Natasha St Pier

Lien : http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/28/844212-Toulouse-Natacha-St-Pier-ce-soir-au-Casino-Barriere.html


J'ai assisté à ce concert hier soir. C'était un piano/voix, c'est la
1ère fois que j'assistai à un tel concert et j'ai adorée. Natasha a
vraiment une voix magnifique. Certes au début je trouvai bizarre, car le
rythme des chansons change mais au fur et à mesure l'oreille s'y fait.
Je vous conseille d'aller la voir si vous pouvez.
A sa sortie, elle a
pris le temps de faire des photos et des dédicaces avec un 20ène de
fans qui l'attendait. Avant de reprendre la route pour son concert de
Bordeaux ce soir.

NIMES - Dix artistes aux arènes pour le concert France Bleu Gard Lozère

Le 1er juillet, les arènes de Nîmes accueilleront, cette année encore, le grand concert gratuit programmé par France Bleu Gard Lozère. Pour cette nouvelle édition, dix artistes seront sur scène,et parmi les invités, le public pourra entendre notamment David Hallyday, Christophe Maé, Dany Brillant, Natasha St Pier et Marc Lavoine. Les billets seront mis à disposition des spectateurs à une date qui sera communiquée très prochainement.

CARCASSONNE Charles Aznavour parrain du Festival Charles-Trenet



Photo Philippe Leblanc
La 3 e édition de l'événement estival narbonnais réunira, du 26 au 28 août, des artistes de renom, autour de la musique et de l'oeuvre de Trenet. C'est Charles Aznavour qui en sera le parrain.
Narbonne. Dans un peu moins de trois mois, le centre ville de N arbonne fêtera son célèbre "fou chantant", Charles Trenet. Une douce habitude prise depuis l'été 2008 et la première édition d'un Festival souhaité par la nouvelle équipe municipale, à partir d'une idée suggérée par Marie-Claude Eglessies et par le regretté René Coll. Depuis, trois jours durant à la fin du mois d'août, Narbonne chante et s'amuse au nom de son poète. L'édition 2010 se prépare activement en coulisses, avec plusieurs temps forts répartis sur les 26, 27 et 28 août. Les têtes d'affiche
sont connues depuis plusieurs semaines. Le 26 août, Michel Fugain tiendra la vedette au château de Montplaisir, avec Agnès Bihl en première partie. Une soirée précédée d'un repas concocté par Gilles Goujon, trois étoiles Michelin, et servi par Pierre Augé, le récent finaliste de l'émission de M6, "Top chef", et Les vins de la Narbonnaise compléteront les mets. Les deux autres soirées auront pour cadre le Cours Mirabeau, elles seront gratuites. Le 27 août, le Prix Charles-Trenet / Sacem sera jugé puis décerné, en première partie du concert d'Olivia Ruiz. Et le 28 août, le grand orchestre de René Coll accompagnera Olivier Villa, Natasha St-Pier, Patrick Fiori et Michel Delpech. Partout dans la ville, chanson et bodegas agrémenteront la fête. Après Daniela Lumbroso, l'événement sera parrainé par un autre immense Charles, Aznavour, au destin tout aussi planétaire que Trenet. Ambassadeur de l'ONU, défenseur de l'Arménie, il sera présent autant que possible, en fonction de son agenda très chargé. Un parrainage superbe, comme un relais naturel entre deux monstres sacrés, entre ciel et terre...

Natasha St Pier rayonne à la Caravelle



Partage et confidences ont accompagné les performances vocales. PHOTO A. P.


« Nos rendez-vous manqués d'amour », « Quand on cherche l'amour », ou encore « Je n'ai que mon âme… » sont sans nul doute les airs les plus connues de la talentueuse Natasha St Pier… Ils doivent encore être dans les têtes des 500 spectateurs qui étaient présents samedi soir à la Caravelle.
Fans ou simples amateurs de chansons françaises ne sont pas restés à quai, complètement immergés dans l'intimité du concert piano-voix de la Canadienne. Et quelle voix ! Amplifiée ou acoustique, accompagnée d'un seul piano joué par la valeur sûre Michel Amsellem, une voix puissante, technique, intelligible et émouvante, qui a fait exploser l'ambiance.

Reprises en toute intimité
La tournée française de la chanteuse a été baptisée « Confidences autour d'un piano ». Pendant plus d'une heure et demie, l'artiste se dévoile et raconte les moments forts de sa vie. Elle interprète notamment, « Petite Marie » de Francis Cabrel expliquant que c'est la première chanson francophone qu'elle a entendue dans son Canada anglophone. Autre hommage remarquable, la chanson de Whitney Houston qui fit l'étincelle et provoqua le déclic pour la fillette de 8 ans à prendre des cours de chant…
En bref, la Caravelle a transporté, une nouvelle fois le public dans un spectacle à la hauteur de ses espérances… Reste à connaître, maintenant les têtes d'affiche prévues pour la saison prochaine

Organisée par la station VFM, cette soirée annuelle récompense des sportifs et met à l’honneur des artistes de la scène francophone. Invitée d’honneur de cette édition 2010, Natasha St-Pier partagera l’affiche avec Lucie Bernardoni et Louisy Joseph entre autres. Elles se produiront ainsi le 19 juin 2010 sur la scène du Théâtre de Vire (14).

Pour sa neuvième édition, le festival blaisois promet une belle tête d’affiche et un soir supplémentaire

Déjà la neuvième édition pour le petit festival qui monte. Ryhtm’in Blaise revient cette année les 1er, 2 et 3 juillet sous les oliviers centenaires de Saint-Blaise. Trois jours, soit un de plus que les années précédentes. « Nous avons une grosse demande de la part du public. L’an dernier pour la première fois, nous avons dû refuser des spectateurs… » constate Gil Marsalla, programmateur du festival.

Aux manettes depuis le début, avec l’association Rythm’in Blaise présidée par Jacques Beaumelle, il a concocté pour cet été une affiche éclectique, entre pointures et jeunes talents. Thème de ce cru 2010 : l’amour, sous toutes formes, la générosité et le partage. Sur scène, entre autres, Natasha St-Pier et Joyce Jonathan.

Une Enfoirée au grand cœur et une petite nouvelle estampillée « My Major Compagny ». À ne pas manquer non plus, Jil Aigrot, la voix de « La Môme » qui, de retour d’une tournée américaine, fera l’ouverture du festival à l’occasion d’une soirée gratuite (*). On note également la présence de l’accordéoniste azuréen Frédéric Viale, du Niçois plus que prometteur Kim Cao et du groupe latino-marseillais qui commence à faire parler de lui, la Cumbia Chicharra. La troupe du spectacle « L’histoire du tango » d’Astor Piazzolla fera, elle aussi, une pause à Saint-Blaise, entre deux dates de sa tournée hexagonale.

Plus de 2 000 spectateurs attendus

Fidèle à sa réputation de festival familial, le Rythm’in Blaise 2010 sera plus que jamais ouvert à tous. Fermé à la circulation durant les trois jours, le village de Saint-Blaise est tout entier réservé aux festivaliers. Nouveauté cette année, des gradins seront installés pour garantir aux spectateurs encore plus de confort. Le festival se tourne aussi cette année vers le développement durable, en proposant une restauration 10 % bio sur place et comme toujours, des navettes au départ de Nice.

Avec plus de 2 000 spectateurs sur deux jours l’an dernier, le festival en a déjà séduit plus d’un et les organisateurs comptent bien battre le record cet été. Du côté de l’organisation, on pense même déjà au dixième anniversaire du festival l’an prochain : « On prépare déjà une belle surprise pour 2011, lance Gil Marsalla. On aura de très belles têtes d’affiches… Mais je n’en dis pas plus ! »

*Soirée gratuite dans le cadre des Estivales du Conseil général.

Savoir +
Rythm’in Blaise, 1er, 2 et 3 juillet, Saint-Blaise. Tarifs : 15€ en prévente, 18e sur place. Infos : 04.92.09.13.27

« Toujours le même plaisir de rencontrer des personnalités, de les découvrir, et même de les redécouvrir…. Toujours le même bonheur d’être à RTL, en toute liberté… »

14h30, Laurent Boyer et son invité sont en studio… ambiance feutrée de début d’après-midi, horaire propice à la confidence. Au fil des années, le confesseur des stars a tissé un lien étroit avec les personnalités qu’il reçoit, une complicité qu’il partage avec ses auditeurs, leur offrant chaque jour de pénétrer dans l’univers des stars et de découvrir des aspects méconnus de leur vie. Une heure trente d’humour, d’émotion,et d’échange privilégié auquel les auditeurs peuvent également participer en jouant et dialoguant en direct avec leur idole…
Laurent Boyer reçoit Natasha St Pier ambassadrice de La Voix de l'Enfant

Nathasha St-Pier en toute complicité.



Soirée de retrouvailles tout en douceur, hier, alors que la chanteuse Natasha St-Pier lançait sa saison estivale de spectacles au Québec, à l’Anglicane de Lévis.
Après une dizaine d’années d’absence, la chanteuse est de retour au pays, tel un enfant prodigue. Tout au long de l’été, elle se promènera dans le circuit du ROSEQ afin de présenter son spectacle à saveur intimiste, Confidences autour d’un piano.
Pendant plus d’une heure trente, la plus française des néo-brunswickwoises interprète les chansons qui ont marqué sa carrière couvrant ainsi ses six albums vendus à plus de deux millions d’exemplaires en France, son pays d’adoption depuis des années.
Accompagnée d’un seul pianiste, Michel Amsellem, la chanteuse a choisi l’intimité des petites salles pour ce retour. Et l’intimité lui sied bien. La facture du spectacle donne une toute autre couleur à ses chansons.

Place aux textes!

Natasha St-Pier laisse toute la place aux textes et, surtout, à sa voix cristalline. Tour à tour, elle interprétera Nos rendez-vous, Quand on cherche, Je n’ai que mon âme, Un ange... Elle puise aussi dans le répertoire des autres avec des succès comme True colors (Cindy Lauper), Petite Marie (Cabrel) ou Greatest love of all (Whitney Houston). Sobriété au menu. Ici, il n’y a pas de mise en scène élaborée, ni de jeux d’éclairage trop étudiés.
Si la voix est juste, la chanteuse devrait toutefois mettre un peu plus de nuance ainsi que dans sa gestuelle. Elle prend souvent des pauses de tragédienne écartant les jambes et les bras, se déplace la tête de gauche à droite, à grands traits.
Ça rappelle Marie Carmen et Dieu sait que la chanteuse s’est fait ridiculiser avec cette marque de commerce. Par contre, elle raconte toutes sortes d’anecdotes amusantes sur son parcours et sa vie développant ainsi une belle complicité avec son public.

Ovation et rappels

Au deux tiers de la soirée, elle fera un meedley qui bouge. La chanteuse fait réagir les spectateurs qui avaient surtout eu droit à des ballades depuis le début de la prestation. Plus tard, elle offrira une partie de Tu manques à ma vie a capella. Ovation! Rappels. Le public de l’Anglicane a semblé apprécier le retour de la chanteuse trop longtemps partie... Pour connaître toutes les dates de ses spectacles, cliquez sur le www.roseq.qc.ca.

Natasha St-Pier: livrer son âme et sa voix.



(Québec) Les yeux, le miroir de l'âme? La voix, plutôt. Belle, pleine, souple, dans le cas de Natasha St-Pier, qui amorçait le volet canadien de sa tournée Confidences autour d'un piano, hier soir, à L'Anglicane. La chanteuse est parvenue sans peine, avec fraîcheur et humour, à charmer complètement son auditoire.
Le cadre très simple - un piano, un clavier, un tabouret - laisse la voix de l'artiste se déployer dans toute sa puissance et toutes ses nuances. Elle nous chante le grand amour, celui qui déchire et qui aveugle. Et elle le chante 20 fois plutôt qu'une. Lassant, croyez-vous? Ce le serait peut-être si la belle ne nous livrait un peu d'elle entre les morceaux et se contentait d'enchaîner ses tubes. Mais elle lie habilement ses chansons à ses confidences et ponctue son spectacle de reprises qui ajoutent des couleurs à son éventail musical. Ses interprétations de Nothing Compares de Sinead O'Connor et de Greatest Love of All de Withney Houston, sont simplement magiques.
Drôle, articulée, Natasha St-Pier se confie. Les premières chansons qui l'ont inspirée, ses souvenirs du concours Eurovision (où, attifée d'une robe trop petite et d'une coiffure ridicule, elle étrennait la chanson Je n'ai que mon âme). Elle raconte avec humour comment sa meilleure amie, l'auteure Elodie Hesme, s'inspire inévitablement de tout ce qui va mal dans le monde pour lui écrire des chansons déchirantes. Comment son batteur est parvenu à s'immiscer dans sa tournée piano-voix et lui a fait ajouter One, de U2, au listing. C'est tout simple, charmant, bien raconté.
Le début aura été un peu plus ardu. Coincée dans un veston à épaules bouffantes, chignon bien tiré, la chanteuse semblait interpréter un personnage pincé qui cadrait mal dans la chapelle de pierres de Lévis.

«C'était le début du spectacle comme il s'est passé en France. À partir de maintenant, ça va changer», annonce-t-elle, heureusement. Dès sa troisième intervention, l'accent français mis de côté (à preuve, un très assumé «On était fou comme d'la marde»), on prend davantage plaisir à son côté joueuse, ses mouvements sont plus naturels, on l'adopte.
Bref mais intense
En première partie, Éric Bélanger (qui a lancé son second album, À 35 mm du bonheur, le 25 mai) a pleinement profité de son quart d'heure sur scène. Il a interprété d'une voix frêle, chuchotante, mais capable d'envolées, quatre chansons bien dosées, pimpantes. Un brin crâneur, comique, poète, il insère dans ses pièces bruitage et récits. À surveiller, assurément.
Natasha St-Pier (avec Éric Bélanger) sera aux FrancoFolies de Montréal demain, puis un peu partout au Québec durant l'été.