Mimie Mathy

Séance de dédicaces de Mimie Mathy au profit de l'association Laurette Fugain lors de l'évènement Coeur de Vies le
Vendredi 24 Septembre 2010 Place de l'Hôtel de Ville de Paris.





http://www.coeurdevies.com/

Depuis le 1er septembre dernier, Mimie Mathy, Michèle Bernier et Isabelle de Botton tournent Trois filles en cavale à la campagne. A l'occasion de leurs retrouvailles - elles s'étaient donné la réplique en 2004 dans A trois c'est mieux -, les trois comédiennes se sont confiées au magazine TV Grandes chaînes.

Le premier téléfilm ayant connu un franc succès - plus de 7,5 millions de téléspectateurs -, Mimie, Michèle et Isabelle mettent le paquet afin que leur second projet soit à la hauteur. Et on peut toujours compter sur leur enthousiasme naturel pour combler le public.

Isabelle de Botton, elle, incarne Mirabelle, l'assistante de Joëlle (Michèle Bernier), qu'elle décrit comme étant "une vraie naïve qui va découvrir l'amour à la campagne". Elle ajoute : "C'est un peu l'amour est dans le pré" ! Une phrase qui ne tombe pas dans l'oreille d'une sourde, en particulier lorsqu'il s'agit de Mimie Mathy.

Son téléfilm Joséphine, ange gardien se retrouvant diffusé face à L'Amour est dans le pré, la comédienne rétorque non sans humour : "Euh, Isa, si tu pouvais éviter de parler de cette émission... Elle m'a battue tout l'été" ! Dans le téléfilm Trois filles en cavale, Mimie Mathy incarne Vicky, "une dentiste coincée, très tailleur Chanel".

Après s'être rencontrées dans les années 1980 au sein du Petit Théâtre de Bouvard, les trois copines songent-elle à un retour sur scène ensemble ? Mimie Maty répond : "Sérieusement, j'enchaîne les Joséphine jusqu'à la fin 2011. Ça laisse peu de place pour le reste. A moins que l'on bloque une date unique au Stade de France" (Rires) !

En attendant de débarquer dans Trois filles en cavale, Mimie sera ce soir dans Joséphine, ange gardien où elle sera accompagnée de Cécilia Cara et devrait également présenter une émission sur TF1 pour l'Unicef, dont elle est l'une des ambassadrices : "TF1 m'a proposé de présenter un show télé autour de l'association. Je le fais uniquement parce que c'est pour une bonne cause. Autrement, j'aurais refusé. Faire une émission pour faire une émission, très peu pour moi. Mais pour l'Unicef, je dis oui ! Reste à caler les dates. Encore ce maudit planning" !

Chloé Breen
http://www.purepeople.com

Mimie Mathy s'engage pour l'association Laurette Fugain aux côtés du Prix d'Amérique Marionnaud 2011

Diffusion de 3 filles en cavale sur TF1 (Mathy, Bernier, De Botton)



Trois filles en cavale : Une comédie d'une heure trente réalisée par Didier Albert sur un scénario original de Isabelle de Botton et Sophie Deschamps : à voir le 7 février sur TF1.

Avec :

Mimie Mathy (Vicky Lebel)

Michèle Bernier (Joëlle Dessources)

Isabelle de Botton (Mirabelle)

Et Yves Afonso (Père de Rémi) - Patrice Juiff (Rémi) - Manuel Gélin (Pierre) Pierre Deny (Philippe Leroy) - Cédric Chevalme (Marc).

Une avocate (incarnée par Michèle Bernier), son assistante (Isabelle de Botton) et une dentiste (Mimie Mathy) sont témoins de l'exécution d'un homme en plein Paris et sont obligées de fuir pour échapper aux malfrats. Elles se retrouvent "au vert" au fin fond de la campagne... Pour leur sécurité, ces trois urbaines vont devoir cohabiter et jouer les agricultrices... Y parviendront-elles, seront-elles démasquées ?

Isabelle de Botton : "Odile Mc Donald, productrice d'A trois c'est mieux, avait envie de nous réunir de nouveau. Avec Michèle Bernier et Sophie Deschamps, nous avons trouvé une situation où notre incongruité serait la plus désopilante. Michèle et Mimie redoutent araignées, moustiques et autres bestioles de la campagne. Il nous a semblé intéressant d'immerger les urbaines que nous sommes dans un environnement étranger, voire hostile, où nous pourrions jouer un peu les idiotes et trouver aussi des éléments de tendresse et d'émotion".

Diffusion sur TF1 le 7 février à 20h45.

Mimie Mathy : « Il ne faut pas se forcer à être un “enfoiré”




Fidèle “enfoirée” depuis 1995, Mimie Mathy sera dès demain sur le grand plateau que dirige Jean-Jacques Goldman, pour sept représentations à l’Arena.

Pourquoi et comment êtes-vous arrivée dans l’aventure en 95 ?

Comme les autres, parce qu’on m’a appelée. C’est Jean-Jacques Goldman qui me voulait. Mais il y avait déjà Pierre Palmade et Muriel Robin. À l’époque, c’était plus sobre et ça ne durait pas quatre heures ! J’avais fait le sketch de la flûtiste. Et puis, au fil des ans, je me suis mise à chanter. C’est une formule qui pousse à évoluer. Et aujourd’hui, le spectacle des Enfoirés recueille la plus grande audience dans le domaine de la variété.

Quel est votre état d’esprit pour ce rendez-vous ?

Quand on a dit oui, on sait qu’on va être déguisé et sans doute un peu ridicule. Il faut jouer le jeu et se laisser porter par l’ambiance générale. Nous sommes tous des professionnels mais nous faisons à ce moment-là autre chose. Tout le monde est prêt à s’amuser mais c’est beaucoup de travail. Je dirai même que si l’on répète de moins en moins, on travaille de plus en plus....

Tout est prêt pour demain ?

Mercredi ce sera le premier soir. C’est le moment où on se lance et bien souvent cela ressemble en fait à une dernière répétition générale, alors il faudra être indulgent pour les petits cafouillages. Mais le public est très complice de cette mise en route du spectacle et certains spectateurs aiment particulièrement venir assister à cette première représentation.

Cette participation a-t-elle changé quelque chose à votre carrière ?

Non, ma carrière elle existait déjà. Et on vient chercher des gens qui ont déjà une popularité. Aujourd’hui nous sommes une quarantaine d’artistes, c’est un nombre constant. Et si, cette année, ni Julien Clerc ni Cabrel ne sont là, Serge Lama fait son retour et Zaz fait son entrée.

L’adaptation est facile ?

Certains ne sont pas toujours à l’aise, alors ils ne reviennent pas. Il ne faut pas se forcer à être un “enfoiré”.

Qu’est-ce qui a changé dans le spectacle ?

Il y a toujours les medleys, très importants, quelques chansons pour grandes voix aussi, mais la place accordée aux sketches et à la comédie s’est agrandie. Les gens adorent ça et, quand on pense à Coluche, cela obéit à une certaine logique. Jean-Jacques (Goldman) lui-même aime aller dans cette voie de plus en plus.

Cette année encore vous êtes la femme préférée des Français. Que ressentez-vous ?

Je suis très heureuse à chaque fois. On fait ce métier pour être aimé. Avec mon mètre trente-deux, je suis la préférée et ça fait du bien par où ça passe. Encourageant aussi pour d’autres qui peuvent se dire si elle, elle y arrive... devant moi, il y a Yannick (Noah), un Noir et Zidane, un Maghrébin. Les Français sont beaucoup moins mauvais qu’on le dit !

Recueilli par Jean-François BOURGEOT

Mimie Mathy va encore papoter sur scène.



Crédit photo © Jean-Marc Sureau - TF1

Interrogée par Nathalie Vigneau pour Télé star, la comédienne Mimie Mathy dit être sur le point de resigner pour dix nouveaux épisodes de Joséphine ange gardien (5 par an). Elle dit qu'il y aura arrêt de la série avant de faire l'épisode de trop. "Je pense avoir un an ou deux devant moi. La série a encore des sujets". La décision d'arrêter se prendra d'un commun accord, assure-t-elle.

En projets : un divertissement pour TF1, dont les bénéficies iraient à l'UNICEF. Et la scène quand Joséphine lui laissera un peu de temps. "Je papote encore" sera la suite de "J'adore papoter avec vous". Le texte est écrit.

http://www.leblogtvnews.com

« Arrêter Joséphine n'est pas au programme »



Dans l'épisode de demain, vous jouez du violon. Etre musicienne, ça vous aurait tenté ?

J'aurais pu l'être. Mon papa l'est. Et mon amie d'enfance a vécu exactement la même chose que dans l'histoire, en étant premier piano à l'orchestre de Lyon. Elle a la même vie que Juliette dans le film. Lorsqu'on était petites, pendant que j'écoutais Claude François et Sheila, elle faisait ses gammes au piano. Je n'enviais pas sa vie. Mais je trouve la musique magnifique et je regrette de ne pas avoir persévéré. C'est un langage universel.

Est-ce pour ça qu'aux Enfoirés,
vous accaparez souvent le micro ?

J'adore ça ! Mais ce n'est pas un manque. Je n'ai pas la voix d'une Maurane ou d'une Liane Foly, mais je chante juste et j'aime le faire. Ça complète un peu ce que je fais dans la comédie. Et c'est ma formation de base puisque j'ai appris le chant, la danse et la comédie à Nice. Mais je me suis orientée vers la comédie car au départ, c'est plus facile de monter un spectacle de café-théâtre que d'enregistrer un disque.

Faire partie d'une troupe, d'une tournée,
ça vous plairait encore ?

Pas spécialement. Les Enfoirés tous les ans, ça me suffit. J'aime bien l'indépendance. J'ai suffisamment à faire actuellement et je suis comblée. En dehors des Joséphine, j'ai toujours quelques opportunités qui me permettent de faire autre chose.

Dans cet épisode, vous décrivez un monde
de la musique avec beaucoup de jalousie…

Le milieu de la musique classique, c'est comme la danse classique. Le film dépeint bien les jalousies entre premier et deuxième violon. C'est un milieu très fermé avec peu de réussite, mais énormément de travail, de répétitions, d'entraînements intensifs. C'est un art extrêmement difficile. Nous, les comédiens, on n'a pas besoin de faire 5 ou 6 heures par jour d'exercices.

La musique classique, vous en écoutez ?

Ça m'arrive. Ça me permet de me concentrer sans être distraite par les paroles. Sinon, j'adore Bécaud, Aznavour et j'ai hâte que Goldmann refasse un album. J'aime aussi Grand Corps Malade ou Maurane. Mais le matin, je me réveille avec les infos, avec LCI. Je n'écoute pas la musique en permanence. En travaillant, il n'y a qu'un petit Vivaldi ou Beethoven qui passe.

Beaucoup d'enfants ont grandi au fil des épisodes de Joséphine ange gardien. Quelle différence y a-t-il entre Joséphine et Mimie ?

Moi je n'ai pas grandi (rires). C'est vrai que c'est un personnage très sympa et la jeune génération ne m'a connu que dans ce rôle. C'est très gratifiant que l'on me prenne pour un ange gardien dans la vie.
Ça fait quatorze années que ça dure et le format ne vieillit pas. Vous êtes repartie pour autant d'épisodes ?
Je ne sais pas si je tiendrais jusque-là et si le public suivra toujours. Chaque épisode est différent. Rien n'est récurrent, contrairement à une enquête criminelle. Je commence à avoir fait beaucoup de métiers avec Joséphine et je m'amuse toujours. Là, on voulait me doubler au violon, mais je voulais le tenir et être crédible. Dans les prochains, je serai guide touristique à Paris puis prof de tir à l'arc dans un club de vacances. En fait, on traite de tous les sujets de société qui pourraient être, un peu tristes, sur Arte, mais là, il y a des gags et une fin heureuse.

Ces sujets de société
font-ils la recette du succès ?

C'est aussi une équipe qui travaille beaucoup. Les scénaristes ont été renouvelés et rien n'est jamais bâclé. On ne se laisse jamais aller à la facilité. On aime ou pas la série, mais on ne peut que constater ce travail de fond et d'écriture. Je n'ai qu'à rajouter mes « joséphinades », mon improvisation.
« Il y a toujours une fin heureuse et non pas trois viols et douze meurtres comme pour les Experts »

Vous battez des records d'audience.

Je touche du bois. Avec la multiplication des chaînes et la baisse d'audience générale, je remercie moi aussi mon ange gardien.
Dans la semaine, Joséphine est l'une des rares émissions qui ne traitent pas de meurtres et d'enquêtes criminelles…
C'est peut-être ça aussi qui explique le succès et l'attachement du public à ce personnage Les parents sont tranquilles en laissant leurs enfants devant Joséphine.

Jusqu'à quand incarnerez-vous Joséphine ?

Je n'ai pas encore prévu d'arrêter. Il vaudra mieux partir en plein succès puis je reviendrai à la scène. Mais ce n'est pas encore au programme.

La scène justement, le one-woman-show,
vous envisagez d'y revenir ?

Ça me manque (soupirs). J'ai un spectacle qui chauffe sur l'ordinateur depuis un moment. Mais entre les tournages, les missions Unicef (elle est ambassadrice depuis 2009) et la vie de famille, je suis assez occupée. Mais le jour où Joséphine s'arrêtera, je me précipiterai sur scène.

Vous êtes toujours la personnalité féminine
référée des Français. Comment l'expliquer ?

Il ne faut pas l'expliquer. Ça me fait surtout plaisir pour mes parents qui ont eu une grosse trouille à ma naissance. Et quand je vois ce classement tous les ans, ça me fait un bonheur immense pour eux, mais pour moi aussi. Je ne vais pas faire semblant. Ça fait du bien et ceux qui disent qu'ils s'en foutent ne doivent pas faire ce métier. Je pense être sincère et si je file la pêche à des gens qui ont quelques bobos, s'ils se sentent mieux grâce à moi, tant mieux. Après, il y aura toujours des gens qui ne m'aimeront pas. Mais il ne faut pas tricher et les gens s'en rendent compte.

Vous êtes une éternelle optimiste…

Je suis tombée dans une marmite d'optimisme à la naissance. C'est dû surtout à mon éducation. Je vais fêter l'an prochain mes trente années de carrière et je n'aurais jamais pu faire semblant. J'aime la vie et mon métier. J'ai la chance de faire ce dont je rêvais, de bien gagner ma vie, de payer mes impôts en France et d'être heureuse d'en payer. J'ai rencontré l'homme de ma vie, j'ai une vie et une famille formidable, une bonne santé. J'ai peut-être, vraiment, un ange gardien.

Rêvez-vous d'un nouveau défi,
du cinéma à présent ?

C'est bien d'avoir encore des envies. Mais ce n'est pas une frustration contrairement à quelques copines. Si l'on pense à moi, tant mieux. Mais je n'ai pas envie de faire n'importe quoi. Je préfère faire 8 millions de téléspectateurs plutôt que 100 000 entrées. C'est comme un bouquet de fleurs. On n'en rêve pas, mais quand il arrive, ça fait très plaisir.

On vous entend rarement parler de politique contrairement à d'autres acteurs. Pourquoi ?

Je ne vois pas ce que Joséphine irait foutre là-dedans. S'il y avait un ange gardien qui devait intervenir, ce serait l'an prochain pour les élections. Il y a du boulot et beaucoup en auraient bien besoin. Sauf un parti.
Propos recueillis par Romain Schué
(Agence de presse Groupe Hersant Media)
Joséphine ange gardien, Tout pour la musique, ce lundi 11 avril à 20 h 45 sur TF1.

http://www.lunion.presse.fr/

Mimie Mathy : Joséphine, le miracle permanent

L’ange gardien de TF1 connaît un succès non démenti depuis quatorze ans.



A chaque diffusion, 8 millions de personnes suivent les aventures de son personnage, Joséphine. Mimie Mathy nous parle de l’épisode qu’elle est en train de tourner au Maroc. Et confie qu’elle invitera bientôt Lorie en guest-star.

FRANCE-SOIR Que pouvez-vous nous dire de l’épisode que vous êtes en train de tourner au Maroc ?

MIMIE MATHY Je vole au secours d’une jeune violoniste qui se fait harceler moralement et sexuellement par son employeur. Je jouerai le rôle d’une mono de tir à l’arc. Je vous rassure, vous n’aurez pas l’occasion de me voir en maillot de bain. Je laisse ça à Loana ! En revanche, vous me verrez monter à dos de chameau.

F.-S. Ça fait quatorze ans que vous jouez ce rôle. Aviez-vous hésité à vous lancer dans cette série à l’époque ?

M. M. Absolument pas. C’est TF1 qui hésitait en revanche. Les séries policières du type Navarro et Julie Lescaut étaient en plein boom. Ils avaient peur que la mayonnaise ne prenne pas. Ma plus grande fierté aujourd’hui, c’est que des gamins se demandent comment je fais pour disparaître. Ce qui m’inquiète, c’est de voir que les adultes démissionnent de leur rôle de parents. Les miens m’ont appris à croire en moi, à me bouger.

F.-S. Les séries françaises peuvent-elles rivaliser avec les séries américaines ?

M. M. Je suis heureuse lorsque Joséphine ange gardien égale le score d’une série américaine. Mais il ne faut pas essayer de rivaliser. Nous n’en avons pas les moyens. Camping Paradis comme Joséphine ange gardien n’ont aucune chance de séduire les Américains. On peut toujours rêver : ça ne me déplairait pas de recevoir Bruce Willis en guest dans l’émission.

F.-S. En parlant de guest, qui recevrez-vous dans les prochains épisodes ?

M. M. Lorie. Nous en avons parlé sur les Enfoirés. Ça serait marrant de recevoir également Garou.

F.-S. L’après Joséphine, ça ne vous angoisse pas ?

M. M. Non. Il faut bien que ça se termine un jour. J’ai signé pour deux ans de plus, mais je ne suis pas sûre d’en faire beaucoup plus. Il ne faudrait pas lasser les gens. Je n’aimerais pas remplacer Denise Gray ! Et puis, je me projette sur scène avec un nouveau one-woman-show.

Joséphine ange gardien, TF1, 20 H 45

Par Propos recueillis par Ingrid Bernard

http://www.francesoir.fr

Christophe Beaugrand nous emmène à la recherche de Mimie Mathy actuellement en tournage au Maroc.

Valérie Kaprisky tourne dans Joséphine ange gardien.



La comédienne Valérie Kaprisky tourne actuellement le 59ème épisode de la série Joséphine ange gardien avec Mimie Mathy. "Yasmina" est réalisé par Sylvie Ayme pour TF1.

L'histoire : Joséphine arrive chez Privela, immense multinationale, pour parrainer la candidature de la jeune Yasmina. Jeune maghrébine qui a grandi dans les cités de la banlieue parisienne, elle n'a pas tout à fait le profil des cadres habituellement recrutés par ce leader mondial en parfumerie et produits de beauté. Yasmina préfère mentir sur ses origines, s'inventant un père qui a travaillé dans l'import export et une enfance à l'ombre des Champs-Elysées. Joséphine l'encourage pourtant à dire la vérité. Elle redoute effectivement que ses futurs employeurs le découvrent... Ce que notre ange gardien ignore, c'est que ce n'est pas le dernier des mensonges de sa cliente. Avec Yasmina, Joséphine va aller de surprises en surprises.

http://www.leblogtvnews.com