une salle dont « le plafond est trop bas pour l'ingénieur du son » mais qui agit comme une boîte noire, le révélateur de nos troubles et tendres années.

• DIANE LENGLET
http://www.lavoixdunord.fr