Mes poèmes

Merci

Tu nous gâtes c'est vraiment trop beau,merciiiii

Voilà un texte qui je pense vous réchauffera le coeur. Je l'ai écrit hier en environ 1 h. Bonne lecture à tous et à toutes.

Le vent fouette mon visage comme s'il voulait me punir,
Mon écharpe empêche le froid de pénétrer dans mon blouson.
Des flocons tombent du ciel.
Les enfants font des batailles de boules de neige,
Et leurs parents déblayent les allées.
Une famille choisit son sapin de noël, ils sont heureux.
Une mélodie douce et mélancolique me fit sursauter,
Je me retourne, je suis figé, le vent caresse mon visage.
Mon rythme cardiaque s'accélère, mes mains sont moites, j'ai chaud.
Elle avance d'un pas déterminé, comme si la rue lui appartenait,
Elle ne regarde pas devant elle, l'impact est imminent.
Elle me rentre dedans, nos mains se frôlent,
Ses mains sont douces, nos regards se croisent.
Il y a des étoiles dans ses yeux, quel magnifique spectacle !
Le temps s'arrête, je ne peux détourner mon regard.
Elle me sourit, je me mis à sourire à mon tour,
Elle me pria de l'excuser, elle était distraite,
Je lui pardonne, je l'invite à boire un verre, elle refuse,
Elle me propose un autre jour, on s'échange nos numéros,
On se serre la main, elle s'en va.
Des sourires qui s'illuminent, des mains qui se frôlent, c'est ça la magie de noël.

Très joli merci beaucoup.

En effet, ton poème réchauffe le cœur, même à ceux qui ne l'on pas froid. Mais il y tant de misère sur notre bonne vielle Terre que chaque pensée tournée vers quelqu'un d'autre illumine forcément regard... C'est agréable de te lire Louloutte. Bisous

Voici une petite modif de mon texte. Alors lequel préférez vous, celui là ou celui d'avant ?

L’augmentation de son loyer,
Ses impôts qui restent impayés,
La perte de son emploi,
La baisse du pouvoir d’achat,
Son ex femme refuse qu’il voit son fils,
La dernière fois qu’il l’a vu, il se faisait embarqué par la police.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Tout comme le faisait son père.

Il traîne dans les bars,
Fait le tour des comptoirs.
Il n’a pas de quoi payer ses factures d’électricité,
Mais assez pour prendre une boisson alcoolisée.
Il se sent rejeté par la société,
Terriblement seul et désespéré.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Tout comme le faisait son père.

Il est obliger de vendre sa voiture,
Pour payer ses factures.
Il ne peut plus faire d’emprunts,
Personne ne lui tend la main.
Il sombre dans la dépression,
Et augmente ses consommations.


Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Tout comme le faisait son père.

Il ne veut pas se faire soigner,
Il n’a pas de quoi payer.
Il ne voit plus Dédé et toute sa clique,
Ils ne veulent pas traîner avec un alcoolique.
Il a coupé les ponts avec sa famille,
Il a trop honte de sa vie.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Tout comme le faisait son père.


Un jour, il eut un malaise en pleine rue,
On sentait à des kilomètres qu’il avait bu.
Un homme qui passait par là,
Lui prit la main et le releva.
Il appela les urgences,
Qui emmenèrent le malade en ambulance.
Il avait une douleur au ventre,
Il avait besoin de soins sans attendre.
Les médecins lui diagnostiquèrent une maladie du foie,
Ils ne lui donnaient plus que quelques mois.
Ils ne veulent pas l’opérer,
Sa maladie est trop développée.
Il a décidé d’arrêter de boire,
Mais, malheureusement, il était trop tard.
Il est parti voir son fils,
Le laisser seul dans ce monde, est pour lui un supplice.
Il le serre dans ses bras,
L’embrasse pour la dernière fois
Il rentre chez lui le cœur léger,
Il peut partir sans regrets.
Il se couche dans son lit, éteins sa lumière,
Avant de s’endormir, il fit une prière.
Il demanda que son fils reste dans le droit chemin,
Qu’il aime les autres et aide son prochain.
Il sait ce que c’est d’être rejeté,
Il ne veut pas que son fils vire du mauvais côté.
Sa douleur au ventre le fait terriblement souffrir,
Il ferma les yeux sans plus jamais les ouvrir.

Il a bu, il a bu,
Et ses problèmes se sont tus.
Il a bu pour oublier,
Boire de trop l’a tué.

Celui-ci est pas mal non plus,merci beaucoup

merci il et super

Voici le poème du jour. Bonne lecture à tous et à toutes.

Un ciel éclairé par des milliers d’étoiles,
Je ne m’entends plus penser, mes idées se voilent.
Je perds pied devant cette irréalité,
Je suis comme abasourdie par cette beauté.

Je touche un nuage, quelle douceur entre mes doigts !
Je grimpe à un escalier, on dit que les anges habitent là.
J’arrive devant un portail doré, scellé par un cadenas,
Je regarde si la clé n’est pas sous le tapis, mais hélas, elle n’y est pas.

Un homme vient m’ouvrir, il me sourit,
J’ai l’impression qu’il sait qui je suis.
Je suis perdue, je lui demande ce que je fais ici,
Il me répond que dorénavant, à cet endroit, je ferai ma vie.

Je lui demande comment il se nomme,
Il me répond : « Saint Pierre qui travaille pour une importante personne. »
Mais qui est donc le maître de ces lieux ?
« Ici, il n’y a pas de maître que ce soit sur Terre où dans les cieux ! »

Mais quel est donc cet endroit si magnifique ?
On se croirait dans un rêve, un lieu idyllique.
Je me penche, pour voir le monde d’en bas,
Ce monde où je fus si heureuse autrefois.

Tout ça me paraît si lointain,
J’aimerai tellement rejoindre les miens,
Mais c’est impossible, on ne peut pas ressusciter,
Je suis maintenant avec des êtres que tant de fois je pleurais.

Merciiii

Beau et triste à la fois

Merci

à tous et à toutes, j'espère que vous allez bien. Voici le poème du jour, bonne lecture à vous

Il était mignon, fragile, tout petit,
Et pourtant, quelqu’un a gâché sa vie.
Un homme proche de lui,
Un ami de la famille.

Il a profité de la naïveté d’un enfant,
Pour asservir ses fantasmes les plus écoeurants.
Il se croyait tout permis,
C’était un ami de la famille.

Il lui a volé son innocence,
Le bien et le mal, il ne savait pas faire la différence.
Il s’est laissé faire, croyant que c’était normal,
Son bourreau n’est pas un homme, c’est un animal.

Quelques années plus tard, l’enfant devint adolescent,
Il voulut raconter tout à ses parents,
Mais, il se rétracta, de peur qu’ils ne comprennent pas,
Ils pensent que les enfants inventent de drôles de choses parfois.

Alors, il s’enferma dans son silence,
Il n’arrivait plus à faire confiance.
Un jour, il entendit une chanson à la radio,
Qui s’adresse à un certain Hugo.

Il écouta chaque phrase, chaque mot,
Il se reconnu dans la chanson d’Hugo.
Alors, il prit le téléphone, il appela une association,
Eux au moins le croiront, ils l’écouteront avec une grande attention.

Enfin, il a trouvé quelqu’un à qui se confier,
Il se sentait moins seul, plus léger.
Il fait de nouveau confiance à la vie,
En essayant de reprendre la dignité qu’il lui avait pris.

Il raconta tout à ses parents,
Qui s’en voulaient de ne pas avoir su protéger leur enfant.
Ils firent appel à la justice,
Pour punir le bourreau de leur fils.

Lors du procès, l’accusé pleurait et disait qu’il regrette,
Et qu’à cette période là, il n’avait pas toute sa tête.
Personne ne l’écoutait et ne fit preuve d’indulgence,
Il attendait patiemment sa sentence.

Le jury le condamna à 2 ans fermes d’emprisonnement,
Avec l’interdiction d’approcher l’adolescent.
Ils se sentirent soulagés,
Ils peuvent de nouveau avancer.

Pour ce texte je tiens à préciser que celui ci proviens uniquement de mon imagination.

Merci beaucoup pour ce magnifique texte,quelle imagination!
C'est vraiment gentil de partager cela avedc nous.

Cela me fais plaisir de partager mes textes avec vous parce que cela me permet d'avoir des points de vue objectifs et surtout parce que j'aime partager ma passion avec vous.

Voilà un texte que j'ai écrit l'année dernière en hommage aux victimes de la Shoah. Je le trouve à vous de me dire ce que vous en pensez.

Villages pillés,
Vieillards et handicapés assassinés,
Un peuple humilié,
Un peuple massacré.

Emmenés dans des wagons à bestiaux,
Traités pire que des animaux.
Femmes, hommes, enfants sont séparés,
Torturés, gazés puis brûlés.

Corps nus,
Cheveux tondus.
Bras tatoués,
Un numéro en guise d’identité.

Tout est bon à prendre,
Leur peau, leurs os, leurs cendres.
Victimes de la barbarie,
Victimes des nazis.

Période noire,
À jamais dans l’histoire.
Six millions de juifs assassinés,
Par la folie d’un homme et de ses idées.

Le nazisme n’est pas mort, il peut revenir n’importe quand,
Alors, il faut rester vigilant.
Nous ne devons jamais oublier,
Pour que tout cela ne recommence jamais.

Pour changer un peu, je vous met un texte moins triste, j'espère qu'il vous plaira. Bonne lecture à tous et à toutes.

Prend cet anneau en guise de symbole de notre amour,
Chaque matin, je me réveillerai à tes côtés jusqu’à la fin de mes jours.
Je dresserai mes bras tel une muraille,
Je te protégerai du mal.
Je serai tes yeux si tu ne vois plus clair,
Si tu es dans le noir, je te mènerai à la lumière.
Tu as mon cœur entre tes mains,
Je sais que tu sauras en prendre soin.
L’être humain n’est pas immortel,
Mais qu’importe, mon amour est éternel.
Je fais le serment de te rester loyal et fidèle,
Mais ça ne devrait pas être difficile tellement je t’aime.
Par cet anneau et devant les personnes qui nous sont chères,
Je t’épouse mon amour et j’en suis fier.
Puisse le temps ne jamais nous désunir,
Je suis à toi pour le meilleur et pour le pire.



Je n’aurais jamais pensé me retrouver dans une église un jour,
Je ne pensais pas que je rencontrerai le « grand amour ».
À vrai dire, je ne pensais pas que l’on puisse être heureux,
Je pensais que c’était pour les autres et pas pour moi,
Quand j’allais quelque part partout il y avait des amoureux,
Je les enviai tellement mais j’avais perdu la foi.
Et puis, un jour, tu es apparu au pas de ma porte,
Pour me souhaiter la bienvenue dans le quartier.
J’avais croisé des hommes de toutes sortes,
Mais je ne les ai jamais vraiment aimé.
On n’a pas mis longtemps à se mettre ensemble,
Il faut dire que tant de choses nous rassemblent.
On a tellement de points communs,
Qu’on n’a pas mis longtemps à se tenir par la main.
Dans tes bras et dans tes yeux, le monde est si beau,
Je me sens apaisée quand je suis avec toi, même si certains nous tournent le dos.
Ils sont jaloux, mais malgré tout, je leur souhaite le bonheur à leur tour,
Parce que sur Terre, rien n’est plus beau que l’amour.
Par cet anneau, je t’épouse et deviens tienne,
Que le soleil demeure dans notre vie et que le noir jamais ne revienne.
Puisse le temps ne jamais nous désunir,
Ensemble pour le meilleur et pour le pire.

Beaucoup d'inspiration,j'aimerai écrire comme ça.

et merci pour tous ces jolis textes.

Tous tes textes sont bien agréables à lire. Ton imagination est forte et productive. Comme tu peux voir, nous ne lassons pas de les découvrir. Merci de nous les faire partager. Bisous

Voici le poème du jour. Bonne lecture à tous et à toutes.

Il fait beau dehors,
Mais pas dans son cœur,
Elle fait des efforts,
Rien ne peut apaiser ses peurs.

Elle avait des choses à vivre,
Elle avait le temps,
Elle ne fait que survivre,
Elle regarde l’heure et elle attend.

Elle attend que son heure vienne,
Elle n’en peut plus de souffrir,
Elle attend que la mort la prenne,
Elle veut en finir.

Elle veut partir avec dignité,
Que les gens gardent une belle image d’elle.
Elle veut leur dire au revoir avant de les quitter,
Avant de quitter la Terre pour le ciel.

Ce jour funeste, elle le maudit,
Quand les médecins ne lui donnaient que quelques mois.
Maintenant, elle est en sursis,
Et c’est à son ex qu’elle le doit.

Il a omit de la prévenir de sa maladie,
Ils ne s’étaient pas protégés.
Elle avait couché avec lui,
Sans savoir qu’il était contaminé.

Lui-même ne le savait pas,
Il est mort sans le savoir.
Elle ne cesse de se demander pourquoi,
Elle est perdue, elle n’a plus d’espoir.

Un matin, elle se réveille,
Elle flotte au dessus de son corps.
Elle s’est éteinte pendant son sommeil,
Elle a eu la plus belle des morts.

Elle s’appelait Noémie,
Elle avait 19 ans,
Elle n’est plus ici,
Elle veille sur ses proches maintenant.

Elle était contaminée par un virus qui se nomme Sida,
A son âge, ce n’est pas dans une tombe qu’elle devrait être.
Avec son petit copain, c’était sa première fois,
Si elle s’était protégée, elle serait entrain de danser, de faire la fête.

Ne faîtes pas la même erreur que Noémie,
Protégez vous et faîtes le dépistage contre le Sida.,
Vous savez, on n’a qu’une vie,
Elle est précieuse, alors, ne jouez pas avec ça.

merci beaucoup de plus en plus beau

beau message en forme de poème, voilà comment tu sais si bien joindre l'agréable à l'utile (j'ai inversé volontairement). Tu as vraiment une plume à donner le frisson. Continue Belle Muse à nous ravir le cœur et l'esprit. Bisous

A mon futur bien aimé. Le jour où je dirais une telle déclaration à un mec je crois qu'il partira en courant le pauvre cela lui ferait peur.

La beauté du monde, je la vois dans ses yeux,
Presque une utopie, un monde merveilleux.
La douceur du temps, je la sens dans ses mains,
Il illumine ma vie, chacun de mes matins.

Il a fait fondre mon cœur,
Il a apaisé mes peurs.
Il m’a appris à aimer,
A recevoir et à donner.

Il est le soleil qui illumine mes nuits,
Il donne un sens à ma vie.
Il est mes yeux, ma voix, ma moitié,
Avec lui, je me sens exister.

Je lui appartiens corps et âme,
Il a fait de moi sa femme.
Le feu de la passion brûle en nous,
Je l’aime plus que ma vie, je l’aime plus que tout.

whoua! quelle chance il aura d'avoir pour lui une si belle écrivaine... Si ça s'appelle pas Déclaration, alors là je ne comprends plus... Sublime Louloutte. Bisous