Bruno Pelletier
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Bruno Pelletier
Bruno Pelletier
Biographie officielle
Tout au long de ses vingt-cinq ans de carrière, sa passion pour la scène et son désir constant d'explorer différentes avenues artistiques ont permis à Bruno Pelletier de concilier une prolifique carrière solo ainsi que des participations remarquables à plusieurs comédies musicales d'envergure.
Parcours
Bruno Pelletier est né le 7 août 1962 à Charlesbourg en banlieue de Québec. Tout au long des années 80, entre sport et musique, son cœur balance. Ceinture noire de karaté en main, il prend d'abord l'initiative d'ouvrir sa propre école d'arts martiaux, mais parallèlement s'adonne à son deuxième centre d'intérêt, la musique. Fort aise à la batterie, mais aussi pourvu d'une très belle voix, c'est à titre de chanteur dans les formations rock Amanite et Sneak Preview que pendant plusieurs années il arpente le circuit des bars et apprend les rudiments du métier d'artiste.
La musique prenant peu à peu une place de choix dans sa vie, Bruno décide finalement d'en faire sa priorité et fonde en 1989 le groupe rock francophone Pëll. Avec ses musiciens et quelques compositions en main, il participe à des concours et tente de se faire remarquer par le milieu musical professionnel. En 1990, à la faveur de rencontres heureuses et d'efforts soutenus, la société Les Disques Artiste, présidée par Paul Lévesque, lui offre enfin un premier contrat de disque. La carrière de Bruno Pelletier était lancée!
En 1992, parallèlement à la mise en marché de son album éponyme, il se voit successivement offrir des rôles dans la revue musicale; Les fous du rock'n'roll et dans la version québécoise de l'opéra rock signé Plamondon-Berger; La légende de Jimmy. Bien que le succès de ce dernier spectacle soit plutôt modeste, la présence scénique et les qualités vocales de l'artiste impressionnent.
En 1993, Luc Plamondon conquis par les talents du chanteur fait de nouveau appel à lui. Cette fois, il lui offre le rôle de Johnny Rockfort dans une nouvelle mouture parisienne de l'opéra rock Starmania. Il incarne le personnage à plus de quatre cents reprises sur une période de deux ans et profite de ses moments libres pour peaufiner son deuxième album en carrière.
L'album Défaire l'amour sera lancé au cours de l'année 1995, mais il devra attendre jusqu'en 1997 pour enfin atteindre la consécration. Cette année-là, il joue avec brio le rôle d'un truand dans la très populaire télésérie Omerta II et lance l'album Miserere. Ce troisième opus qui se hissera rapidement au sommet des palmarès se vendra à plus de 250 000 copies et lui vaudra un véritable impact populaire. L'année suivante, au Gala de l'ADISQ, Bruno se verra couronné pour une deuxième année consécutive du prix Félix Artiste masculin de l'année et l'album Miserere des prix Félix: Album de l'année catégorie Pop rock; Album de l'année catégorie Meilleur vendeur et Spectacle de l'année catégorie Interprète.
1998 et 1999 seront les années Notre-Dame de Paris. Le spectacle dans lequel Bruno incarne le poète Gringoire est un véritable triomphe. Le titre Le temps des cathédrales, qu'il interprète brillamment, lui permet de se hisser au sommet des palmarès et de se faire connaître dans toute la francophonie.
En 1999, le quatrième album studio D'autres rives est simultanément lancé en Europe et au Québec. Cette sortie sera appuyée par une imposante tournée qui lui permettra de se produire pour la toute première fois en tant qu'artiste solo sur plusieurs scènes prestigieuses d'Europe dont l'Olympia de Paris, La Cigale et Le Bataclan. Bien que très occupé avec sa carrière solo, il fera deux parenthèses, le temps de renfiler les habits de Gringoire dans les versions québécoise et londonienne de Notre-Dame de Paris.
En 2001, après avoir roulé sa bosse de façon effrénée pendant plusieurs années, Bruno ressent le besoin de souffler un peu. Mais juste avant de s'accorder une pause bien méritée, il lance Sur scène, album live tiré de la tournée D'autres Rives. S'en suit une période de ressourcement ou Bruno fera très peu de sorties publiques. Il profitera de ce moment pour peaufiner un nouvel album et s'impliquer davantage dans la Fondation Canadienne Rêves d'Enfants, qu'il parraine depuis de nombreuses années.
En août 2002 il lance Un monde à l'envers et entame une tournée de deux ans. En décembre de la même année, il unit sa voix à l'Orchestre Symphonique de Montréal pour présenter une série de concerts à la Basilique Notre-Dame. Ayant pour thématique les grands classiques de Noël, il profitera de l'occasion pour enregistrer l'album Concert de Noël qui connaîtra un immense succès populaire.
En 2004, on lui propose le rôle-titre du spectacle musical Dracula - Entre l'amour et la mort (paroles Roger Tabra, musique Simon Leclerc). Toujours à l'affut de nouveaux défis, cette nouvelle aventure lui permet d'ajouter quelques cordes à son arc, puisqu'il s'implique également à titre de directeur artistique et coproducteur. Le spectacle, présenté pour la toute première fois à Montréal le 31 janvier 2006, est un franc succès (vu par plus de 115,000 spectateurs) et l'impose comme une figure incontournable de ce genre au Québec. Présenté à la prestigieuse Maison de la Danse de Lyon (1200 places) en janvier de l'année suivante, Dracula connaîtra, là-bas aussi, un grand succès public et critique.
En 2007, après trois ans à se consacrer à l'énigmatique prince des ténèbres, l'infatigable touche-à-tout, désireux de revenir à quelque chose de plus intimiste, lance Bruno Pelletier et le GrosZorchestre (récipiendaire du Félix Album de l'année / jazz interprétation). Habile mélange d'influences populaires et jazz, cet album nous fait découvrir un style différent qui lui va à ravir.
En 2009, il nous revenait avec Microphonium, première réalisation de matériel original en six ans. Cette même année aura aussi été marquée par le passage triomphal de l'artiste au mythique théâtre Estrade de Moscou. Ce passage fort remarqué en Russie lui vaudra de retourner chez nos amis de l'Est prochainement. C'est en Ukraine en mai 2010 et de nouveau à Moscou à l'automne 2010 qu'il se produira. En 2011 l'artiste mettra entre parenthèse sa carrière solo le temps d'endosser le rôle de Napoléon dans le très attendu opéra-folk, Les filles de Caleb.
Avec la vente de plus de 2 millions d'unités dans la francophonie, Bruno Pelletier triple récipiendaire du prix Félix Interprète masculin de l'année, compte, sans conteste, parmi les artistes les plus marquants de sa génération.
http://www.brunopelletier.com/
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https://www.facebook.com/pages/Bruno-Pelletier/40820754191
Biographie officielle
Tout au long de ses vingt-cinq ans de carrière, sa passion pour la scène et son désir constant d'explorer différentes avenues artistiques ont permis à Bruno Pelletier de concilier une prolifique carrière solo ainsi que des participations remarquables à plusieurs comédies musicales d'envergure.
Parcours
Bruno Pelletier est né le 7 août 1962 à Charlesbourg en banlieue de Québec. Tout au long des années 80, entre sport et musique, son cœur balance. Ceinture noire de karaté en main, il prend d'abord l'initiative d'ouvrir sa propre école d'arts martiaux, mais parallèlement s'adonne à son deuxième centre d'intérêt, la musique. Fort aise à la batterie, mais aussi pourvu d'une très belle voix, c'est à titre de chanteur dans les formations rock Amanite et Sneak Preview que pendant plusieurs années il arpente le circuit des bars et apprend les rudiments du métier d'artiste.
La musique prenant peu à peu une place de choix dans sa vie, Bruno décide finalement d'en faire sa priorité et fonde en 1989 le groupe rock francophone Pëll. Avec ses musiciens et quelques compositions en main, il participe à des concours et tente de se faire remarquer par le milieu musical professionnel. En 1990, à la faveur de rencontres heureuses et d'efforts soutenus, la société Les Disques Artiste, présidée par Paul Lévesque, lui offre enfin un premier contrat de disque. La carrière de Bruno Pelletier était lancée!
En 1992, parallèlement à la mise en marché de son album éponyme, il se voit successivement offrir des rôles dans la revue musicale; Les fous du rock'n'roll et dans la version québécoise de l'opéra rock signé Plamondon-Berger; La légende de Jimmy. Bien que le succès de ce dernier spectacle soit plutôt modeste, la présence scénique et les qualités vocales de l'artiste impressionnent.
En 1993, Luc Plamondon conquis par les talents du chanteur fait de nouveau appel à lui. Cette fois, il lui offre le rôle de Johnny Rockfort dans une nouvelle mouture parisienne de l'opéra rock Starmania. Il incarne le personnage à plus de quatre cents reprises sur une période de deux ans et profite de ses moments libres pour peaufiner son deuxième album en carrière.
L'album Défaire l'amour sera lancé au cours de l'année 1995, mais il devra attendre jusqu'en 1997 pour enfin atteindre la consécration. Cette année-là, il joue avec brio le rôle d'un truand dans la très populaire télésérie Omerta II et lance l'album Miserere. Ce troisième opus qui se hissera rapidement au sommet des palmarès se vendra à plus de 250 000 copies et lui vaudra un véritable impact populaire. L'année suivante, au Gala de l'ADISQ, Bruno se verra couronné pour une deuxième année consécutive du prix Félix Artiste masculin de l'année et l'album Miserere des prix Félix: Album de l'année catégorie Pop rock; Album de l'année catégorie Meilleur vendeur et Spectacle de l'année catégorie Interprète.
1998 et 1999 seront les années Notre-Dame de Paris. Le spectacle dans lequel Bruno incarne le poète Gringoire est un véritable triomphe. Le titre Le temps des cathédrales, qu'il interprète brillamment, lui permet de se hisser au sommet des palmarès et de se faire connaître dans toute la francophonie.
En 1999, le quatrième album studio D'autres rives est simultanément lancé en Europe et au Québec. Cette sortie sera appuyée par une imposante tournée qui lui permettra de se produire pour la toute première fois en tant qu'artiste solo sur plusieurs scènes prestigieuses d'Europe dont l'Olympia de Paris, La Cigale et Le Bataclan. Bien que très occupé avec sa carrière solo, il fera deux parenthèses, le temps de renfiler les habits de Gringoire dans les versions québécoise et londonienne de Notre-Dame de Paris.
En 2001, après avoir roulé sa bosse de façon effrénée pendant plusieurs années, Bruno ressent le besoin de souffler un peu. Mais juste avant de s'accorder une pause bien méritée, il lance Sur scène, album live tiré de la tournée D'autres Rives. S'en suit une période de ressourcement ou Bruno fera très peu de sorties publiques. Il profitera de ce moment pour peaufiner un nouvel album et s'impliquer davantage dans la Fondation Canadienne Rêves d'Enfants, qu'il parraine depuis de nombreuses années.
En août 2002 il lance Un monde à l'envers et entame une tournée de deux ans. En décembre de la même année, il unit sa voix à l'Orchestre Symphonique de Montréal pour présenter une série de concerts à la Basilique Notre-Dame. Ayant pour thématique les grands classiques de Noël, il profitera de l'occasion pour enregistrer l'album Concert de Noël qui connaîtra un immense succès populaire.
En 2004, on lui propose le rôle-titre du spectacle musical Dracula - Entre l'amour et la mort (paroles Roger Tabra, musique Simon Leclerc). Toujours à l'affut de nouveaux défis, cette nouvelle aventure lui permet d'ajouter quelques cordes à son arc, puisqu'il s'implique également à titre de directeur artistique et coproducteur. Le spectacle, présenté pour la toute première fois à Montréal le 31 janvier 2006, est un franc succès (vu par plus de 115,000 spectateurs) et l'impose comme une figure incontournable de ce genre au Québec. Présenté à la prestigieuse Maison de la Danse de Lyon (1200 places) en janvier de l'année suivante, Dracula connaîtra, là-bas aussi, un grand succès public et critique.
En 2007, après trois ans à se consacrer à l'énigmatique prince des ténèbres, l'infatigable touche-à-tout, désireux de revenir à quelque chose de plus intimiste, lance Bruno Pelletier et le GrosZorchestre (récipiendaire du Félix Album de l'année / jazz interprétation). Habile mélange d'influences populaires et jazz, cet album nous fait découvrir un style différent qui lui va à ravir.
En 2009, il nous revenait avec Microphonium, première réalisation de matériel original en six ans. Cette même année aura aussi été marquée par le passage triomphal de l'artiste au mythique théâtre Estrade de Moscou. Ce passage fort remarqué en Russie lui vaudra de retourner chez nos amis de l'Est prochainement. C'est en Ukraine en mai 2010 et de nouveau à Moscou à l'automne 2010 qu'il se produira. En 2011 l'artiste mettra entre parenthèse sa carrière solo le temps d'endosser le rôle de Napoléon dans le très attendu opéra-folk, Les filles de Caleb.
Avec la vente de plus de 2 millions d'unités dans la francophonie, Bruno Pelletier triple récipiendaire du prix Félix Interprète masculin de l'année, compte, sans conteste, parmi les artistes les plus marquants de sa génération.
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Dernière édition par Virginie le Ven 17 Déc 2010 - 20:03, édité 2 fois
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Bruno Pelletier : Le chanteur s'est marié, mais pas à Notre-Dame !
Bruno Pelletier : Le chanteur s'est marié, mais pas à Notre-Dame !
À 48 ans, Bruno Pelletier vient d'épouser sa compagne. La cérémonie s'est déroulée début septembre au Canada, devant famille - Bruno, d'ailleurs, a déjà un fils de 19 ans - et amis du couple. L'heureuse élue pourrait être Mélanie, une danseuse québécoise qui a travaillé trois ans à Broadway avant de se blesser, de rentrer au pays et de faire la connaissance du chanteur en 2006.
Depuis son premier album en 1992, Bruno Pelletier n'a pas chômé. Si, en France, il explose dans le rôle de Gringoire dans Notre Dame de Paris, le chanteur a déjà tenu des rôles dans La Légende de Jimmy et Starmania outre-Atlantique.
Pelletier enchaîne les albums. En 2006, il crée un spectacle musical intitulé Dracula - Entre l'amour et la mort. En 2007, il enregistre un duo avec celle qui interprétait Esméralda : Hélène Ségara. Son dernier album solo, Microphonium, est sorti en 2009.
Les 8 et 9 décembre à Kiev, le 11 décembre à Moscou et le 12 à Saint-Pétersbourg se tiendront les concerts hommages à la comédie musicale Notre Dame de Paris. Pour l'occasion, les interprètes originaux reprendront du service : Hélène Ségara, Garou (Quasimodo), Julie Zenatti (Fleur-de-Lys), Patrick Fiori (Pheobus), Daniel Lavoie (Frolo), Luck Mervil (Clopin). Ils se sont réunis dans une vidéo promotionnelle à découvrir ci-dessus.
Ces retrouvailles donneront l'occasion à Bruno Pelletier de faire retentir les notes incroyables du Temps des cathédrales, morceau grâce auquel le public français est tombé amoureux de lui.
L'année prochiane, il sera Napoléon dans un nouveau spectacle canadien, intitulé Les filles de Caleb.
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Re: Bruno Pelletier
Merci Virginie !!!
coco82- Nombre de messages : 3154
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Re: Bruno Pelletier
Merci beaucoup
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Re: Bruno Pelletier
Merci bcp, c'est un artiste de très grand talent.
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Re: Bruno Pelletier
Merci
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Bruno Pelletier - Gatineau "Des esprits et une voix à l'unisson" le 17/12/2010
Des esprits et une voix à l'unisson
Bruno Pelletier a brillé, hier, en livrant une grande performance. Un rendez-vous céleste entre l'auteur-compositeur-interprète et l'OSG.
Simon Séguin-Bertrand, LeDroit
Marc André Joanisse
Le Droit
Il y a plusieurs façons d'offrir ses voeux durant le temps des Fêtes. Il y a la traditionnelle carte et, de plus en plus, les souhaits virtuels dans Internet.
Bruno Pelletier les a transmis en chansons avec le premier de ses deux rendez-vous avec l'Orchestre symphonique de Gatineau et son directeur artistique, maestro Yves Léveillé.
Des chansons de cette période-ci de l'année, de son répertoire et certaines empruntées à de grands auteurs-compositeurs. Surtout, de grandes chansons doublées de grandes interprétations et avec des musiciens chevronnés. Quel rendez-vous entre l'auteur-compositeur-interprète et l'OSG. Un rendez-vous céleste et à l'image de l'orchestre gatinois.
Pourtant, Bruno Pelletier revenait à peine d'une tournée de quatre prestations en Russie avec la distribution originale de Notre-Dame de Paris.
Cette voix puissante et toute en nuances peut servir à merveille à tous les genres musicaux. Une voix déployée à l'unisson avec la cinquantaine de musiciens, ravis de partager une soirée en sa compagnie.
Un simple coup d'oeil à la grille de chansons fournie avant de rejoindre sa place dans la salle de spectacles parvient à nous en convaincre. On assistera à un de ses concerts à ranger dans la catégorie des « Inoubliables ».
Bon, c'est parti. Les musiciens prennent place et Yves Léveillé donne la mesure. On est dans Siegfried Idyll, de Richard Wagner. Une pièce dont le titre deviendra le prénom du troisième fils de Wagner. Un fils, qui plus tard, deviendra compositeur d'opéras.
L'Ouverture terminée, au tour de Bruno Pelletier de s'amener sur scène. Un regard en direction du chef d'orchestre et des musiciens et c'est parti. D'abord, un trio de classiques, Joyeux Noël, Mon beau sapin et Sainte nuit. Un sommet dans chacun des cas. Arrive ensuite Ensemble et Se rêver, une très belle chanson de Richard Séguin. Puis, un hommage ultime à Raymond Lévesque avec Quand les hommes vivront d'amour. Bruno Pelletier, l'OSG et les mots du poète, magique. Ave Maria est venu clore la première partie. Là encore, le chanteur et les musiciens ont été au summum.
De belles surprises
Retour sur scène avec une pièce instrumentale avant l'incontournable Miserere d'Allegri et un des airs les plus fredonnés chez nos voisins du Sud, Have Yourself A Very Merry Christmas.
Bruno Pelletier tenait mordicus à interpréter Après toi le déluge et l'OSG a demandé à Sébastien Tremblay d'écrire des arrangements symphoniques. Le résultat est concluant. Cette chanson a une nouvelle vie même si elle n'en avait pas vraiment besoin.
Le soliste a offert de belles surprises au public et il s'en est offert également. Il est difficile pour lui de se tenir loin What A Wonderful World, immortalisée par Louis Armstrong et Les vieux amants, de Jacques Brel.
Mais la surprise du concert, Imagine de John Lennon. Une interprète solennelle rendue d'une façon unique.
Et tiens, pourquoi pas Minuit chrétien et Adeste Fideles, avant de regagner les coulisses et revenir pour une série de rappels. Pas question ici de brûler la mèche, car Bruno Pelletier et l'OSG remettent ça, ce soir. Même heure, même endroit. À guichets fermés.
Bruno Pelletier et l'OSG, à la salle Odyssée, jusqu'à ce soir
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Marie Rose- Modérateur
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Re: Bruno Pelletier
Merci pour toutes ces infos, photos et vidéos !!!
coco82- Nombre de messages : 3154
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Re: Bruno Pelletier
Lors de mes recherches sur Julie Zenatti pour sa participation au concert Notre Dame de Paris en Russie et en Ukraine, j'ai redécouvert Bruno Pelletier.
Sa gentillesse, sa simplicité, la proximité avec ses fans et bien entendu son talent mais ça je le savais déjà, j'avoue que j'ai un coup de coeur.
Sa gentillesse, sa simplicité, la proximité avec ses fans et bien entendu son talent mais ça je le savais déjà, j'avoue que j'ai un coup de coeur.
Marie Rose- Modérateur
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Re: Bruno Pelletier
C'est vrai qu'il a l'air vraiment sympa et simple. Et quelle voix !!!!
coco82- Nombre de messages : 3154
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Re: Bruno Pelletier
Merci
krystel- Nombre de messages : 1185
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Canoe - Bruno Pelletier chante jusqu'en Sibérie
Bruno Pelletier chante jusqu'en Sibérie
Bruno Pelletier termine une intense tournée de spectacles en Europe de l'Est qui l'a menée jusqu'en Sibérie, où des milliers de fans, qui l'ont surnommé «The Voice», l'attendaient.
Bruno Pelletier, devenu vedette en Russie, s'est envolé pour l'Europe de l'Est afin d'y présenter son spectacle solo dans quelques villes d'Ukraine et de Russie, dont Moscou, Saint-Pétersbourg et Novossibirsk, en Sibérie, à 11 heures de décalage horaire de Montréal.
«Ce que je vis est complètement hallucinant», a confié au bout du fil le chanteur, alors qu'il attendait, à Saint-Pétersbourg, l'avion qui le mènerait à Novossibirsk, la capitale de la Sibérie, aux confins de la Russie, près de l'Asie. «Je suis content de vivre ça avec mon band.»
Pour l'artiste, qui est accompagné de ses six musiciens, ses techniciens et son gérant, Paul Lévesque, chanter en Russie est une sorte de fête.
«Quand je chante La Manic, les fans dans la salle sortent plein de petits drapeaux du Québec. Je capote, avoue-t-il.
«Les spectateurs sont emballés par ce qu'on fait et ils ont le respect de notre langue et de notre culture. Ils connaissent toutes les tounes et chantent les paroles par coeur. Même une toune obscure de Bruno Pelletier.
«La seule chose qui me fait de la peine, déplore-t-il, c'est que personne n'est témoin de ça au Québec.»
Parler en russe
Partout où il passe, Bruno Pelletier, surnommé là-bas «The voice» (la voix), signe des autographes et rencontre des fans qui proviennent de partout en Russie. Puisque la tournée ne s'arrête que dans les grandes villes, dans des salles de 1200 à 2500 places, les fans des régions partent de loin pour assister au spectacle.
«Une fan avait fait huit heures d'avion pour venir me voir à Saint-Pétersbourg», s'enthousiasme le chanteur.
Le spectacle de Bruno Pelletier est le même que celui qu'il a présenté ici au Québec avec des chansons en français, en italien et en anglais. Pour la Russie, il a ajouté un vieux succès du pays qu'il chante en français et en russe. Le chanteur, qui prend des cours de russe, prépare ses interventions d'avance et emporte ses notes sur scène en demandant aux fans d'être indulgents, une façon sympathique de pouvoir communiquer.
Sur une pancarte immense, il a d'ailleurs pu lire, lors d'un spectacle: «Ton russe s'améliore.»
En français
Ce qui plaît aussi beaucoup à Bruno Pelletier, c'est le fait de chanter en français aussi loin de son pays.
«J'ai toujours cru qu'il fallait chanter en anglais pour faire une tournée à l'étranger, dit-il. Mais l'Europe de l'Est est très francophile. Maintenant, on me parle de l'Asie et d'Israël. La langue française voyage très bien. On n'a pas besoin de l'anglais. C'est le plus beau cadeau qu'on pouvait me faire dans la vie.»
Lors de sa tournée intense de deux semaines, Bruno Pelletier donne des entrevues aux médias russe et ukrainien. Les reporters viennent le rencontrer à l'hôtel avec un traducteur ou font l'entrevue en anglais.
«Je ne suis pas très bon en anglais et eux non plus, commente le chanteur. On n'est pas trop sûrs des résultats, mais c'est rigolo.»
Grâce à Notre-Dame de Paris
Le marché de l'Europe de l'Est est immense et sa population très ouverte à ce qui se fait ailleurs.
«Longtemps privés de liberté, ils sont très friands de tout ce qui se passe dans le monde, estime Bruno Pelletier. Je vois des affiches de beaucoup d'artistes internationaux: Paul McCartney, Elton John.
«Le public a le goût de voir ces gens. Ils se préparent à les recevoir. Ils embarquent. Ils se donnent des indications sur des feuilles pour allumer leur cellulaire tous en même temps. Le spectacle est autant dans la salle que sur scène, ça devient un événement.»
Numéro un
Pour Bruno Pelletier, tout a démarré en Russie, il y a 10 ans, quand le spectacle Notre-Dame de Paris a été présenté là-bas. Garou, alias Quasimodo, a défriché le terrain pour aussitôt devenir une vedette en Russie et en Ukraine.
Le public a adopté par la suite plusieurs autres interprètes du spectacle musical. Daniel Lavoie, le Frollo de Notre-Dame, y connaît, lui aussi, le succès.
Bruno Pelletier a récemment été numéro un à la radio de Moscou avec la chanson Dénaturé de son récent album Microphonium.
Une vidéo diffusée sur You-Tube, tournée dans un centre commercial de Moscou, montrant une vingtaine de jeunes femmes exécutant des chorégraphies sur les chansons de Bruno Pelletier, vêtues du t-shirt du chanteur, ne laisse aucun doute sur sa popularité. (youtube bruno pelletier moscow flashmob).
Bruno Pelletier sera de retour à Kiev, en Ukraine, sous peu pour les répétitions du spectacle hommage Notre-Dame de Paris avec toute la troupe de la création du spectacle. Une première représentation aura lieu, le 13 décembre, à Kiev, avant que tout ce beau monde ne se déplace à Paris.
Au Québec, le chanteur donne une série de spectacles de Noël avec un quatuor à cordes et dans certaines villes, avec un orchestre symphonique. Pour toutes les dates, voir le calendrier sur brunopelletier.com.
http://fr.canoe.ca/divertissement/musique/nouvelles/2011/11/14/18964211-jdm.html
Bruno Pelletier termine une intense tournée de spectacles en Europe de l'Est qui l'a menée jusqu'en Sibérie, où des milliers de fans, qui l'ont surnommé «The Voice», l'attendaient.
Bruno Pelletier, devenu vedette en Russie, s'est envolé pour l'Europe de l'Est afin d'y présenter son spectacle solo dans quelques villes d'Ukraine et de Russie, dont Moscou, Saint-Pétersbourg et Novossibirsk, en Sibérie, à 11 heures de décalage horaire de Montréal.
«Ce que je vis est complètement hallucinant», a confié au bout du fil le chanteur, alors qu'il attendait, à Saint-Pétersbourg, l'avion qui le mènerait à Novossibirsk, la capitale de la Sibérie, aux confins de la Russie, près de l'Asie. «Je suis content de vivre ça avec mon band.»
Pour l'artiste, qui est accompagné de ses six musiciens, ses techniciens et son gérant, Paul Lévesque, chanter en Russie est une sorte de fête.
«Quand je chante La Manic, les fans dans la salle sortent plein de petits drapeaux du Québec. Je capote, avoue-t-il.
«Les spectateurs sont emballés par ce qu'on fait et ils ont le respect de notre langue et de notre culture. Ils connaissent toutes les tounes et chantent les paroles par coeur. Même une toune obscure de Bruno Pelletier.
«La seule chose qui me fait de la peine, déplore-t-il, c'est que personne n'est témoin de ça au Québec.»
Parler en russe
Partout où il passe, Bruno Pelletier, surnommé là-bas «The voice» (la voix), signe des autographes et rencontre des fans qui proviennent de partout en Russie. Puisque la tournée ne s'arrête que dans les grandes villes, dans des salles de 1200 à 2500 places, les fans des régions partent de loin pour assister au spectacle.
«Une fan avait fait huit heures d'avion pour venir me voir à Saint-Pétersbourg», s'enthousiasme le chanteur.
Le spectacle de Bruno Pelletier est le même que celui qu'il a présenté ici au Québec avec des chansons en français, en italien et en anglais. Pour la Russie, il a ajouté un vieux succès du pays qu'il chante en français et en russe. Le chanteur, qui prend des cours de russe, prépare ses interventions d'avance et emporte ses notes sur scène en demandant aux fans d'être indulgents, une façon sympathique de pouvoir communiquer.
Sur une pancarte immense, il a d'ailleurs pu lire, lors d'un spectacle: «Ton russe s'améliore.»
En français
Ce qui plaît aussi beaucoup à Bruno Pelletier, c'est le fait de chanter en français aussi loin de son pays.
«J'ai toujours cru qu'il fallait chanter en anglais pour faire une tournée à l'étranger, dit-il. Mais l'Europe de l'Est est très francophile. Maintenant, on me parle de l'Asie et d'Israël. La langue française voyage très bien. On n'a pas besoin de l'anglais. C'est le plus beau cadeau qu'on pouvait me faire dans la vie.»
Lors de sa tournée intense de deux semaines, Bruno Pelletier donne des entrevues aux médias russe et ukrainien. Les reporters viennent le rencontrer à l'hôtel avec un traducteur ou font l'entrevue en anglais.
«Je ne suis pas très bon en anglais et eux non plus, commente le chanteur. On n'est pas trop sûrs des résultats, mais c'est rigolo.»
Grâce à Notre-Dame de Paris
Le marché de l'Europe de l'Est est immense et sa population très ouverte à ce qui se fait ailleurs.
«Longtemps privés de liberté, ils sont très friands de tout ce qui se passe dans le monde, estime Bruno Pelletier. Je vois des affiches de beaucoup d'artistes internationaux: Paul McCartney, Elton John.
«Le public a le goût de voir ces gens. Ils se préparent à les recevoir. Ils embarquent. Ils se donnent des indications sur des feuilles pour allumer leur cellulaire tous en même temps. Le spectacle est autant dans la salle que sur scène, ça devient un événement.»
Numéro un
Pour Bruno Pelletier, tout a démarré en Russie, il y a 10 ans, quand le spectacle Notre-Dame de Paris a été présenté là-bas. Garou, alias Quasimodo, a défriché le terrain pour aussitôt devenir une vedette en Russie et en Ukraine.
Le public a adopté par la suite plusieurs autres interprètes du spectacle musical. Daniel Lavoie, le Frollo de Notre-Dame, y connaît, lui aussi, le succès.
Bruno Pelletier a récemment été numéro un à la radio de Moscou avec la chanson Dénaturé de son récent album Microphonium.
Une vidéo diffusée sur You-Tube, tournée dans un centre commercial de Moscou, montrant une vingtaine de jeunes femmes exécutant des chorégraphies sur les chansons de Bruno Pelletier, vêtues du t-shirt du chanteur, ne laisse aucun doute sur sa popularité. (youtube bruno pelletier moscow flashmob).
Bruno Pelletier sera de retour à Kiev, en Ukraine, sous peu pour les répétitions du spectacle hommage Notre-Dame de Paris avec toute la troupe de la création du spectacle. Une première représentation aura lieu, le 13 décembre, à Kiev, avant que tout ce beau monde ne se déplace à Paris.
Au Québec, le chanteur donne une série de spectacles de Noël avec un quatuor à cordes et dans certaines villes, avec un orchestre symphonique. Pour toutes les dates, voir le calendrier sur brunopelletier.com.
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