Hélène Segara

Le 12 Fevrier entre 16h et 17h dans le Grand Studio

Hélène Segara sera presente dans le Grand Studio de Mona FM le Jeudi 12 Fevrier de 16h à 17h.

La chanteuse de "Ya trop de gens qui t'aime" ou encore "Elle, tu l'aime" nous parlera de son nouvel album "Mon Pays c'est la terre" qui comprend 15 chansons qui reprennent folklores et hymnes du monde entier allant du Concerto D’Aranjuez (musique traditionnelle espagnole) “Mon pays c’est la terre” à “Si j’avais moins peur”, célèbre reprise irlandaise des Christians “If I can have words”.

Comme d'habitude, cette interview se fera en direct et en public du Grand Studio de Mona FM, pour gagner vos pass VIP, merci de remplir le formulaire, les gagnants seront prevenus par Email.

http://www.monafm.fr

« Vie privée, vie publique » : Le courage de s'en sortir sur France 3


Mireille Dumas présentera un nouveau numéro de « Vie privée, vie publique » lundi 23 février à 20:35 sur France 3. Cette émission aura pour thème « Le courage de s’en sortir ».

Les invités de Mieille Dumas ont tous le même point commun : une force de caractère exceptionnelle et une joie de vivre qui leur ont permis de surmonter le pire. Avec Hélène Ségara, Patrick Bosso, Karine Duchochois, Sylvie Brunet et Nan Aurousseau.

Comment ont-ils réussi à se sortir de la pauvreté, voire de la misère, à dépasser de douloureux conflits familiaux et même l’abandon parental, pour enfin réaliser leurs rêves ? Des témoignages pleins d’optimisme et bouleversants de sincérité, tout comme celui de l’incomparable Véronique Sanson qui a décidé de parler sans détour de sa vie mouvementée.

Hélène Ségara, plus épanouie que jamais, chante l’amour depuis toujours. Pourquoi a-t-elle quitté sa famille si jeune et vécu sans rien avec son enfant pendant plusieurs années, avant de rencontrer son mentor, le célèbre imprésario Orlando, frère de Dalida ?

Karine Duchochois était elle aussi une jeune maman à la dérive, en rupture familiale quand elle s’est retrouvée injustement accusée dans la tristement fameuse affaire d’Outreau. Comment a-t-elle réussi à surmonter toutes ces épreuves et à devenir journaliste ?

Patrick Bosso a décidé de nous faire rire sur scène avec sa vie démunie dans les cités de Marseille. Est-ce son humour et l’amour de sa famille qui l’ont empêché de mal tourner ?

Nan Aurousseau qui dans son enfance a connu la faim et les huissiers, a commencé, lui, par être un voyou et un braqueur avant de devenir un écrivain reconnu.

Quant à Sylvie Brunet, qui a grandi sans père et dans le plus grand dénuement, quelle force l’a poussée à réaliser un rêve inaccessible : devenir cette magnifique cantatrice qui n’hésite pas à allier rock et opéra.

Rencontre exceptionnelle avec Véronique Sanson
Rencontre exceptionnelle avec l’une de nos plus grandes chanteuses et musiciennes qui fête ses 40 ans de carrière et ne cesse de nous étonner et de nous émouvoir : Véronique Sanson. Née dans un milieu favorisé, l’artiste n’a cessé de lutter contre ses propres démons et d’écrire avec une poésie sans pareille ses amours impossibles et ses blessures. « Une force et un courage incroyables pour affronter les difficultés de sa vie » selon les termes de son fils Christopher. Une admiration partagée par sa sœur aînée Violaine, sa plus grande complice, qui témoigne pour la toute première fois à ses côtés.
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Hélène Ségara va remplacer Frédéric François

Hélène Ségara débutera sa nouvelle tournée à Menou.
C'est finalement Hélène Ségara qui se produira au quartier Valmy le samedi 20 juin, en remplacement de Frédéric François. Précisions avec l'adjoint au maire Jean-Pierre Louviot.
Vous rebondissez de belle manière en accueillant bientôt Hélène Ségara…
« Il est vrai que ce n'était pas évident, car nous n'avions pas le choix sur la date. Il fallait absolument que ce soit le 20 juin. Aucun autre créneau n'était disponible.
Il se trouve qu'une fois encore, Sainte-Ménehould va tenir un rôle de « tremplin », puisque nous serons l'une des toutes premières dates de la nouvelle tournée d'Hélène Ségara ; une tournée baptisée Mon pays, c'est la terre, suite à son dernier album sorti en novembre 2008.
Nous sommes ravis d'accueillir cette grande chanteuse, dont le succès ne s'est pas démenti depuis ses débuts avec Notre dame de Paris. Il s'agit d'une chanteuse grand public au sens noble du terme. »
Et par rapport à Frédéric François ?
« Disons qu'on ne perd pas au change… Peut-être que ce ne sera pas tout à fait le même public. Quoi que, nous avons désormais beaucoup de « fidèles » que nous retrouvons de spectacle en spectacle. »
Vraiment ? Et vous les estimez à combien ?
« Je dirais dans les 300 personnes. Sachant qu'il y a un roulement. Entre ceux qui préfèrent les humoristes et ceux qui vont plutôt voir les chanteurs. »
Certains vous reprochent de ne pas viser un public plus jeune…
« Le samedi 4 avril, nous proposons un spectacle national de hip-hop avec 12 danseurs et 3 musiciens. Sans compter la première partie assurée par nos locaux de l'Aiglonne ! Or, pour l'instant, côté réservations, on ne se bouscule vraiment pas… Un chanteur pour « jeunes » comme Christophe Maé, par exemple, ne se déplace pas à moins de 2.000 places. Nous n'en avons que 800 au grand maximum. »

dimanche 25 janvier 2009
La jeune Esmeralda de Notre Dame de Paris est devenue une grande de la variété française. Hélène Segara a sorti son cinquième album studio "Mon pays, c'est la terre" et nous reparle de sa carrière, de ses rencontres et de son évolution en tant qu'artiste.




Revenons un peu sur le début de ta carrière : quel est le moment où tu as ressenti que cela commençait à bien marcher pour toi ? Quel a été le révélateur de ton succès à venir ?

En réalité, il n'y a pas un élément en particulier qui m'a fait dire : "ça y est, j'ai enfin réussi à me faire connaître". Tout s'est enchaîné très vite et il est vrai que, dans ces moments là, c'est quand j'ai fait une pause, après avoir eu un problème de voix suite à mon concert au Canada, que j'ai commencé à réaliser.

Orlando, le frère de Dalida, est rapidement devenu un mentor et quelqu’un qui t’a aidée dans ta carrière. Considères tu qu’il est nécessaire pour un artiste d’être bien entouré ?

Orlando est effectivement quelqu'un d'essentiel pour moi : il me guide, m'accompagne sur les différents projets que je mène et surtout, il n'essaye pas d'imposer sa vision des choses. Pour mon dernier album, par exemple, qui est un peu particulier puisqu'il s'agit d'adaptations de chansons du monde, il m'a soutenue, alors même que le projet était un peu particulier, pas forcément ultra commercial. Je pense effectivement qu'il est fondamental de s'entourer pour tout simplement avoir du recul par rapport à ce que l'on fait. Aujourd'hui, cela se passe aussi en famille, puisque mon mari, Mathieu Lecat, participe à la réalisation de mes albums. Je suis aussi très bien entourée au niveau d'Universal, mon attachée de presse et tous ces gens là sont très importants car il me permettent d'avoir ce recul indispensable et m'aident au quotidien.

Tu es entrée sous le feu des projecteurs de la comédie musicale « Notre Dame de Paris ». Qu’est ce que cette expérience t’a apporté en tant qu’artiste ?

En réalité, au départ, Luc Plamondon m'avait contactée pour me proposer le rôle d'Esmeralda. J'avoue qu'à l'époque, je n'arrivais pas à me voir dans un spectacle comme cela, j'étais très impressionnée car une comédie musicale de cette ampleur, en particulier un spectacle centré sur les hommes finalement, j'avais du mal à m'y projeter. C'est suite à la défection de Noa, que Luc m'a proposé à nouveau de rejoindre la troupe. Je ne sais pas si c'est le duo que j'avais interprété avec Andrea Bocelli ("Vivo per lei") qui m'avait mis en confiance, mais en tous les cas, j'ai tout de suite accepté. Andrea m'avait permis de prendre confiance en moi et de me dire que je pouvais me risquer à interpréter des choses différentes et découvrir une manière nouvelle de travailler. Il est vrai qu'au départ, je me disais que le rôle de la belle Esméralda ne me convenait pas forcément. Au niveau de mon caractère, je ne suis pas trop le genre "femme fatale", donc je pensais que j'aurais des difficultés pour interpréter un personnage aussi différent de moi. Finalement, c'était une expérience fantastique et c'est un spectacle qui a très bien fonctionné. D'ailleurs, tous les membres de la troupe sont restés très proche depuis...

Il est vrai que c'est une prise de risque... mais "Quand l'éternité" par exemple reste un de mes albums préférés. C'est un album assez dur, plutôt sérieux et mélancolique mais il a fonctionné pour moi comme une véritable thérapie. C'est amusant de voir d'ailleurs qu'il a été très bien accueuilli par la critique (pas toujours tendre avec moi !), c'est celui qui a suscité le plus de compliments de la part des journalistes. Paradoxalement, c'est celui qui ne s'est pas forcément le plus vendu, autour de 200 000 exemplaires, quand "Humaine" avait été vendu à 700 000 exemplaires. Donc c'était effectivement une prise de risque à la fois artistique et commerciale. L'avantage, c'est que les gens qui m'entourent respectent mes choix et mes évolutions artistiques. Moi même en tant que femme, j'ai changé, forcément. J'ai commencé ma carrière à 20 ans, et je n'ai evidemment plus la même vision de la vie et des choses. Et cela se ressent sur ma musique et mes textes. Donc je dirai que c'est une prise de risque mais qui est de toute façon inhérente à son évolution personnelle, en tant qu'artiste et en tant qu'individu. Après, il y a des choses que je ne me risque pas encore à faire. Par exemple, j'adore des groupes comme Radiohead ou Muse, mais je me verrais mal reprendre une de leurs chansons en concert. D'abord, parce que, quand on se frotte au génie, il faut faire attention à ne pas être déceptif (rires). Et en plus, je pense que les gens seraient surpris de me voir faire cela et que ce ne serait pas forcément apprécié ou bien vu des fans de ces groupes. Une chanteuse de variété qui fait du rock, c'est toujours un peu risqué...

Tu as choisi avec ton nouvel album, "Mon Pays, c'est la Terre" de faire des adaptations de chansons provenant de différents pays. D’où est partie cette idée ?

C'est une vieille idée, un vieux projet. Comme tous les projets qu'on porte depuis longtemps, on attend toujours le moment pour que l'idée puisse enfin voir le jour. C'était un projet très nouveau car il y a eu en amont un vrai travail de recherche pour que la manière dont on reprenait ces chansons soit créative. D'ailleurs à la base, l'idée était vraiment de reprendre ces chansons dans leur langue d'origine mais au moment de la réalisation, c'était un peu compliqué donc nous avons réadapté des textes en français. Et puis, c'est vrai que je suis quand même connue comme une chanteuse francophone et les radios effectivement, demandent à ce qu'on passe plus de français. En partie pour des raisons de quota donc, j'ai revisité les textes en français en gardant quelques parties originales, pour certaines, parce que je trouvais ça dommage.

Comment se passent l’enregistrement d’un album ? Peux-tu nous parler un peu de ta manière de fonctionner en studio ?

On a d'abord fait une partie des maquettes "à la maison" si on veut. En effet, mon mari s'est occupé d'une partie des arrangements et des adaptations de ces chansons existantes. Une fois ce travail fait, nous sommes allés enregistrer en Belgique dans un studio fantastique et j'ai eu l'occasion de travailler avec des musiciens que j'admire beaucoup. Le travail en studio est toujours passionnant. En amont, pour cet album, j'ai bénéficié de l'aide précieuse de Richard Cross. Nous avons ensemble répété les différentes chansons car il fallait que je respecte la variété des pays représentés dans ces chansons. Il m'a réellement permis de faire des choses que je ne pensais pas pouvoir réaliser aussi facilement. C'est le principe d'ailleurs de son coaching vocal : permettre d'avoir un niveau d'exécution et d'interprétation très bon très rapidement. Car souvent les mises en place vocales peuvent prendre un peu de temps. Là, grâce à sa patience et sa pédagogie, Richard me permettait d'être tout de suite prête à enregistrer.

On a l’impression que tu as été le fer de lance des chanteuses « à voix » avec des chanteuses comme Céline Dion ou Lara Fabian. Ces derniers temps, on a vu éclore de nombreuses chanteuses reconnues plus pour leurs textes ou leur univers que leurs performances vocales. As-tu ressenti cette évolution au niveau professionnel ?

C'est vrai que j'ai ressenti cette évolution, ce glissement. Je pense qu'en fait, il y a toujours des évolutions, des tendances dans la musique. Souvent par réaction d'ailleurs : peut être que les chanteuses "à voix", si on veut, avaient été très exposées, médiatisées et qu'à un moment, le public mais surtout la presse, les critiques, ont voulu parler d'autres gens, d'autres styles. Avant que Céline Dion et des artistes comme cela soient programmées sur NRJ par exemple, il y avait beaucoup plus de rap, de musique urbaine. Donc le paysage média évolue aussi en fonction de ces tendances. C'est ce qui s'est passé avec ce qu'on a baptisé la "nouvelle scène française" qui mettait en avant plus des univers et des personnalités que des voix proprement dit. C'est bien souvent les médias qui donnent un peu la tendance ou qui font la lumière sur telle ou telle artiste. De même au niveau des labels, il y a eu un travail fait sur ce nouveau type de chanteurs et chanteuses pour les mettre plus en avant. Pas toujours de la meilleure manière qui soit d'ailleurs : je pense que le premier single de Berry par exemple, n'est peut être pas le mieux ou le plus représentatif de son univers mais après, ce sont des choix sur lesquels les artistes ont un peu moins leur mot à dire. Autant sur la direction musicale, les albums, je suis très libre mais le choix des singles se fait en coordination avec la maison de disque donc on a moins de prise dessus. En plus, il est parfois très difficile de faire un choix en la matière car il n'y a pas qu'une seule vérité.

Effectivement, j'ai eu une carrière "interrompue" si l'on veut est lorsqu'on m'a diagnostiqué un kyste aux cordes vocales, en pleine tournée. Au cours d'une représentation au Canada, j'ai littéralement perdu ma voix et j'ai du me faire opérer. La voix est instrument fragile, il faut naturellement y faire une attention toute particulière. J'ai déjà une hygiène de vie assez bonne : je ne bois pas, je ne fume pas. Mais le secret de la voix, selon moi, c'est le sommeil. Une voix bien reposée est une voix qui sera au maximum de ses possibilités. Il est vrai que ce n'est pas toujours facile, avec les tournées, les décalages horaires. Par exemple, j'étais aux Etats Unis hier donc là, comme tu me vois, je suis un peu fatiguée ! Heureusement, je ne chante pas ce soir (rires). Donc, voilà, le plus important surtout : savoir se reposer !

Tu es une artiste de duos, on l’a vu avec le single avec Bruno Pelletier pour l’association Rêves et sur ton dernier album avec le duo avec Maurane. Comment se passent ces rencontres ? Est-ce toi qui a l’idée de collaborer avec quelqu’un sur un titre ?

Effectivement, j'adore les duos. Maurane est une amie mais à part les Restos du Coeur ou certaines télés, nous n'avions jamais enregistré de duos ensemble. Là, ce n'était pas seulement une envie artistique même si j'admire énormément sa voix. Et j'étais sûre que celle-ci allait coller parfaitement sur cette chanson. D'ailleurs en studio, on a chanté l'une après l'autre et chacune était vraiment fan de l'autre, c'était amusant à voir (rires). Mais surtout, j'avais envie de faire quelque chose avec elle depuis longtemps. C'est une amie proche et quand j'ai écrit le texte de « Greensleeves », j'ai pensé tout de suite à elle.

Tu es une artiste de scène. Comment te prépares-tu avant un live ? Est-ce plus facile aujourd’hui avec l’expérience ?

On est toujours stressé, on a le trac quelque soient les conditions ! Je me souviens d'une conversation qu'on relate de Sacha Guitry qui répondait ceci à une de ses actrices qui disait ne pas avoir le trac : "Ne vous inquiétez pas Madame, ça viendra avec le talent" (rires). Je pense que le plus dur surtout est de faire que ce trac ne vienne pas polluer le plaisir que l'on peut prendre sur scène. Pour moi, ce qui a changé avec le temps, c'est que désormais je peux pleinement apprécier d'être sur scène, de communiquer avec le public. Avec Richard Cross, on travaille pour que ma voix soit tout de suite au maximum de ses possibilités. Ce qui fait que j'ai moins à me soucier de ma technique et je peux me concentrer sur le plaisir d'interpréter et d'être là, sur scène, tout simplement.

Si tu avais un conseil à donner à une jeune chanteuse qui décide de se lancer dans un projet musical quel serait-il ?

Il est vrai qu'aujourd'hui, déjà, on a l'impression que le contexte est plus difficile. L'ambiance dans les maisons de disque est plus morose car on sait que l'on vend moins qu'avant. Ce n'est pas vraiment que les gens aiment moins la musique, elle est partout, mais le modèle a bien sûr changé. Moi-même, j'achète de la musique sur iTunes. Donc je pense que déjà, il faut être préparé à ce nouveau contexte. Ensuite, le plus important cela reste quand même le travail et la patience. On doit continuer à se construire, à faire même s'il n'y a pas une issue certaine prévisible. A chaque étape, quelle qu'elle soit, il se passe quelque chose qui fait évoluer, avancer. Aujourd'hui, je ne suis plus la même et je me vois faire des choses plus différentes, cela se sentira sans doute encore plus sur le prochain album, car même mes références, mes modèles ont changé. Enfin, dernière chose : évidemment, la scène. C'est toujours un moyen de se tester, de voir si on y prend du plaisir et parfois même, c'est une réelle avancée, plus significative par exemple que la publication d'un album qui ne donnera pas nécessairement droit à son passage sur NRJ, évidemment !

Merci Hélène !

Pour la générale de Cléopâtre, la comédie musicale de Kamel Ouali, toute la Star Ac avait fait le déplacement.
Hier soir, au Palais des Sports de Paris, il y avait plus de Staracademyciens au mètre carré que lors des primes du vendredi soir. Pour ce spectacle qui voit s’épanouir Sofia Essaïdi, ancienne académicienne elle aussi (de la saison 3) en reine d'Egypte, de nombreux people étaient venus. Enfin, quand on dit people… Des anciens de la Star Ac ont assisté à la générale notamment Quentin Mosimann, le vainqueur de la Star Ac 7 et Alice, la finaliste malheureuse de l’année dernière. En train de préparer son album, Alice n’a pas manqué de venir applaudir ses confrères.
Tous ces petits jeunots restaient sous la surveillance de Nikos Aliagas, Armande Altaï et Matthieu Gonet, l’ancien prof de chant. Un peu comme pour Miss France, les anciens de la Star Academy sortent toujours chaperonnés.
Hélène Ségara, grande adepte de la Star Academy, et Arielle Dombasle faisaient elles aussi partie du public. Du lourd on vous dit !

Tous fans de séries, édition 3



Vendredi 13 mars sur Série Club, programmation du numéro 3 de l'émission Tousus fans de séries. Soirée présentée par Elsa Fayer et François-Pier Pélinard-Lambert avec Anthony Kavanagh, Arnaud Gidoin, Emma Daumas et Hélène Ségara.

Les invités parleront de leurs goûts en séries et de leurs séries d'enfance. Et au programme le succès des séries policières, les spin-off, les débuts de vedettes du petit écran dans des publicités et un sujet intitulé "40 ans et alors ?"

[b]Enghien : Hélène Ségara au Théâtre du Casino le 7 mars

[b]Dix ans de carrière, elle s’est placée au rang des chanteuses préférées des français. Un succès qui se mesure au-delà des chiffres de vente et des récompenses. Sa générosité et sa sincérité lui valent la tendresse toute particulière de son public fervent, qui se reconnaît dans ses choix et ses évolutions. Une rtiste à voir sur scène.



Sur scène, Hélène Ségara touche par sa sensibilité et sa fragilité. La fraîcheur d’un grain de voix qui s’élève, toujours et encore, au dessus des refrains les plus intenses. Cette émotion là, ce petit supplément d’âme, se marie aussi bien à des sons électro, à une chorale d’inspiration classique, ou à la pesanteur d’un piano mélancolique, qu’aux ballades romantiques de ses débuts.
Elle chante l’Amour, la Femme... Tout ce qu’elle est. Tout ce qu’elle voit, tout ce qu’elle vit...

Réservations : 01.39.34.10.80
Points de vente : Théâtre du Casino, Réseaux Fnac, Ticketnet...
Tarifs : de 12 à 75 Euros

Manger mieux : le grand jeu
Le 20 février 2009 à 20h45 sur TF1

Résumé
Invités: Mouss Diouf, Hélène Segara, Natacha Amal, Titoff. Tous ses repas mis bout à bout, un Français passe en moyenne seize ans de sa vie à table. Plaisir, convivialité, nutrition, le repas répond à différents besoins et envies. Mais les Français mangent-ils pour autant équilibré? Pour le savoir, Carole Rousseau propose ce soir aux téléspectateurs d'évaluer leur alimentation à travers 45 questions. Trois experts, le militant anti-malbouffe Jean-Pierre Coffe, le cuisinier David Martin et le médecin nutritionniste Frédéric Saldmann donneront quelques conseils pour mieux s'y retrouver dans la jungle de l'alimentation. Sur le plateau de Carole Rousseau, l'acteur Mouss Diouf, la chanteuse Hélène Segara, la comédienne Natacha Amal et l'humoriste Titoff se prêteront au jeu en répondant à toutes les questions en même temps que le public et les téléspectateurs.

Le 13 février 2009, Hélène Ségara était dans l'émission Escales, sur la chaine locale bordelaise : TV7. A l'occasion de son concert au Pin Galant, elle se confie sur son album, ses concerts et comment elle voit l'avenir de la musique.
Source:
http://cemyprod.over-blog.com

Mireille Dumas s’intéresse aux célébrités qui ont su se sortir de situations difficiles, dans un nouveau numéro de Vie privée, vie publique.
Chaque nouveau numéro de Vie privée, vie publique apporte son lot de témoignages authentiques, étonnants et bouleversants. Sur le ton de la confidence, les stars et les anonymes parlent de leurs parcours, de leurs fêlures grâce à Mireille Dumas qui saurait mettre n’importe quelle âme effarouchée en confiance.
Le thème de ce soir est à nouveau l’occasion pour l’animatrice-productrice d’émouvoir les téléspectateurs, peut-être pas jusqu’aux larmes mais assez pour les faire réfléchir à leur propre situation.
Elle reçoit en effet des personnalités qui ont eu « le courage de s’en sortir », comme Karine Duchochois, accusée à tort dans l’affaire d’Outreau et devenue journaliste, Nan Aurousseau, braqueur puis écrivain reconnu, Sylvie Brunet, qui après une enfance misérable a fait carrière en tant que cantatrice… Mireille Dumas reçoit également Patrick Bosso.

Grâce à l’humour, il a surpassé les difficultés de son enfance dans les cités de Marseille. Hélène Ségara et son fils Mais Mireille Dumas commence par donner la parole à Hélène Ségara. L’amour est au cœur de toutes ses chansons.
Pourtant elle en a manqué une grande partie de sa vie. Sur le plateau de Vie privée, vie publique, elle explique pourquoi elle a quitté sa famille avec son fils. Le divorce de ses parents l’a fait grandir prématurément. Inactif à la maison, son beau-père lui faisait faire toutes les tâches ménagères dès l’âge de 11 ans. C’est pour échapper à ce quotidien et construire un nouveau foyer qu’elle est devenue mère à 18 ans.
Elle est partie à Paris sur un coup de tête quatre ans plus tard. Sans un sou en poche, elle n’a jamais perdu son objectif de vue : devenir chanteuse. Hélène Ségara y est parvenue bien des années plus tard, grâce à son mentor, Orlando.
« Après une épreuve, il y a toujours beaucoup de lumière », dit-elle. Au bout de son parcours difficile, elle rayonne enfin et évoque son ancienne vie sans rancœur. L’émission s’achèvera par une rencontre avec Véronique Sanson. La chanteuse aux quarante années de carrière s’est également toujours servie de ses blessures pour écrire ses textes.
Edition France Soir du lundi 23 février 2009 page 29