PATRICK BRUEL
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De Patrick Bruel à Zazie, trente artistes pour un triste contre-la-montre...
De Patrick Bruel à Zazie, trente artistes pour un triste contre-la-montre...
Le décompte des jours s'alourdit inlassablement, mais la mobilisation est tout aussi infatigable : otages des talibans depuis fin décembre 2009, lorsqu'ils furent enlevés, ainsi que leurs trois accompagnateurs afghans (Reza, Ghulam et Satar), dans la province de Kapisa, Stéphane Taponier, 48 ans, et Hervé Ghesquière, 47 ans, font l'objet d'une attention indéfectible de la part de tous ceux qui, confrères, célébrités et anonymes, sont outragés par leur sort.
Les manifestations de soutien ne s'épuisent pas et ont lieu dans toute la France, comme le public peut le suivre quotidiennement grâce au site du comité de soutien liberezles.net sous l'égide de Florence Aubenas. A son arrivée à la tête de France Télévisions, Rémy Pflimlin avait marqué sa prise de fonction en faisant placer des portraits géants des deux journalistes de France 3 et du magazine Pièces à Conviction sur la façade du siège du groupe, et affirmé sa volonté de ne pas les abandonner. Il y a quelques jours, le chef d'état-major des armées Édouard Guillaud a fait état de "preuves de vie diverses" reçues par la France, précisant que les deux journalistes "tiennent courageusement le choc".
France Télévisions ne désarme effectivement pas, et enregistre la contribution massive de très nombreux artistes, journalistes et animateurs pour un concert de solidarité exceptionnel qui sera donné lundi 25 octobre, dans la perspective des 300 jours de captivité des otages. Ce concert gratuit, qui se déroulera au Zénith de Paris, sera naturellement retransmis en direct sur France 3 dès 20h35, tandis que TV5Monde en assurera la diffusion internationale, y compris en Afghanistan.
Au plateau, près d'une trentaine d'artistes de premier plan pour cristalliser l'indignation générale : Aaron, Chimène Badi, Amel Bent, BB Brunes, Ben l'Oncle Soul, Patrick Bruel, Calogero, Camélia Jordana, Alain Chamfort, Michel Delpech, Empyr, Grand Corps Malade, Guillaume Grand, Grégoire, David Hallyday, Joyce Jonathan, Bernard Lavilliers, Renan Luce, Christophe Maé, Pony Pony Run Run, Raphaël, Véronique Sanson, Shy'm, Alain Souchon, Stromae, Zazie...
A noter que, dès 18h, une émission spéciale, traduite simultanément dans les langues parlées en Afghanistan, et animée par Laurent Bignolas avec un journaliste de RFI depuis les coulisses du Zénith, sera proposée aux internautes en direct sur france3.fr.
http://www.purepeople.com
Le décompte des jours s'alourdit inlassablement, mais la mobilisation est tout aussi infatigable : otages des talibans depuis fin décembre 2009, lorsqu'ils furent enlevés, ainsi que leurs trois accompagnateurs afghans (Reza, Ghulam et Satar), dans la province de Kapisa, Stéphane Taponier, 48 ans, et Hervé Ghesquière, 47 ans, font l'objet d'une attention indéfectible de la part de tous ceux qui, confrères, célébrités et anonymes, sont outragés par leur sort.
Les manifestations de soutien ne s'épuisent pas et ont lieu dans toute la France, comme le public peut le suivre quotidiennement grâce au site du comité de soutien liberezles.net sous l'égide de Florence Aubenas. A son arrivée à la tête de France Télévisions, Rémy Pflimlin avait marqué sa prise de fonction en faisant placer des portraits géants des deux journalistes de France 3 et du magazine Pièces à Conviction sur la façade du siège du groupe, et affirmé sa volonté de ne pas les abandonner. Il y a quelques jours, le chef d'état-major des armées Édouard Guillaud a fait état de "preuves de vie diverses" reçues par la France, précisant que les deux journalistes "tiennent courageusement le choc".
France Télévisions ne désarme effectivement pas, et enregistre la contribution massive de très nombreux artistes, journalistes et animateurs pour un concert de solidarité exceptionnel qui sera donné lundi 25 octobre, dans la perspective des 300 jours de captivité des otages. Ce concert gratuit, qui se déroulera au Zénith de Paris, sera naturellement retransmis en direct sur France 3 dès 20h35, tandis que TV5Monde en assurera la diffusion internationale, y compris en Afghanistan.
Au plateau, près d'une trentaine d'artistes de premier plan pour cristalliser l'indignation générale : Aaron, Chimène Badi, Amel Bent, BB Brunes, Ben l'Oncle Soul, Patrick Bruel, Calogero, Camélia Jordana, Alain Chamfort, Michel Delpech, Empyr, Grand Corps Malade, Guillaume Grand, Grégoire, David Hallyday, Joyce Jonathan, Bernard Lavilliers, Renan Luce, Christophe Maé, Pony Pony Run Run, Raphaël, Véronique Sanson, Shy'm, Alain Souchon, Stromae, Zazie...
A noter que, dès 18h, une émission spéciale, traduite simultanément dans les langues parlées en Afghanistan, et animée par Laurent Bignolas avec un journaliste de RFI depuis les coulisses du Zénith, sera proposée aux internautes en direct sur france3.fr.
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Patrick Bruel - Champs Elysées le 13 novembre 2010
Après 20 ans d’absence, Champs-Elysées, la célèbre émission de variétés présentée par Michel Drucker revient sur France 2 pour une soirée chic et glamour. Samedi 13 novembre à 20h35.
Comme auparavant,artistes feront leur arrivée au studio Gabriel en voiture avec chauffeur sur la musique de l’inoubliable générique composé par Jean-Pierre Bourthayre et Jean-Claude Petit. Dans un décor somptueux évoquant "Paris by night", nous retrouverons des chanteurs de la nouvelle génération en duo avec des artistes confirmés :
Patrick Bruel,
Camélia Jordana,
Pierre Perret,
Zaz,
Julien Clerc,
Cœur de Pirate,
Charles Aznavour,
Grand Corps Malade,
Début de Soirée,
Alain Delon…
Mais aussi des humoristes : Chevallier et Laspalès, Anne Roumanoff, Nicolas Canteloup, Mathieu Madenian.
On remarquera l'absence d'artistes internationaux.
Nous reverrons également le clip de Michaël Jackson Thriller qui fut diffusé pour la première fois en France en direct dans Champs Elysées. Des images d’archives des précédentes émissions créeront le lien entre Champs Elysées que nous avons connu et Champs Elysées, nouvelle version.
Champs-Elysées, ce fut là que Mylène Farmer a fait sa première télé (Maman a tort). C’est là également que la toute jeune Céline Dion a séduit le cœur du public français. On se souvient aussi du numéro pas très “classieux” de Gainsbourg/Gainsbarre face à Witney Houston, du baiser symbolique de Bernard Giraudeau et Thierry Le Luron, des frasques impayables de Coluche ou encore de Michel Serrault déguisé en sumo...
Comme auparavant,artistes feront leur arrivée au studio Gabriel en voiture avec chauffeur sur la musique de l’inoubliable générique composé par Jean-Pierre Bourthayre et Jean-Claude Petit. Dans un décor somptueux évoquant "Paris by night", nous retrouverons des chanteurs de la nouvelle génération en duo avec des artistes confirmés :
Patrick Bruel,
Camélia Jordana,
Pierre Perret,
Zaz,
Julien Clerc,
Cœur de Pirate,
Charles Aznavour,
Grand Corps Malade,
Début de Soirée,
Alain Delon…
Mais aussi des humoristes : Chevallier et Laspalès, Anne Roumanoff, Nicolas Canteloup, Mathieu Madenian.
On remarquera l'absence d'artistes internationaux.
Nous reverrons également le clip de Michaël Jackson Thriller qui fut diffusé pour la première fois en France en direct dans Champs Elysées. Des images d’archives des précédentes émissions créeront le lien entre Champs Elysées que nous avons connu et Champs Elysées, nouvelle version.
Champs-Elysées, ce fut là que Mylène Farmer a fait sa première télé (Maman a tort). C’est là également que la toute jeune Céline Dion a séduit le cœur du public français. On se souvient aussi du numéro pas très “classieux” de Gainsbourg/Gainsbarre face à Witney Houston, du baiser symbolique de Bernard Giraudeau et Thierry Le Luron, des frasques impayables de Coluche ou encore de Michel Serrault déguisé en sumo...
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Patrick Bruel : «Je fais tout en fonction de mes enfants»
Patrick Bruel : «Je fais tout en fonction de mes enfants»
Le chanteur et comédien s’est confié aux lecteurs du «Parisien» - «Aujourd'hui en France» alors qu’il triomphe au théâtre dans «le Prénom».
ENTRETIEN DIRIGÉ PAR THIERRY DAGUE ET EMMANUEL MAROLLE, AVEC LA COLLABORATION D’ELISABETH KASTLER-LE SCOUR.
THÉÂTRE ÉDOUARD-VII (PARIS IXe), LE 10 FÉVRIER. Tête d’affiche du « Prénom », pièce qui fait un véritable tabac, Patrick Bruel a séduit tous nos lecteurs par sa générosité et sa franchise en n’éludant aucune question. | LP/DELPHINE GOLDZSTEJN.
Seule solution pour attraper Patrick Bruel au vol, entre ses représentations au théâtre, l’écriture de son futur album, les concerts des Enfoirés et le temps consacré à ses deux enfants (Oscar, 7 ans, et Léon, 5 ans) : se rendre au Théâtre Edouard-VII, à Paris, où il joue tous les soirs à guichets
fermés « le Prénom ». SUR LE MÊME SUJET
A la table des CésarsAlors que cette comédie de moeurs fête ce soir sa 150e, le chanteur, comédien, champion de poker, et on en passe, a reçu sept lecteurs du « Parisien » - « Aujourd’hui en France » dans la salle de répétition du théâtre. Malgré la fatigue due à une bronchite tenace, la star reste, à 51 ans, étonnamment juvénile et toujours accessible. Tout en pesant chaque mot, Bruel se livre sur ses passions, ses enfants, ses engagements politiques, confie qu’il chanterait bien un jour au Stade de France, qu’il tournera cet été le film tiré de sa pièce et qu’il place tous ses espoirs en DSK.
> LE THÉÂTRE, LE CINÉMA
MARIE-PIERRE CALVIER. Chanteur, acteur au cinéma, comédien au théâtre, joueur de poker international, père de famille attentif… Vous prenez quoi comme drogue?
PATRICK BRUEL. (Rires). Le plaisir. Tout ce que vous avez dit ne sont que des choses qui me font plaisir. La seule contrainte est de choisir. Depuis quelques années, les priorités sont mes enfants. Je fais tout en fonction d’eux. Ces derniers temps, je m’étais imposé un rythme un peu difficile. J’ai le plaisir de les emmener à l’école le matin, mais avec les horaires de théâtre, ce n’est pas facile. Et comme je ne prends pas de drogue justement, je me suis retrouvé avec la crève!
ESTHER BENJOAR. Après huit ans d’absence, pourquoi avoir décidé de revenir sur les planches?
J’ai attendu, j’ai lu des choses. Et puis en découvrant « le Prénom », c’était une évidence. Comme ça l’est pour tous les gens qui viennent nous voir. Ils sortent de là vraiment heureux, contents. Je n’ai pas encore rencontré de gens qui n’ont pas aimé.
ROBERT BRUGUIER. Comment est née la pièce?
De l’imagination de deux jeunes auteurs qui ont travaillé pour Canal , un peu pour le cinéma en tant que scénaristes, mais jamais pour le théâtre. Je sentais ce qui allait se passer. Je faisais des lectures à la maison. Mes enfants de 5 et 7 ans (NDLR : Léon et Oscar) ont ri exactement aux répliques, ils connaissaient la pièce par cœur. C’est tout public. Cela dit des choses. Cette famille a tellement de non-dits, ses amis ont tellement d’arriérés, tellement de choses enfouies… A la sortie de la salle, je sais que les gens se regardent et se disent : « Tiens au fait, il faudrait que je te dise quelque chose. »
SERGE EDMOND. Ce succès n’empiète-t-il pas sur vos projets?
Forcément, puisque cela devait s’arrêter le 23 janvier et que ça s’arrêtera le 11 juin. C’est un plaisir, on pourrait la jouer quatre ans. Mais je ne pars pas en tournée avec les pièces. C’est un accord tacite que j’ai avec le public : il vient me voir au théâtre à Paris et moi je vais le voir en province pour chanter. J’ai un album à finir. Et puis, la pièce va devenir un film, le scénario vient de se terminer et on va tourner à partir du 20 août.
CLAIRE HUMBERT. En quoi votre personnage, un peu cynique et sûr de lui, vous ressemble-t-il?
Je ne suis pas cynique ni tordu. J’ai des défauts, mais pas ceux-là. En revanche, je suis impulsif. Je me mets en colère un peu vite si je sens quelque chose d’injuste. Je peux réagir très vite. Quand il s’agit de mes enfants… je ne vous en parle pas!
ÉLISE RICHARD. Aimez-vous votre prénom?
Ah, j’adore mon prénom, que m’a donné ma maman. Je le trouve très bien, beaucoup mieux que le prénom que les Guignols m’avaient donné (NDLR : Maurice) et qui, à un certain moment, avait semé une confusion très gênante, voire même indélicate. La plus énervée dans tout ça, c’était ma mère. J’ai juste changé de nom : je suis devenu Bruel officiellement quand j’avais passé plus de temps à être Bruel que Benguigui. Cela avait un sens. J’ai gardé Benguigui derrière pour que mes enfants puissent choisir un jour.
DANIÈLE BERTHELEMY. Quel est le meilleur film de votre carrière?
Ça dépend des jours! Hier soir, je parlais à une amie qui n’avait pas vu « Un secret », et j’ai dit spontanément : c’est mon meilleur rôle. Peut-être que c’est « la Maison assassinée ». Tous les films ont une histoire, ils représentent quelque chose, « l’Union sacrée » marque un moment important, « le Coup de sirocco » aussi, comme « P. R.O.F. S. ».
ROBERT BRUGUIER. Avec qui aimeriez-vous tourner?
Jacques Audiard, Cédric Klapisch, Arnaud Desplechin…
MARIE-PIERRE CALVIER. La réalisation vous tente-t-elle?
Je suis tenté à chaque fois que je fais un film. J’ai envie de raconter, j’aime bien diriger les acteurs, c’est quelque chose que je fais plutôt pas mal. Mais pour mettre deux ans de sa vie dans un film, quand on fait plein de choses comme moi, il faut vraiment que ce soit urgent, voire vital.
> VIE PRIVÉE, FOOT, POKER
ROBERT BRUGUIER. Votre vie privée a été assez médiatisée, comment l’avez-vous vécu?
J’ai pu être harcelé, mais pas beaucoup. J’ai été très content que tout le monde comprenne vite qu’avec les enfants il n’y avait rien à faire. Je serai très très violent et intransigeant là-dessus. A une époque, peut-être que je m’étais un peu trop exposé. Si vous allez avec une fille à Roland-Garros, forcément on va vous prendre en photo.
CLAIRE HUMBERT. Comment gérez-vous votre succès auprès des jeunes femmes?
A la sortie du théâtre, est-ce qu’on vous attend? On m’attend, les gens sont très agréables. On discute, on signe des autographes. Aux concerts, on a eu des petites culottes sur scène, avec des numéros de téléphone. Pas ici, au théâtre, ça ne se fait pas!
SERGE EDMOND. Quel genre de papa êtes-vous?
Un père qui aime passer du temps avec ses enfants, qui les emmène à l’école le matin, va les chercher l’après-midi, reste entre 16h30 et 19h30 avec eux, qui leur donne à manger, le bain, qui fait les devoirs, les couche, prend la voiture et vient au théâtre. Parce que c’est un plaisir extraordinaire. Le fait de ne les avoir qu’une semaine sur deux (NDLR : il a divorcé d’Amanda Sthers il y a trois ans) fait que l’on veut absolument optimiser le temps passé avec eux.
DANIÈLE BERTHELEMY. Emmenez-vous vos enfants voir des matchs du PSG?
Oui, j’emmène les enfants voir les matchs. Ils aiment beaucoup le foot, ils jouent dans un club. Je les emmène quand le Paris Saint-Germain joue à 17 heures le dimanche.
ROBERT BRUGUIER. D’où vient votre passion pour le poker?
Quand j’étais gamin, on jouait aux cartes en famille. Très vite, je me suis intéressé aux jeux de stratégie. Les échecs ont pris beaucoup de place dans ma vie entre 9 et 15 ans, jusqu’à être président du club du lycée Henri-IV, la seule fois de ma vie où j’ai été président de quelque chose! Et puis j’ai joué au poker à la fac, ça arrondissait les fins de mois. Petit à petit, j’ai fait des tournois.
SERGE EDMOND. En tant que joueur, votre compte est créditeur ou débiteur?
Créditeur. Cela se calcule à la fin de l’année, 2010 était très bonne. Janvier est catastrophique. J’ai onze mois pour me rattraper!
ÉLISE RICHARD. Le poker vous procure-t-il autant d’émotions que la chanson ou le théâtre?
C’est différent. Au poker, la charge d’adrénaline est énorme. Quand vous êtes sur scène, pendant deux heures, vous recevez une charge émotionnelle, mais douce. Ce ne sont pas des coups de poing à l’estomac. Je fais beaucoup de choses qui procurent de l’adrénaline : le poker, le tennis, le foot, la chanson, le cinéma. J’ai besoin de ça.
CLAIRE HUMBERT. Quelle est la signification de votre pseudo au poker, P14B?
P et B, vous voyez, et 14 c’est mon chiffre porte-bonheur : ma date de naissance, le numéro de Johan Cruyff, la seule idole que j’ai eue dans ma vie. Le numéro 14 est partout dans ma vie.
ROLAND BRUGUIER. Vous êtes un éternel jeune homme, on dirait que vous ne vieillissez pas.
Merci! Je disais hier : « On a l’âge des parents des copains de nos enfants. » J’aime bien la formule.
> LE PROCHE-ORIENT, LA POLITIQUE
ÉLISE RICHARD. Les événements en Tunisie vous ont touché plus personnellement?
Moi, je ne suis pas de Tunisie, je suis originaire d’Algérie. Mais il y a eu cette chanson « Café des Délices » et j’ai passé beaucoup de temps en Tunisie. J’y ai tourné des films, fait des concerts, j’y suis allé en vacances. C’est touchant de voir les gens se lever pour leur liberté. En même temps, ça peut faire peur, comme je l’avais écrit dans une chanson en 1989 : « Combien de murs se cachent derrière ces murs qui tombent »? Je trouve ça bien que Moubarak et Ben Ali s’en aillent. Mais où sont les leaders qui vont propulser ces pays vers leur destin? Pour l’Egypte, il y a la situation géopolitique, Israël… Le peuple israélien et le peuple égyptien ont tout intérêt à ce qu’il y ait une vraie démocratie en Egypte.
MARIE-PIERRE CALVIER. Que pensez-vous de la politique du gouvernement français?
Je trouve que l’on devrait passer plus de temps à parler de l’Europe. C’est ce destin qui m’intéresse aujourd’hui.
MARIE-PIERRE CALVIER. C’est un peu le bazar en ce moment…
Quand ça n’a pas été le bazar? A part entre 1997 et 2002, quand Jospin était à la manœuvre. J’ai toujours dit : le président a été élu pour cinq ans, faisons le bilan au bout de cinq ans.
SERGE EDMOND. En 2007, vous aviez voté pour la droite?
Oui. Ségolène Royal ne me semblait pas à la hauteur. J’étais convaincu que Sarkozy pouvait faire les choses qu’il avait annoncées. Je ne peux pas douter de sa bonne volonté, mais il y a eu cette crise qui est venue tout fracasser. Et la France est peut-être l’un des pays qui s’en sort le mieux. J’ai envie de penser qu’il fait son possible. Après, il y a eu des erreurs, des maladresses qui ont pu mettre les gens en colère.
ÉLISE RICHARD. Qui est votre candidat préféré pour 2012?
Je pense que Dominique Strauss-Kahn est celui qui peut rassembler la gauche. Si ce n’est pas lui, peut-être François Hollande. Il faut juste se méfier pour 2012 de toute dissension. Tout torpillage interne ne ferait que le jeu de la candidate d’extrême droite. Et je ne voudrais pas, comme beaucoup d’entre nous, revivre le cauchemar du 21 avril 2002.
> LA MUSIQUE
ÉLISE RICHARD. C’est pour quand, votre nouvel album?
J’espère qu’il sera prêt pour la rentrée, ou la fin de l’année. Les chansons sont là, les musiques sont là, il manque quelques textes.
ROBERT BRUGUIER. Yannick Noah ou Johnny Hallyday ont fait le Stade de France, ça vous tente?
Oui! On verra quand l’album sera sorti, si l’on sent que c’est possible… J’y ai chanté avec Johnny, et c’est vraiment très grand, il faut être capable de le remplir.
MARIE-PIERRE CALVIER. A propos de Johnny, êtes-vous toujours en contact avec lui?
Il est venu voir la pièce. Il répète dans cette salle où vous êtes (NDLR : Johnny jouera au Théâtre Edouard-VII en septembre). J’étais ravi de le revoir, c’était la deuxième fois depuis cette triste affaire (NDLR : son hospitalisation à Los Angeles en décembre 2009). Et c’était comme je l’imaginais. C’est-à-dire que je revoyais Johnny, on se regardait dans les yeux, on se tapait dans la main et ça repartait comme avant. Il s’est pris un trac en voyant la pièce. Il était assis dans la salle, et là, il se disait : « Putain, dans huit mois, c’est moi qui y serai! »
ESTHER BENJOAR. Pensez-vous que la Bruelmania existe encore?
(Rires) Je ne sais pas. J’ai rechanté sur scène fin janvier à Montpellier, pour les Restos du cœur : c’était fort. En voyant la réaction des gens, tout le monde m’a dit : « Il est temps que ton album sorte! »
Vous pouvez retrouver la vidéo ici:
http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spectacles/video-patrick-bruel-je-fais-tout-en-fonction-de-mes-enfants-15-02-2011-1316160.php
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Patrick Bruel sur le tournage de « Paris Manhattan » à Paris le 20 avril 2011
Patrick Bruel sur le tournage de « Paris Manhattan » à Paris
Patrick Bruel sur le tournage de « Paris Manhattan », premier film de Sophie Lellouche avec Woody Allen dans son propre rôle et Alice Taglioni dans le rôle d'une ravissante pharmacienne, fan inconditionnelle de Woody Allen.
La sortie du film est prévue en fin d'année. Voici les images du tournage prises ce mercredi après-midi dans le IVe arrondissement de Paris.
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Re: PATRICK BRUEL
Merci pour les photos
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Patrick Bruel, Judith Godrèche, Zoé Félix et les copains illuminent un palace le 30 mai 2010
Patrick Bruel lors de la grande soirée organisée à l'Hôtel de Vendôme, Place Vendôme, à Paris, pour fêter la 100e saison du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, le 30 mai 2010.
Une pléiade de stars du cinéma, de la chanson mais aussi de la télévision se sont donné rendez-vous à l'occasion du lancement de la 100e saison d'été du légendaire palace de la Côte d'Azur, le Grand-Hôtel du Cap-Ferrat.
En effet, hier soir, lundi 30 mai, de retour du Festival de Cannes (et de Tunisie pour certains), plusieurs célébrités avaient rendez-vous à l'Hôtel de Vendôme, à Paris, afin de fêter la 100e saison du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat.
Autour d'Etiennette Clamouze, directrice de l'Hôtel de Vendôme, de nombreuses personnalités sont venues féliciter Marc Leveau, directeur du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, pour la distinction Palace décernée il y a 10 jours au luxueux établissement !
Patrick Bruel, qui sera en concert à Las Vegas le 2 Juillet, Judith Godrèche en pleine promotion du film Low Cost réalisé par son compagnon Maurice Barthélemy, Pierre Arditi et Evelyne Bouix, Daphné Roulier et Antoine de Caunes, Michel Boujenah, Zoé Félix, François-Xavier Demaison, Christophe Dechavanne, Mathilda May, François Berléand, Jonathan Lambert, Rasmus Michau et sa compagne Maria, Christophe Malavoy, qui mettra en scène Mme Butterfly les 24 et 25 juin au Mont Saint Michel, mais aussi les comédiens Stanislas Merhar et Thierry Frémont... Tout ce beau monde a vécu une soirée inoubliable.
Dominant la falaise, avec ses jardins somptueux et sa piscine d'eau de mer chauffée, le Grand-Hôtel du Cap-Ferrat est baigné d'une lumière éblouissante, où le bleu du ciel et de la mer se confondent.
Au coeur d'un maquis préservé aux parfums de cistes, arbousiers, romarins rampants et lavandes, le Palace propose 73 chambres et 24 suites dont 8 suites avec piscine privée à débordement, un spa de 750 m2 donnant sur la mer méditerranée, et trois restaurants dont le célèbre et réputé restaurant Le Cap, qui affiche une étoile.
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Canoë - PATRICK BRUEL - De Paris à Las Vegas le 11 juin 2011
PATRICK BRUEL - De Paris à Las Vegas
© PHOTO C. BOSQUET
Patrick Bruel triomphe depuis des mois, à Paris dans la pièce Le prénom, qui sera adaptée au cinéma. Il présentera, également, le 2 juillet prochain, son premier grand spectacle à Las Vegas. Des centaines de fans français l’accompagneront.
Il invite, d’ailleurs, ses fidèles du Québec à les imiter. Résultat, elle est bien belle, la planète de M. Bruel, même s’il est encore sous le choc de ce qui arrive à sa grande amie Anne Sinclair, l’épouse de Dominique Strauss-Kahn. Au bout du fil, la star a répondu à nos questions en toute sincérité et humilité.
Allons au vif du sujet Patrick Bruel; vous êtes un grand ami d’Anne Sinclair; vous avez sûrement de la peine, pour elle. Que pensez-vous de l’affaire Dominique Strauss-Khan?
Pour moi, c’est très compliqué. Je vais garder mon devoir de réserve parce que, en effet, nous sommes proches. Oui, Anne était à mon anniversaire, ce fameux 14 mai, mais, contrairement à ce qu’on a écrit et dit, elle n’a pas appris la nouvelle chez moi, mais deux heures plus tard, une fois rendue chez elle. Quand elle a quitté, le soir de mon anniversaire, elle allait chercher son mari à l’aéroport. Voilà, on connaît la suite.
Maintenant, j’attends que la justice fasse son travail. Ça a été un choc pour la France entière. On a tous été très affectés. La France, qui se targue de respecter la présomption d’innocence, aurait pu moins faire l’étalage de cette affaire et laisser la justice faire son travail. Quoi qu’il arrive, maintenant, on peut considérer que le mal est fait.
Dangereux, le pouvoir?
Tout comme le succès, le pouvoir donne raison, et, si on ne sait pas bien s’entourer, on risque de frapper le mur. Les politiciens doivent avoir beaucoup, beaucoup d’humilité pour comprendre que le siège est éjectable.
Pourquoi, ce spectacle à Vegas?
Ce sera le 2 juillet, au théâtre Encore de l’hôtel Wynn. Je me suis retrouvé aux côtés du propriétaire, un soir, et il m’a proposé ce spectacle. Au début, je n’y croyais pas. Je chanterai deux chansons en anglais, et ce sera le spectacle acoustique que j’ai présenté dans plusieurs villes, dont chez vous, au Québec. Je trouve cela amusant, de commencer à Vegas, avec ce spectacle qui me ressemble totalement. Peut-être que, un jour, j’en écrirai pour Vegas. On ne sait jamais.
Qu’attendez-vous de cette expérience?
Je ne pourrai jamais rester aussi longtemps que votre Céline nationale. Je vais d’abord vivre ce 2 juillet, et on verra. J’espère vivre un moment de grâce, comme c’est le cas à chacun de mes concerts. Ce sera intéressant, de mélanger mon public français et le public du Québec, à Vegas. Je vois cela comme une bien belle expérience humaine. Je ne pense pas qu’il y aura beaucoup d’Américains, il faut être honnête, mais si je peux un peu leur montrer les choses à ma manière avec mes fans, bien, ce sera génial. Après je ferai la compétition internationale de poker, qui commence le 7 juillet.
Pourquoi, le poker?
J’aime les échecs, donc les jeux de stratégies. Le rapport analytique m’intéresse, de pouvoir choisir, décider. Techniquement, le poker a l’air tout simple, mais c’est très compliqué. Je trouve cela passionnant et je suis très compétitif. C’est très intéressant et gratifiant. J’aime Vegas et ce moment de l’année où il y a ce grand tournoi.
Vous faites rire le Tout-Paris avec ce gros succès de cette pièce Le prénom, au théâtre Édouard.
Nous terminons nos représentations cette semaine, et ce fut extraordinaire. J’aimerais bien la présenter au Québec, mais, là, on l’adopte au cinéma. J’entame le tournage en août. Ce sera réalisé par les auteurs de la pièce, Alexandre de la Patellière et Mathieu Delaporte. Le bouche-à-oreille est tel qu’on pourrait la jouer pendant cinq ans, à guichets fermés. Les 718 places du théâtre Édouard sont remplies chaque soir. La pièce est extraordinaire, et je souhaite la présenter à Montréal et, même, New York.
Je joue Vincent, un héros qui cherche un prénom à son enfant… Tout part d’une réunion de famille; je me retrouve chez ma soeur et je reviens de l’échographie de mon premier bébé, avec ma femme, et voilà que, à partir des prénoms énoncés, les discussions s’animent et on règle des comptes en famille… plus c’est méchant, plus c’est drôle. Un pur moment de bonheur. Les auteurs ont fait un travail formidable. Ils ont 37-38 ans, et la pièce fut un beau hasard pour moi.
Ce métier vous comble-t-il encore passionnément?
Ça fait 33 ans. Je n’ai jamais perdu la boule à cause du succès, heureusement, car je me suis vite dirigé vers ce qui me faisait le plus plaisir. Ce métier change à cause d’Internet, bien sûr, qui a tout révolutionné. Le monde passe maintenant par cet écran, cette toile inouïe, avec ces effets pervers, bien sûr, mais tout ce que ça peut apporter à la société moderne. Ne pas s’adapter à cette nouvelle technologie est une erreur, je crois.
Pour les jeunes artistes qui arrivent sur le marché, c’est très dur, car les compagnies de disques souffrent beaucoup. On a créé un site en France, Allo musique, qui est devenu un véritable tremplin musical. Aujourd’hui, nous sommes obligés de nous tourner vers iTunes et continuer d’éduquer les gens sur ce support. Bien sûr, avec le théâtre et le cinéma, j’ai perdu du temps avec mon prochain album, mais, sûrement, en 2012. Bien sûr, il y a mon rôle de père de famille avec mes garçons de 5 et 7 ans. J’adore être père! C’est formidable!
Rendez-vous, le 2 juillet, à Las Vegas, avec Patrick Bruel, et le Québec attend la pièce Le prénom.
Michelle Coudé-Lord
http://www.canoe.com
© PHOTO C. BOSQUET
Patrick Bruel triomphe depuis des mois, à Paris dans la pièce Le prénom, qui sera adaptée au cinéma. Il présentera, également, le 2 juillet prochain, son premier grand spectacle à Las Vegas. Des centaines de fans français l’accompagneront.
Il invite, d’ailleurs, ses fidèles du Québec à les imiter. Résultat, elle est bien belle, la planète de M. Bruel, même s’il est encore sous le choc de ce qui arrive à sa grande amie Anne Sinclair, l’épouse de Dominique Strauss-Kahn. Au bout du fil, la star a répondu à nos questions en toute sincérité et humilité.
Allons au vif du sujet Patrick Bruel; vous êtes un grand ami d’Anne Sinclair; vous avez sûrement de la peine, pour elle. Que pensez-vous de l’affaire Dominique Strauss-Khan?
Pour moi, c’est très compliqué. Je vais garder mon devoir de réserve parce que, en effet, nous sommes proches. Oui, Anne était à mon anniversaire, ce fameux 14 mai, mais, contrairement à ce qu’on a écrit et dit, elle n’a pas appris la nouvelle chez moi, mais deux heures plus tard, une fois rendue chez elle. Quand elle a quitté, le soir de mon anniversaire, elle allait chercher son mari à l’aéroport. Voilà, on connaît la suite.
Maintenant, j’attends que la justice fasse son travail. Ça a été un choc pour la France entière. On a tous été très affectés. La France, qui se targue de respecter la présomption d’innocence, aurait pu moins faire l’étalage de cette affaire et laisser la justice faire son travail. Quoi qu’il arrive, maintenant, on peut considérer que le mal est fait.
Dangereux, le pouvoir?
Tout comme le succès, le pouvoir donne raison, et, si on ne sait pas bien s’entourer, on risque de frapper le mur. Les politiciens doivent avoir beaucoup, beaucoup d’humilité pour comprendre que le siège est éjectable.
Pourquoi, ce spectacle à Vegas?
Ce sera le 2 juillet, au théâtre Encore de l’hôtel Wynn. Je me suis retrouvé aux côtés du propriétaire, un soir, et il m’a proposé ce spectacle. Au début, je n’y croyais pas. Je chanterai deux chansons en anglais, et ce sera le spectacle acoustique que j’ai présenté dans plusieurs villes, dont chez vous, au Québec. Je trouve cela amusant, de commencer à Vegas, avec ce spectacle qui me ressemble totalement. Peut-être que, un jour, j’en écrirai pour Vegas. On ne sait jamais.
Qu’attendez-vous de cette expérience?
Je ne pourrai jamais rester aussi longtemps que votre Céline nationale. Je vais d’abord vivre ce 2 juillet, et on verra. J’espère vivre un moment de grâce, comme c’est le cas à chacun de mes concerts. Ce sera intéressant, de mélanger mon public français et le public du Québec, à Vegas. Je vois cela comme une bien belle expérience humaine. Je ne pense pas qu’il y aura beaucoup d’Américains, il faut être honnête, mais si je peux un peu leur montrer les choses à ma manière avec mes fans, bien, ce sera génial. Après je ferai la compétition internationale de poker, qui commence le 7 juillet.
Pourquoi, le poker?
J’aime les échecs, donc les jeux de stratégies. Le rapport analytique m’intéresse, de pouvoir choisir, décider. Techniquement, le poker a l’air tout simple, mais c’est très compliqué. Je trouve cela passionnant et je suis très compétitif. C’est très intéressant et gratifiant. J’aime Vegas et ce moment de l’année où il y a ce grand tournoi.
Vous faites rire le Tout-Paris avec ce gros succès de cette pièce Le prénom, au théâtre Édouard.
Nous terminons nos représentations cette semaine, et ce fut extraordinaire. J’aimerais bien la présenter au Québec, mais, là, on l’adopte au cinéma. J’entame le tournage en août. Ce sera réalisé par les auteurs de la pièce, Alexandre de la Patellière et Mathieu Delaporte. Le bouche-à-oreille est tel qu’on pourrait la jouer pendant cinq ans, à guichets fermés. Les 718 places du théâtre Édouard sont remplies chaque soir. La pièce est extraordinaire, et je souhaite la présenter à Montréal et, même, New York.
Je joue Vincent, un héros qui cherche un prénom à son enfant… Tout part d’une réunion de famille; je me retrouve chez ma soeur et je reviens de l’échographie de mon premier bébé, avec ma femme, et voilà que, à partir des prénoms énoncés, les discussions s’animent et on règle des comptes en famille… plus c’est méchant, plus c’est drôle. Un pur moment de bonheur. Les auteurs ont fait un travail formidable. Ils ont 37-38 ans, et la pièce fut un beau hasard pour moi.
Ce métier vous comble-t-il encore passionnément?
Ça fait 33 ans. Je n’ai jamais perdu la boule à cause du succès, heureusement, car je me suis vite dirigé vers ce qui me faisait le plus plaisir. Ce métier change à cause d’Internet, bien sûr, qui a tout révolutionné. Le monde passe maintenant par cet écran, cette toile inouïe, avec ces effets pervers, bien sûr, mais tout ce que ça peut apporter à la société moderne. Ne pas s’adapter à cette nouvelle technologie est une erreur, je crois.
Pour les jeunes artistes qui arrivent sur le marché, c’est très dur, car les compagnies de disques souffrent beaucoup. On a créé un site en France, Allo musique, qui est devenu un véritable tremplin musical. Aujourd’hui, nous sommes obligés de nous tourner vers iTunes et continuer d’éduquer les gens sur ce support. Bien sûr, avec le théâtre et le cinéma, j’ai perdu du temps avec mon prochain album, mais, sûrement, en 2012. Bien sûr, il y a mon rôle de père de famille avec mes garçons de 5 et 7 ans. J’adore être père! C’est formidable!
Rendez-vous, le 2 juillet, à Las Vegas, avec Patrick Bruel, et le Québec attend la pièce Le prénom.
Michelle Coudé-Lord
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Patrick Bruel - Enregistrement des cordes à Londres
Patrick Bruel était de passage à Londres afin d'enregistrer les cordes pour son nouvel album « Lequel de nous ».
Dans cette vidéo filmée au Air Studio, il évoque entre autres l'importance de ce nouveau disque et la rencontre de ses chansons avec l'Orchestre à cordes dirigé par James Sherman.
Dans cette vidéo filmée au Air Studio, il évoque entre autres l'importance de ce nouveau disque et la rencontre de ses chansons avec l'Orchestre à cordes dirigé par James Sherman.
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