Ana Ivanovic

Quand Ana Ivanovic et ses copines tenniswoman portent des tenues de rêve !


Les tenniswomen ont souvent une plastique irréprochable. Et pour preuve, bon nombre d'entre elles étaient présentes à Londres, hier soir, pour la Wimbledon Party.
La gagnante de Roland-Garros,la sublime Ana Ivanovic, a ouvert le bal dans une superbe robe de soirée, noir, perchée sur ses hauts talons. Maria Sharapova, vêtue d'une robe crème, était également à son avantage.
Les soeurs Williams, Venus et Serena, Elena Jankovic ou encore la présentatrice de mode Louise Roe ont sorti leur plus belles parures pour l'occasion.
C'est si rare de voir les sportives en dehors des terrains.
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Ana Ivanovic face à trois ex-reines

Ana Ivanovic va tenter de consolider sa place de nº 1 à Wimbledon, où ses principales rivales seront Maria Sharapova et les sœurs Williams.


Ana Ivanovic. EPA.

Maria Sharapova. EPA.

Venus Williams. EPA.

Toute fraîche nº1 mondiale, Ana Ivanovic, qui vient de remporter son premier titre du Grand Chelem à Roland Garros, a les armes pour réussir aussi sur l’herbe anglaise : un grand coup droit à plat, une grosse première balle de service et, désormais, l’expérience des grands événements avec trois finales majeures disputées (Roland Garros 2007 et 2008, Open d’Australie 2008).
A Londres, la jeune Serbe (20 ans) a progressé à chacune de ses trois premières apparitions : 16es de finale en 2005, 8es de finale en 2006 et demi-finale en 2007. Aidée par un tableau favorable, elle pourrait bien gravir une ou deux marches supplémentaires cette saison.
Sa concurrente la plus dangereuse ne devrait pas être sa compatriote Jelena Jankovic, nº 2 mondiale, qui n’aime pas beaucoup le gazon, mais bien trois ex-reines du circuit, Maria Sharapova et les sœurs Venus et Serena Williams.
Alors que la place de nº 1 mondiale semblait ne pas pouvoir lui échapper après la retraite de Justine Henin, Sharapova n’a fait qu’un intérim de trois semaines au sommet de la hiérarchie, interrompu par son échec dès les huitièmes de finale de Roland Garros.
A Wimbledon, où la Russe s’était révélée en l’emportant en 2004 à l’âge de 17 ans, Sharapova est bien sûr une tout autre joueuse qu’à Paris. Le gazon devrait lui permettre de repartir sur la lancée de son excellent début de saison (3 titres dont l’Open d’Australie). Sharapova, avec qui Ivanovic concourt aussi pour le statut extrêmement lucratif de joueuse la plus glamour du circuit.
Attention à Vénus

Serena Williams est dans une situation comparable. Brillante au tournant de l’hiver et du printemps (3 titres), elle a baissé de pied en arrivant sur terre battue, sa moins bonne surface. Son service et son coup droit restent parmi les plus meurtriers sur herbe.
L’implication de sa sœur Venus sur le circuit est trop épisodique pour lui permettre de viser la première place mondiale, mais l’Américaine a le chic pour redevenir le temps de la quinzaine londonienne la nº 1 qu’elle fut il y a six ans.
Ces dernières saisons, l’aînée de la famille n’a plus guère brillé qu’à Londres, mais de quelle manière ! Alors que personne ne l’attendait, elle a remporté deux des trois dernières éditions avec des numéros de tête de série élevés (nº 14 en 2005 et nº23 en 2007). Elle a disputé six des huit dernières finales à Londres, dont quatre gagnées.
Malgré un début de saison plutôt modeste – en 7 tournois elle n’a jamais dépassé les quarts de finale – elle est donc à classer parmi les toutes premières favorites.
Ce n’est pas le cas en revanche des Russes Svetlana Kuznetsova (nº 4), Elena Dementieva (nº 5) et Dinara Safina (nº9), peu à leur avantage sur gazon, ni de la Française Marion Bartoli, finaliste en 2007 à la surprise générale mais décevante depuis le début de l’année.

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Maria Sharapova et Ana Ivanovic comme vous ne les avez jamais vues



L’époque de Arantxa Sanchez et Monica Seles est décidément révolue. Avec l’avènement de plusieurs joueuses au sourire aussi ravageur que leur coup droit, les dirigeants du tennis féminin mondial ont décidé de parier sur le glamour.

Le quotidien britannique «The Guardian» a dévoilé cette semaine la campagne médiatique lancée par la WTA, l’association qui organise le circuit professionnel féminin. Un projet à quinze millions de dollars qui a réuni 32 joueuses pro dont Ana Ivanovic et Maria Sharapova autour d’un clip publicitaire façon «Charlie’s Angels

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Wimbledon - Ivanovic-Dechy au 2e tour
Eurosport | lun 23 juin, 16:53

Ana Ivanovic, N.1 mondiale, a remporté son match du premier tour de Wimbledon face à Rossana De Los Rios, qui n'a inscrit que trois jeux 6-1,6-2. Au prochain tour, la Serbe rencontrera Nathalie Dechy au 2e tour.

La lauréate de Roland-Garros, la Serbe Ivanovic, s'est défaite sans difficulté de la Paraguayenne (6-1, 6-2) et, dans une partie de tableau qui apparaît très dégagée, partira très grande favorite contre la Française Nathalie Dechy, 97e joueuse mondiale.

Ana Ivanovic : 7 matchs d’anthologie ...

Nouvelle numéro un mondiale, nouvelle reine de Roland-Garros, déjà finaliste des deux premiers Grands Chelems de cette année, Ana Ivanovic est sans aucun doute la nouvelle star du tennis féminin. En outre, son charme, sa plastique, son fair-play, son éternel sourire ingénu et ses répliques innocentes aux questions des journalistes avides de ragots ne laissent pas le grand public indifférent. Plus que son égale, Maria Sharapova a vraiment trouvé plus forte qu’elle. Mais le but de cet article n’est pas de compter les points dans cette rivalité naissante mais bien de parler des rencontres qui constituent les premiers pas de la jeune serbe dans la postérité de tennis. Je propose pour ce faire un petit florilège des 7 matchs qui sont selon moi ses plus marquants depuis sa fulgurante ascension en 2007:

VII) IVANOVIC-VAIDISOVA, WIMBLEDON 2007, QUARTERFINAL:

Demi-finaliste à Melbourne et 1/4 de finaliste à Roland-Garros, la tchèque n’était à cette époque pas à prendre à la légère. Le face à face entre deux jeunes prodiges de l’est aussi puissantes que déterminées constituait donc une affiche de choix. Et si le bras de fer s’engage, c’est Vaidisova qui empoche brillamment la première manche. Piquée au vif, la finaliste de RG renchérit d’intensité et, grâce à son service très bien réglé et avec une bonne dose de volées liftées, coup qu’elle commence juste à maîtriser, Ivanovic arrache la deuxième manche, non sans mal. La troisième manche devient alors une lutte de grande envergure, et si aucun jeu n’est gratuit, c’est Vaidisova qui prend la première l’avantage, et la conclusion semble approcher: 3-5 15-40 pour Ivanovic sur son service. Mais la fougueuse serbe écarte ces balles de match, puis une troisième, avant de debreaker dans la foulée. Elle réussit ensuite à empocher les deux derniers jeux. La voilà donc propulsée pour la première fois dans le dernier carré à Wimbledon, pour rencontrer nulle autre que Venus Williams, LA joueuse de gazon. Ce match reflète selon moi les progrès d’Ivanovic, sa consistance sur gazon et sa solidité dans les grands événements depuis RG 2007. Elle prend les points un par un et réussit à maintenir son niveau, même sous pression, sur herbe.

VI) IVANOVIC-SHARAPOVA, ROLAND-GARROS 2007, SEMIFINAL:

C’est le seul match à sens unique qui me semblait valoir la peine d’être mentionné, parce qu’il a permis à la fois de propulser Ana dans le top 5 et d’illustrer l’étendue de son talent et la force de son mental. Premier fait intéressant: la russe ne part pas nécessairement avec la faveur des pronostics. Sa saison sur terre battue a été bien moins fructueuse que celle d’Ivanovic, qui reste sur une série de 11 victoires consécutives et un titre à Berlin, elle n’est pas en très grande forme physique, et elle aborde sa première demi-finale à Paris, sur la surface qui, on le sait, ne favorise pas son jeu. Néanmoins, Ivanovic semble très inexpérimentée, trop pour déranger une double vainqueur de grand chelem. On voit pourtant très vite la supériorité du jeu de la serbe. Au service, en fond de court, en défense, en passing, Ivanovic apparaît vraiment meilleure dans tous les domaines. Si Sharapova n’était effectivement pas à son apogée, Ivanovic a su en profiter pour infliger un cinglant 6-2 6-1 et se qualifier pour sa première finale de Grand chelem.

V) IVANOVIC-KUZNETSOVA, BERLIN 2007, FINAL:

Svetlana Kuznetsova, victorieuse dans ce tournoi de terre battue de Justine Hénin, soit auteur d’un véritable exploit, part sur les chapeaux de roue et boucle le premier set 6-3. Ivanovic réplique par un série de coups droits dont elle a le secret, et prend l’ascendant dans la deuxième manche, mais se foule la cheville dans une magnifique course vers le filet. Elle est alors contrainte à un changement de stratégie, et distribue et attaque sans relâche avec son coup droit et un service qui reste performant, évitant au maximum de courir et de devoir défendre, quitte a multiplier les fautes. Au terme d’une troisième manche éprouvante et riche en rebondissements, elle s’impose au tiebreak pour remporter le deuxième Tier I de sa carrière.

IV) IVANOVIC-KUZNETSOVA, INDIAN WELLS 2008, FINAL:

Si le match est très beau, avec un tennis de bonne facture et une multitude de coups gagnants et de jeux très accrochés, Ivanovic semble encore légèrement supérieure, notamment dans les fins de sets où elle gagne la majorité des points, remportant ainsi 8 des 9 derniers points de la première manche, et 10 des 12 derniers de la seconde. Cette victoire me paraît primordiale pour deux raisons:

* C’est la première de la serbe dans un tournoi dont elle est la tête de série numéro un, ce qui montre qu’elle arrive (enfin) à tenir son rang et à ne pas décevoir lorsqu’elle est attendue au tournant.
* C’est également la première fois qu’on la voit survoler un tournoi. Je m’explique: à l’open d’Australie, dès ses tours face à Davenport et Dementieva, on sent Sharapova en état de grâce, au-dessus du lot ce qu’elle confirme ensuite. Même topo pour Venus Williams à Wimbledon à partir de sa victoire contre Sharapova qui semble être un déclic et après laquelle on sent immédiatement une 4e couronne arriver à grands pas. Elle est en somme injouable. Et dans ses trois derniers tours face à Zvonareva, Jankovic et Kuznetsova, c’est comme cela qu’Ivanovic nous apparaît: un cran au-dessus. Elle remporte donc en Californie sa plus belle victoire jusqu’alors et confirme son rang de n°2 mondiale de l’époque.


III) IVANOVIC-JANKOVIC, LOS ANGELES 2007, SEMIFINAL:

L’enjeu étant moindre que dans les autres rencontres proposées dans ce classement, le tennis n’en était que plus impressionnant. Dans les deux premiers sets, l’affrontement maintenant coutumier entre le jeu de défense et de contre de Jankovic et l’attaque fulgurante d’Ivanovic offre un spectacle délectable, notamment aux supporters serbes qui ne savent plus où donner de la tête. Dans la dernière manche, Jankovic se détache 4-1, et, malgré une petite remontée de sa compatriote, se procure des balles de match sur le service adverse à 5-4 40-15. À ce moment-là, Ivanovic sort le grand jeu et enchaîne 4 coups droits gagnants d’affilée pour conclure sa mise en jeu, et de la même manière, réalise le break après avoir été menée 40-0 puis remporte le match sur une faute de revers de son adversaire. J’aime particulièrement ce match pour trois raisons:

* C’est de nouveau une bonne illustration des qualités psychologiques d’Ivanovic
* Il contribue à la construction d’une rivalité intéressante entre les deux joueuses serbes
* On peut admirer toute la beauté, la puissance et la précision du coup droit d’Ana qui est pour moi le meilleur depuis Steffi Graf.


II) IVANOVIC-HANTUCHOVA, AUSTRALIAN OPEN 2008, SEMIFINAL:

L’intérêt de ce match est évident. Si le tennis fourni par Ivanovic n’est pas son meilleur, la tension en fin de match était telle que chaque point était un épisode épique, et que cette rencontre mérite donc de figurer dans les annales. Première demi-finale en Grand Chelem, première chance d’accéder à la finale, avance de 6-0 2-0, technique exceptionnelle dans tous les compartiments du jeu, on comprend la panique de la slovaque alors qu’Ivanovic reprend peu à peu le match en main. Pour la serbe, il s’agit de son tournoi préféré, du premier Grand Chelem d’une saison de confirmation qui la voit devoir assumer le rôle de favorite, et du retournement le plus impressionnant depuis la finale de Miami 2007 entre Hénin et Serena Williams. Bref, en fin de match, en ajoutant une erreur d’arbitrage en faveur d’Ivanovic et une Hantuchova agacée par les couinements des chaussures de la serbe, on obtient la demi-finale la plus tendue de l’année... jusqu’à Roland-Garros...

Ce qui me permet de présenter le grand gagnant de ce classement:

I) IVANOVIC-JANKOVIC, ROLAND-GARROS 2008, SEMIFINAL:

Il s’agit d’une demi-finale de Roland-Garros entre les deux grandes joueuses serbes, les deux meilleures joueuses sur terre battue, les deux meilleures joueuses tout court peut-être dans les années à venir... Si je puis me permettre le jeu de mot vaseux, ce match réalise un véritable grand chelem: enjeu, tension, qualité de jeu, combat homérique, suspense jusqu’au dernier point, tout est réuni pour un match inoubliable. Oui Jankovic avait un bras douloureux, oui Ivanovic a connu un long passage à vide. Cependant, entre les possibilités conjointes d’une finale et de l’accession au sommet de la hiérarchie, la rivalité voire l’antagonisme entre les deux joueuses qui conservent une attitude irréprochable, la pluie de coups gagnants et la succession de rebondissements (4-1 Jankovic, 6-4 3-1 40-0 Ivanovic, 4-6 6-3 4-2 Jankovic, 6-4 3-6 6-4 Ivanovic), ce match est selon moi le meilleur match féminin de l’année. La demi-finale entre les deux favorites de cette partie de tableau a tenu ses promesses: 2h15 de jeu ont vu se succéder les brillants "long de ligne" façon Jankovic, les surpuissants coups droits croisés et décroisés spécial Ivanovic, des séquences de défense exceptionnelles de la part des deux joueuses, et des montées construites au filet d’Ivanovic qui ne trouvent leur égal que dans les passings de Jankovic. Enfin, au bout de trois jeux où Ivanovic aligne les coups géniaux et les retours gagnants, la jeune reine obtient au mérite sa consécration de meilleure joueuse du monde, et se propulse vers une finale qu’elle finira par gagner pour s’octroyer son premier Grand Chelem, et pas n’importe lequel, notre cher Roland-Garros...


"Ana la magnifique" dit Guy Roux, "elle peut encore progresser" affirme Arnaud Di Pasquale, vrai et vrai. Elle ne va pas s’arrêter là. Attention Wimbledon, attention Pékin, attention Flushing Meadows, attention Doha, et tellement d’autres, une jeune championne arrive au rythme des "ajde", une jeune femme qui n’a pas fini de faire flamber les coeurs, de faire se lever les foules, et de faire couler de l’encre, la preuve...

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Ana Ivanovic, une bombe à Wimbledon




Elle fait sensation sur le gazon de Wimbledon, déjà parce qu'elle vient de se qualifier pour le deuxième tour en battant la Paraguayenne Rossana De Los Rios, mais surtout parce qu'elle est en quelque sorte le sex-symbol des courts. Elle, c'est Ana Ivanovic.
Jolie brunette serbe de 20 ans, Ana a un bel avenir sportif devant elle puisqu'elle vient déjà de remporter Roland Garros cette année, semble à nouveau bien partie sur Wimbledon, et parions dès à présent que les magazines vont se l'arracher.
Si, si... Même quand elle joue, elle est jolie !

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VICTOIRE DE IVANOVIC
après plus de 3h20 de jeu !! La Serbe a battu une excellente Nathalie Dechy, qui a livré son meilleur tennis et très certainement l'un des plus beau match de sa carrière, en trois sets 6-7(2/7), 7-6(7/3), 9-8. Prochaine adversaire de la Serbe : Zeng.

Ivanovic frôle l'élimination à Wimbledon
WIMBLEDON mer 25 juin


La N.1 mondiale serbe, Ana Ivanovic, méconnaissable, est passée à quelques millimètres d'une élimination dès le 2e tour de Wimbledon, ne s'imposant qu'à l'arraché devant la 97e mondiale, la Française Nathalie Dechy, 97e mondiale, 6-7 (2/7), 7-6 (7/3), 10-8. Ivanovic, qui n'a pas disputé de tournoi depuis sa première victoire en Grand Chelem à Roland-Garros, a complètement déjoué, accumulant les fautes directes, et ne passant que très peu de ses premières balles pour perdre cinq fois sa mise en jeu.


Si elle expliquait après le match que son adversaire avait "très bien joué", c'est surtout elle qui n'est pas apparue à son niveau habituel. Nathalie Dechy, sur le point de sortir pour la première fois du Top 100 depuis plus de dix ans, a su en profiter pleinement, remportant le tie-break de la première manche sans souci (7/2). Dans le second set, alors qu'elle menait 5 à 4, la Française s'est procurée deux balles de match, menant 15-40 sur le service de la Serbe.

Sur la seconde, la "chance", qu'Ivanovic reconnaîtra sans sourciller, a clairement penché de son côté: elle a vu une de ses balles retomber du bon côté du court après avoir heurté la bande du filet... La Serbe a ensuite emporté le tie-break (7/3). Ce coup du sort était bien loin d'abattre la Française, qui parvenait à reprendre le service d'une Ivanovic qui continuait son festival d'erreurs et d'imprécisions, alors qu'elle était menée 5 à 3, puis à annuler deux balles de match sur sa mise en jeu. Après avoir sauvé une troisième balle de match, la Française finissait par céder 10 à 8 dans la dernière manche.