Mes poèmes

A mon futur enfant (que j'aurai dans un futur éloigné)
Mon ange, mon amour,
Il y a dans mon ventre,
Un petit être qui bouge.
Je me sens vivante,
Comme je ne l'ai jamais été,
Parce que dans mon ventre,
Il y a un petit bébé.

Peu importe qu'il soit fille où garçon,
Car, moi, je l'aimerais de la même façon.
J'espère qu'il aura tes yeux,
Et qu'il me ressemblera un peu,
Mais , j'espère qu'il n'héritera pas de mon sale caractère.
Qu'il fasse jour où nuit,
Je serais toujours là pour lui.

Il dira ses premiers mots et fera ses premiers pas,
Il deviendra grand et s'éloignera de moi,
Il rencontrera quelqu'un et se mariera,
Il fera un enfant et alors il comprendra,
Que ce n'est pas facile d'être parent,
Alors, il pensera à moi, sa maman.

Mais avant que tout cela arrive,
Je veux lui donner beaucoup d'amour,
Et lui apprendre des choses sur la vie,
Que parfois tout ne va pas si bien qu'on le dit.
Mais surtout, je veux le protéger,
Je ne veux pas qu'il croit tout ce que l'on dit à la radio ou à la télé.
Il devra se faire ses propres opinions,
Et ne laisser rien ni personne décider pour lui.
Je sortirai de l'ombre pour le mener à la lumière,
Voilà ce qu'est être mère.

plutot bien écrit !
bravo

Merci beaucoup pour ce joli poème

Très joli poème,merci beaucoup

trés beau poéme

joli poème ! :super:

Voici un texte que j'ai écrit l'année dernière

J’ai vécu une histoire d’amour,
Qui s’est plutôt mal terminée.
Je me demandais chaque jour,
Comment j’allais pouvoir oublier.

J’avais vraiment touché le fond,
Je ne pensais pas m’en sortir.
Je ne faisais que tourner en rond,
J’avais l’impression de mourir.

Je ne voulais plus jamais aimer,
Je n’arrivais plus à faire confiance
Mes larmes n’avaient de cesse de couler,
Je m’enfermais dans mon silence.

Je n’éprouvais plus de plaisir,
Je me sentais vide de l’intérieur,
Je ne savais plus ce qu’était le désir,
J’ai multiplié les erreurs.

Un beau matin, tu es arrivé dans ma vie,
Chamboulant tout sur ton passage.
Je te regarde, tu me souris,
Il est temps pour moi de tourner la page.

Finalement, c’est ça la vie,
Passer sans cesse du rires aux larmes.
On a l’impression que le bonheur nous fui,
Jusqu’à ce que quelqu’un ravive la flamme.

On est de nouveau rempli d’espoir,
On se laisse aller aux rythmes des saisons.
On oublie notre période noire,
On s’aime simplement sans se poser de questions.

L’amour éternel est il un mythe ou une réalité ?
Peu de personnes vous diront qu’il existe,
Car eux-mêmes, ne l’ont jamais trouvé,
Et que beaucoup ont été supprimé de leur liste.

Comment savoir si c’est la bonne personne ?
On ne se pose même pas la question on sait que c’est elle.
On vit ensemble chaque instant que la vie nous donne,
A ses côtés, dieu que la vie peut être belle !

La vie est souvent imprévisible,
Sans que l’on puisse rien n’y changer.
Rien n’est indestructible,
Et ça, on doit l’accepter.

J'aime beaucoup,je trouve ça vraiment magnifique.
Merci beaucoup pour ce joli moment de lecture.

J'ai écrit ce texte l'année dernière, je tiens à signaler que la majorité de mes textes ne sont pas issus de mon vécu. Ce que j'écris, je l'imagine la plupart du temps. J'écris depuis l'âge de 11 ans, mais bon, ca a commencé à ressembler à quelque chose à 13-14 ans. J'en ai fait lire quelques uns à mes proches, ils m'ont dit que mes textes étaient très beaux et touchants mais moi je ne pense pas pareil, je ne suis jamais satisfaite de ce que je fait. Bref je vais arrêter mon blabla et je vais vous laisser lire. Bonne lecture.

L’augmentation de son loyer,
Ses impôts qui restent impayés,
La perte de son emploi,
La baisse du pouvoir d’achat,
Son ex femme refuse qu’il voit son fils,
La dernière fois qu’il l’a vu, il se faisait embarqué par la police.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Il boit comme le faisait son père.

Il traîne dans les bars,
Fait le tour des comptoirs.
Il n’a pas de quoi payer ses factures d’électricité,
Mais assez pour prendre une boisson alcoolisée.
Il se sent rejeté par la société,
Terriblement seul et désespéré.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Il boit comme le faisait son père.

Il est obliger de vendre sa voiture,
Pour payer ses factures.
Il ne peut plus faire d’emprunts,
Personne ne lui tend la main.
Il sombre dans la dépression,
Et augmente ses consommations.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Il boit comme le faisait son père.

Il ne veut pas se faire soigner,
Il n’a pas de quoi payer.
Il ne voit plus Dédé et toute sa clique,
Ils ne veulent pas traîner avec un alcoolique.
Il a coupé les ponts avec sa famille,
Il a trop honte de sa vie.

Alors il boit, il boit,
Il boit pour oublier tout ça,
Oublier sa vie de misère,
Il boit comme le faisait son père.

Un jour, il eut un malaise en pleine rue,
On sentait à des kilomètres qu’il avait bu.
Un homme qui passait par là,
Lui prit la main et le releva.
Il appela les urgences,
Qui emmenèrent le malade en ambulance.
Il avait une douleur au ventre,
Il avait besoin de soins sans attendre.
Les médecins lui diagnostiquèrent une maladie du foie,
Ils ne lui donnaient plus que quelques mois.
Ils ne veulent pas l’opérer,
Sa maladie est trop développée.
Il a décidé d’arrêter de boire,
Mais, malheureusement, il était trop tard.
Il est parti voir son fils,
Le laisser seul dans ce monde, est pour lui un supplice.
Il le serre dans ses bras,
L’embrasse pour la dernière fois
Il rentre chez lui le cœur léger,
Il peut partir sans regrets.
Il se couche dans son lit, éteins sa lumière,
Avant de s’endormir, il fit une prière.
Il demanda que son fils reste dans le droit chemin,
Qu’il aime les autres et aide son prochain.
Il sait ce que c’est d’être rejeté,
Il ne veut pas que son fils vire du mauvais côté.
Sa douleur au ventre le fait terriblement souffrir,
Il ferma les yeux sans plus jamais les ouvrir.

Un grand merci pour ces jolis textes

Merci beaucoup

Merci beaucoup pour ces textes que tu nous offre, ils sont très beaux

Il y a des gens qui te jugent au paraître,
Ils se croient supérieur et utilisent le verbe être.
Ils croient savoir tout mieux que tout le monde,
Ils se permettent de juger ta vie et te grondent.
Les gens comme ça, on les regarde de haut,
Parce qu’ils sont tombés bien bas,
Ils croient connaître tes défauts,
Mais ils ne te connaissent pas.

Merci beaucoup

Louloutte tu écris comme un artiste peintre, tu peints la vie avec tes mots et tu lui donnes des couleurs. l'art d'écrire comme tu le fais si bien doit persister en toi. surtout lorsque tu nous livres des ressentis que tu n'as pas encore vécu dans l'ensemble. Allez, encore de tes poèmes, on en redemande.

Voilà un nouveau texte pour mes fidèles lecteurs et lectrices. Bonne lecture


J’ai perdu l’envie d’aimer,
Le jour où tu m’as quitté.
Quitté pour un monde meilleur,
Je ne sens plus battre ton cœur.

J’ai abandonné mes rêves,
J’attends que le jour se lève,
J’ai perdu l’envie d’aimer,
L’envie de vivre et d’exister.

Depuis que tu es parti,
Il n’y a plus de sens à ma vie.
Je me sens soudain partir,
Je t’aime jusqu’à en mourir.

J’écoute le souffle du vent,
Je me laisse bercer par l’océan.
J’entends les oiseaux qui chantonnent,
Le soleil est si beau quand il rayonne.

Je regarde les nuages,
Croyant avoir vu ton visage.
Je sens alors mes larmes couler,
Je ne pourrais jamais oublier.


Depuis que tu es parti,
Il n’y a plus de sens à ma vie.
Je me sens soudain partir,
Je t’aime jusqu’à en mourir.

La mort nous a séparé,
Je ne pourrais jamais lui pardonner.
Qu’est ce qu’on a bien pu lui faire ?
Vivre sans toi, c’est l’enfer.
Pourquoi ce n’est pas moi qu’elle a pris ?
Ce type était ivre et a conduit,
Il roulait à contre sens,
Sans penser aux conséquences.

Depuis que tu es parti,
Il n’y a plus de sens à ma vie.
Je me sens soudain partir,
Je t’aime jusqu’à en mourir.

Quand sa voiture t’as percuté,
A plus de dix mètres tu as été projeté.
Le choc a été d’une telle violence,
Tu es parti sans souffrance.
Quelqu’un a appelé les pompiers,
Qui n’ont pas pu te sauver.
Tu étais déjà dans l’autre monde,
Je t’aime chaque minute, chaque seconde

Depuis que tu es parti,
Il n’y a plus de sens à ma vie.
Je me sens soudain partir,
Je t’aime jusqu’à en mourir.

Merci beaucoup pour tous ces jolis textes.

Bravo

Bravo et merci,quelle inspiration!

Merci à tous de prendre du temps de lire mes textes et de me donner vos ressentiments.

J'ai envoyé deux de mes textes à Julie il y a quelques mois, elle ne m'a jamais répondu, et je pense savoir pourquoi, je pense qu'ils étaient trop banaux. Je vais vous les envoyer, vous me direz ce que vous en pensez.

J'imagine un homme doux et tendre,
Avec des étoiles dans les yeux et de l'amour à revendre.
Il éloigne mes doutes, il éloigne mes peurs,
Il est compréhensif et fait battre mon coeur.

Quand je suis dans ses bras,je me sens protégée,
Au creux de ses bras, il ne peut rien m'arriver.
Il me prend la main même devant ses amis,
Il me présente à eux comme la femme de sa vie.

Il me parle de mariage et d'enfants,
On verra ça plus tard, on a le temps.
Il m'emmène sur des terres inconnues,
Où il n'y a que nous et le ciel à perte de vue.

J'ai encore ton nom sur le bout de mes lèvres,
Et des tonnes de souvenirs qui hantent mes rêves.
J'ai ton parfum qui réveille mes sens,
Et des chagrins qui me plongent dans le silence.

Mes larmes ne cessent de couler,
Mon coeur ne fait que saigner.
Tu sais, je souffre le martyr,
J'ai l'impression de mourir.

Il y avait des étoiles dans tes yeux,
Et de la douceur dans ta voix.
Chaque, je remerciais les cieux,
De t'avoir mis près de moi.

Que l'on me donne l'envie d'y croire,
Car, j'ai perdu espoir.
Que l'on sèche mes larmes,
Et que ravive la flamme.

Je ne vois plus le soleil,
Verrais je le bout du tunnel ?
Mon rêve est devenu cauchemar,
J'avance en aveugle dans le noir.

Que l'on me rende mon coeur,
Que m'as pris mon âme soeur.
J'ai froid, je souffre,
Je suis au fond du gouffre.

c'est beau louloutte,
mais tu parles de l'amour avec beaucoup de souffrance. Es-tu sûr qu'il n'y a pas du vécu la dessous ? C'est très proche de la réalité cette souffrance.

Ses yeux pleurent,
Mais ce n’est pas de joie,
Elle a peur,
Peur qu’il recommence encore une fois.

Son corps est marqué,
Son cœur saigne,
Elle ne cesse de culpabiliser,
Rien ne peut soulager sa peine.

Elle pense que c’est de sa faute,
Qu’elle doit faire des efforts,
Elle croyait que ça n’arrivait qu’aux autres,
Mais, elle avait tort.

Elle ne parle plus à personne,
Elle ne sort plus de chez elle,
Elle craint qu’un jour il l’abandonne,
Elle préfère éviter les querelles.

Elle se laisse faire sans rechigner,
Ses coups, elle pense qu’elle les mérite,
Elle est soumise et il le sait,
La haine et la rancœur l’habitent.

Elle sent couler le sang sur sa joue,
Il la laisse là, sans parler.
Elle l’aime plus que tout,
Mais, cette vie là, elle ne peut plus la supporter.

Elle veut partir,
Recommencer à zéro,
Quand il sera entrain de dormir,
Elle prendra le bateau.

La nuit tombe,
Les heures défilent,
Sur le canapé, il s’effondre,
Partir ne sera pas une tâche facile.

Elle se tait,
Il dort paisiblement.
Elle essaye de s’évader,
En marchant très lentement.

Elle prépare ses affaires,
Prend son blouson.
Elle passe par la porte de derrière,
La porte claque, il se lève d’un bond.

Elle court vite pour lui échapper,
Elle pense que jamais il ne la retrouvera,
Il accélère pour la rattraper,
Il parvint à la saisir par le bras.

Il la pousse violemment,
Lui donne des coups alors qu’elle est à terre,
Elle n’entend plus le souffle du vent,
Dans le tunnel, elle a suivi la lumière.

Merci beaucoup encore un très joli texte