Paroles de l'album " Plus de diva"
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Paroles de l'album " Plus de diva"
Appelez-moi Maria
(Delphine Dobrininie/Asdorve)
Maria, vous aimiez mon regard
Ce soir mon nom est Maria
Il n'y a plus de diva, appelez-moi Maria
J'ai fait pleurer les hommes, mis la terre à genoux
Portée comme une idole puis traînée dans la boue
Venise, Mexico, Rome
Les loges remplies de fleurs
J'ai vu tant de couronnes baignées mes pieds de pleurs
Mais je ne suis qu'une femme pour le seul debout
Une amoureuse banale et cet homme c'est vous: ma voix tremble pour vous
Maria, vous aimiez mon regard ce soir, mon nom est Maria. Il n'y a plus de Diva: appelez-moi Maria.
J'ai couru ciel et terre e les plus beaux amants, respiré tous les airs New York, Paris, Milan, si les divas déchaînent les caprices les tournments, tous les combats de reine n'finissent pas dans le sang.
Le soleil est mortel et ma voix de diamant, n'avait rien d'éternel comme le coeur des amants, s'assombrit facilement.
Maria, vous aimiez mon regard ce soir, mon nom est Maria, il n'y a plus de Diva, appelez-moi Maria.
Tous les ors de bohème on t brillé dans ma voix, je suis morte sur scène, y suis née autant de fois, mais une brume épiasse recouvre la Scala, quand les injures me blessent le coeur et puis l avoix, pour les seul homme debout en mille éclats je casse, des adminrateurs fous, le coeur de la Callas, ma voix tremple pour vous.
Ce soir mon nom est Maria, il n'y a plus de Diva, appelez-moi Maria.
Dernière édition par Virginie le Mer 24 Mar 2010 - 16:18, édité 3 fois
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Le journal de Julie Z intro
Le journal de Julie Z intro
(Xavier Requena/asdorve)
Une toile blanche et la belle s'y jette en peinture
Dans un Venise noyé, une Callas dans ratures
Carnet de doutes, d'humeurs, d'histoire en somme.
Mad'moiselle n'a plus le coeur à vous parler des hommes
Annotations sur la partition de l'herbe tendre
Diva divine, équilibriste sur le fil de la chance
Priant qu'à ses lèvres, le vent dépose des fleurs,
Mad'moiselle ne fait l'erreur de vous conter ses peurs au coeur...
Diaphane sous le feu des lumières irréelles,
Observe un peu, s'amuse à dompter la reblele
Visage en bataile au revers d'une épaule
elle signe là son plus beau rôle
Un mot de passe et j'accède au mystérieux Journal de Julie Z...
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Venise 2037
Venise 2037
(Pierre-Yves Lebert/ Asdorve)
Venise
Tanguait, roulait ,s'enfonçait tout doucement dans l'eau noire
Des palais s'enfuyaient
De grands oiseaux criards
Comme dans un paquebot qui sombre
On devinait des ombres
Et par instants dans le brouillard
Un chant de désespoir
Tranquille
Elle tient entre ses doigts gantés une coupe de champagne
Sur un balcon penchée son parfum l'accompagne
Et comme on fait dans un naufrage
Elle appelle l'équipage
Mais quel équipage?
Sauvez la musique et les amants
Sauvez les fêtes et les diamants
L'amour les illusions futiles
Sauvez tout ce qui est inutile
Si seule, il n'y a dans ses yeux dorés
Que des souvenirs de bals
Des masques, des lumières, des danses de carnaval
Elle se fout des fracas du vent
Elle ignore tout du temps
Seule dans sa robe de soie suavage
Elle supplie l'équipage
Mais quel équipage?
Sauvez la musique et les amants
Sauvez les rêves et les diamants
L'amour, les illusion futiles
Sauvez tout ce qui est inutiles
Sauvez les dentelles, les sentiments
Sauivez les perles et les serments
Puisqu'il n'y aura plus de ville
Sauvez tout ce qui est inutile
Sauvez la musique et les amants
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L'herbe tendre
L'herbe tendre
(Iza Loris/ Asdorve)
Mes yeux sont des fleurs
Cueillons-nous du regard
Semons notre impudeur
Dans un lit de hasard
Ma bouche est un pré
Où poussent des mots d'amour
Des désirs colorés
Des envies de toujours
Refrain
Viens fouler l'herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre
Et j'en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
A nos accords
Ma peau est un champs
Caressé par la vie
Je t'aime au gré du vent
Au berceau de nos nuits
Mon coeur est une terre
Un horizon fertile
Mais loin de ta lumière
Il jaunit, inutile
Refrain
Viens, prends tout l'espace
Je te laisse le champs libre
Tu hésites, tu m'agaçes
Je te sens dans mes fibres
Trouve enfin l'audace
D'être celui qui vibre
Profond ou en surface
Profond ou en surface
Tu es mon équilibre
Refrain
(Iza Loris/ Asdorve)
Mes yeux sont des fleurs
Cueillons-nous du regard
Semons notre impudeur
Dans un lit de hasard
Ma bouche est un pré
Où poussent des mots d'amour
Des désirs colorés
Des envies de toujours
Refrain
Viens fouler l'herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre
Et j'en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
A nos accords
Ma peau est un champs
Caressé par la vie
Je t'aime au gré du vent
Au berceau de nos nuits
Mon coeur est une terre
Un horizon fertile
Mais loin de ta lumière
Il jaunit, inutile
Refrain
Viens, prends tout l'espace
Je te laisse le champs libre
Tu hésites, tu m'agaçes
Je te sens dans mes fibres
Trouve enfin l'audace
D'être celui qui vibre
Profond ou en surface
Profond ou en surface
Tu es mon équilibre
Refrain
Dernière édition par Virginie le Lun 29 Mar 2010 - 13:26, édité 1 fois
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Une tête à deux place
Une tête à deux places
(Pierre-Yves Leberts/Asdorve)
Là-bas tout me semblait connu
Convenu et déjà tout vu
Des kilomètres de trottoir
délimitaient mon territoire
El même le mur où l'on dessinait nos espoirs
était trop petit pour contenir le nom
et l'étendue de nos envies
à ça je n'ai pas su dire oui
Refrain
mais je connais un coin seul
où personne n'a posé ni le pied ni la main
c'est dans ma tête derrière mon oeil
y 'a trop d'espace
un jour peut-être
j'aurais une tête à deux places
Et puis j'ai voulu voyager
découvrir emprunter des avions des navettes spatiales
j'ai volé d'escale en escale
chambres d'hôtels au bout du monde
mais toujours au fond d'un placard
y 'a un miroir dans lequel on se voit telle qu'on était
en quittant le village
on n'trouve jamais que son image
Refrain
Je ne sais pas si le bohneur enfui repasse
mais si tu peux glisser ton coeur sous ma cuirasse
Refrain
(Pierre-Yves Leberts/Asdorve)
Là-bas tout me semblait connu
Convenu et déjà tout vu
Des kilomètres de trottoir
délimitaient mon territoire
El même le mur où l'on dessinait nos espoirs
était trop petit pour contenir le nom
et l'étendue de nos envies
à ça je n'ai pas su dire oui
Refrain
mais je connais un coin seul
où personne n'a posé ni le pied ni la main
c'est dans ma tête derrière mon oeil
y 'a trop d'espace
un jour peut-être
j'aurais une tête à deux places
Et puis j'ai voulu voyager
découvrir emprunter des avions des navettes spatiales
j'ai volé d'escale en escale
chambres d'hôtels au bout du monde
mais toujours au fond d'un placard
y 'a un miroir dans lequel on se voit telle qu'on était
en quittant le village
on n'trouve jamais que son image
Refrain
Je ne sais pas si le bohneur enfui repasse
mais si tu peux glisser ton coeur sous ma cuirasse
Refrain
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Comme une geisha
Comme une geisha
(Pascale Schembri/Asdorve)
Les anges de l'artifice ont peint dans le décor
Mes notes et mes caprices dégradés rouge et or
Passe par les coulisses
Il est temps que je sorte
Tu verras comme je glisse
Fragile dans mon corps
Comment être à toi ce soir?
Comment être à toi?
Refrain
Comme une geisha
Insoumise, docile à la fois
Comme une geisha
Elégante, dans mon désespoir
Les anges de l'artifice ont fait tellement d'efforts
Même si je suis triste
Je chante haut et fort
Quand le rideau tombe
Quand la rampe est éteinte
Renaissent les fantômes
Leurs opéras, leurs étreintes
Comment être à toi ce soir?
Comment être à toi?
Refrain
Comme une geisha
Insoumise, docile à la fois
Comme une geisha
Elégante, dans mon désespoir
Comme une geisha,
Déshabille-moi des papillons noirs
Comme une geisha,
Des illusions volent dans le soir
Je brule d'être moi
Tu gèles si tu cherches encore
Je brûle d'être moi
Tu gèles si tu cherches encore
Comme une geisha
(Pascale Schembri/Asdorve)
Les anges de l'artifice ont peint dans le décor
Mes notes et mes caprices dégradés rouge et or
Passe par les coulisses
Il est temps que je sorte
Tu verras comme je glisse
Fragile dans mon corps
Comment être à toi ce soir?
Comment être à toi?
Refrain
Comme une geisha
Insoumise, docile à la fois
Comme une geisha
Elégante, dans mon désespoir
Les anges de l'artifice ont fait tellement d'efforts
Même si je suis triste
Je chante haut et fort
Quand le rideau tombe
Quand la rampe est éteinte
Renaissent les fantômes
Leurs opéras, leurs étreintes
Comment être à toi ce soir?
Comment être à toi?
Refrain
Comme une geisha
Insoumise, docile à la fois
Comme une geisha
Elégante, dans mon désespoir
Comme une geisha,
Déshabille-moi des papillons noirs
Comme une geisha,
Des illusions volent dans le soir
Je brule d'être moi
Tu gèles si tu cherches encore
Je brûle d'être moi
Tu gèles si tu cherches encore
Comme une geisha
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Re: Paroles de l'album " Plus de diva"
Kikou,
Virginie, merci pour ton message. je ne peux pas y répondre malheureusement, je ne peux pas encore envoyer de message privés. Voici donc la suite des paroles ... Les 4 derniers textes arrivent très vite ! à bientôt.
Virginie, merci pour ton message. je ne peux pas y répondre malheureusement, je ne peux pas encore envoyer de message privés. Voici donc la suite des paroles ... Les 4 derniers textes arrivent très vite ! à bientôt.
farfallina988- Nombre de messages : 14
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Sweden syndrome
Sweden syndrome
(Delphine Dobrinine / Asdorve)
Tard le soir, comme c’est joli
Les boulevards, Paris la nuit
Jolie la France, on parie sa chance
La course, ici, est réglée d’avance
Ville lumière, les taxis s’égarent
A l’arrière, on s’attend à voir
Paris derrière des gens sur le trottoir
Mais le prix, ce soir n’est pas dérisoire
Sweden sweet home
Adieu stockolm
J’ai le Sweden Syndrome
Sweden syndrome
Adieu Stockholm
J’ai le Sweden Syndrome
Une radio chante le vieux Paris
Le moteur tremble un peu aussi
Le prix des taxis n’est pas dérisoire
Mais celui-ci ne veut pas d’histoire
Voir les lignes fuir le sol
Dans ma nuit on roule hors zone
Mon espoir d’un jour revoir Stockholm
Est parti avec moi ce soir
Fermer les yeux dans le noir
Et dire adieu, revoir un peu de mon pays
Et oublier et oublier
Paris …
Cette nuit le feuillage tremble
Plus envie d’herbe tendre
Chantilly n’est pas beau à voir
Ici les taxis roulent sans gyrophare
Sans gyrophare
Sweden sweet home
Adieu stockolm
J’ai le Sweden Syndrome
Sweden syndrome
Adieu Stockholm
J’ai le Sweden Syndrome
(Delphine Dobrinine / Asdorve)
Tard le soir, comme c’est joli
Les boulevards, Paris la nuit
Jolie la France, on parie sa chance
La course, ici, est réglée d’avance
Ville lumière, les taxis s’égarent
A l’arrière, on s’attend à voir
Paris derrière des gens sur le trottoir
Mais le prix, ce soir n’est pas dérisoire
Sweden sweet home
Adieu stockolm
J’ai le Sweden Syndrome
Sweden syndrome
Adieu Stockholm
J’ai le Sweden Syndrome
Une radio chante le vieux Paris
Le moteur tremble un peu aussi
Le prix des taxis n’est pas dérisoire
Mais celui-ci ne veut pas d’histoire
Voir les lignes fuir le sol
Dans ma nuit on roule hors zone
Mon espoir d’un jour revoir Stockholm
Est parti avec moi ce soir
Fermer les yeux dans le noir
Et dire adieu, revoir un peu de mon pays
Et oublier et oublier
Paris …
Cette nuit le feuillage tremble
Plus envie d’herbe tendre
Chantilly n’est pas beau à voir
Ici les taxis roulent sans gyrophare
Sans gyrophare
Sweden sweet home
Adieu stockolm
J’ai le Sweden Syndrome
Sweden syndrome
Adieu Stockholm
J’ai le Sweden Syndrome
farfallina988- Nombre de messages : 14
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Entre l'amour et le confort
Entre l’amour et le confort
(Pierre Yves Lebert/Asdorve)
Pas dans la naphtaline, pas dans les p’tits chaussons, pas dans les insomnies du soir. Pas d’à vingt heures on dîne devant la télévision, vautrés chacun son acoudoir. Je nous veux fragile, marchant sur un fil. Entre l’amour et le confort, il y a la même différence entre le sud et le nord, il y a la même distance qu’entre la vie et la mort, qu’entre la vie et la mort. Pas dans les vieux malaises balayés sous le lit, pas les remords dans les armoires. Pas de samedi on baise comme une anesthésie, déguisement et accessoire. Je nous veux sublimes, dansant sur les cimes. Entre l’amour et le confort, il y a la même différence qu’entre le sud et le nord, il y a la même distance qu’entre la vie et la mort, ressuscite-moi si je m’endors. Promets-moi qu’on restera sincères, lumière et transparence. Qu’on cherchera toujours où la flamme est intense. Entre l’amour et le confort, il y a la même différence qu’entre le sud et le nord, il y a la même distance qu’entre la vie et la mort, ressuscite-moi si je m’endors …
(Pierre Yves Lebert/Asdorve)
Pas dans la naphtaline, pas dans les p’tits chaussons, pas dans les insomnies du soir. Pas d’à vingt heures on dîne devant la télévision, vautrés chacun son acoudoir. Je nous veux fragile, marchant sur un fil. Entre l’amour et le confort, il y a la même différence entre le sud et le nord, il y a la même distance qu’entre la vie et la mort, qu’entre la vie et la mort. Pas dans les vieux malaises balayés sous le lit, pas les remords dans les armoires. Pas de samedi on baise comme une anesthésie, déguisement et accessoire. Je nous veux sublimes, dansant sur les cimes. Entre l’amour et le confort, il y a la même différence qu’entre le sud et le nord, il y a la même distance qu’entre la vie et la mort, ressuscite-moi si je m’endors. Promets-moi qu’on restera sincères, lumière et transparence. Qu’on cherchera toujours où la flamme est intense. Entre l’amour et le confort, il y a la même différence qu’entre le sud et le nord, il y a la même distance qu’entre la vie et la mort, ressuscite-moi si je m’endors …
farfallina988- Nombre de messages : 14
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Re: Paroles de l'album " Plus de diva"
Diva rouge
(Iza Loris – Thierry Surgeon/Asdorve)
Est-ce un feu dans les veines, un océan d’amour en elle ?
Sous des larmes, tragédiennes, ce drame la rend-il belle ?
Est-ce le vide ou l’extrême, un ciel flou qui l’appelle
Ce bleu c’est son dilemme, c’est bien trop facile pour elle …
Divine Mona, Mona Diva,
Une diva rouge fait les cent pas,
Une valse aimante, elle va et vient
Aspirée … Inspirée … par un tableau de Klein …
Est-ce les nuits halogènes ou le jour qui vire en elle ?
Un amant qui l’entraîne à ses peines être infidèle
Est-ce une voix qui sommeille entre carmin et Carmen ?
Le bouche à bouche d’un soleil et où trouver l’oxygène ?
Divine Mona, Mona Diva,
Une diva rouge fait les cent pas,
Une valse aimante, elle va et vient
Aspirée … Inspirée … par un tableau de Klein …
Aspirée, inspirée …
Le bleu vif la retient
Une diva rouge le cœur en cendre
Comme l’éteindre ou le comprendre
Cet amour, cet amour qui l’étreint ?
Divine Mona, Mona diva,
Une diva rouge fait les cent pas
Elle va, elle vient, le bleu déteint …
(Iza Loris – Thierry Surgeon/Asdorve)
Est-ce un feu dans les veines, un océan d’amour en elle ?
Sous des larmes, tragédiennes, ce drame la rend-il belle ?
Est-ce le vide ou l’extrême, un ciel flou qui l’appelle
Ce bleu c’est son dilemme, c’est bien trop facile pour elle …
Divine Mona, Mona Diva,
Une diva rouge fait les cent pas,
Une valse aimante, elle va et vient
Aspirée … Inspirée … par un tableau de Klein …
Est-ce les nuits halogènes ou le jour qui vire en elle ?
Un amant qui l’entraîne à ses peines être infidèle
Est-ce une voix qui sommeille entre carmin et Carmen ?
Le bouche à bouche d’un soleil et où trouver l’oxygène ?
Divine Mona, Mona Diva,
Une diva rouge fait les cent pas,
Une valse aimante, elle va et vient
Aspirée … Inspirée … par un tableau de Klein …
Aspirée, inspirée …
Le bleu vif la retient
Une diva rouge le cœur en cendre
Comme l’éteindre ou le comprendre
Cet amour, cet amour qui l’étreint ?
Divine Mona, Mona diva,
Une diva rouge fait les cent pas
Elle va, elle vient, le bleu déteint …
farfallina988- Nombre de messages : 14
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L'un souffre, l'autre s'ennuie
(Thierry Surgeon/Asdorve)
En scène, comme deux figurants, comme défigurés par la boxe du temps. On aggrave nos peines, de rêve sans talent. On disperse nos graines dans le décors blanc d’une vie en polystyrène. On part, comme on vole de la porcelaine, on se crashe de nos tandems : l’un sourd et l’autre larsenne. On se plante et puis on s’aime. On se démène, on se démunit, de l’autre côté du lit, deux mondes se dégomment, la tragédie d’une femme et d’un homme. Dans la nuit, l’un souffre, l’autre s’ennuie. On colle, plus très bien aux rôles de nos passions folles, il ne reste plus de nous que des camisoles. On part en vrille ou en coups tordus, on ne se redresse plus : l’un charge l’autre s’englue, comme se trompent deux inconnus. On se démène, on se démunit, de l’autre côté du lit, deux mondes se dégomment, la tragédie d’une femme et d’un homme. Dans la nuit, l’un souffre, l’autre s’ennuie. On se modère puis on se maudit. De l’autre côté du lit où nos yeux plafonnent, deux abrutis chacun pour sa pomme. Dans cette vie, l’un souffre, l’autre s’ennuie. On se démène, on se démunit, de l’autre côté du lit, deux mondes se dégomment, la tragédie d’une femme et d’un homme. Dans la nuit, l’un souffre, l’autre s’ennuie.
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En scène, comme deux figurants, comme défigurés par la boxe du temps. On aggrave nos peines, de rêve sans talent. On disperse nos graines dans le décors blanc d’une vie en polystyrène. On part, comme on vole de la porcelaine, on se crashe de nos tandems : l’un sourd et l’autre larsenne. On se plante et puis on s’aime. On se démène, on se démunit, de l’autre côté du lit, deux mondes se dégomment, la tragédie d’une femme et d’un homme. Dans la nuit, l’un souffre, l’autre s’ennuie. On colle, plus très bien aux rôles de nos passions folles, il ne reste plus de nous que des camisoles. On part en vrille ou en coups tordus, on ne se redresse plus : l’un charge l’autre s’englue, comme se trompent deux inconnus. On se démène, on se démunit, de l’autre côté du lit, deux mondes se dégomment, la tragédie d’une femme et d’un homme. Dans la nuit, l’un souffre, l’autre s’ennuie. On se modère puis on se maudit. De l’autre côté du lit où nos yeux plafonnent, deux abrutis chacun pour sa pomme. Dans cette vie, l’un souffre, l’autre s’ennuie. On se démène, on se démunit, de l’autre côté du lit, deux mondes se dégomment, la tragédie d’une femme et d’un homme. Dans la nuit, l’un souffre, l’autre s’ennuie.
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farfallina988- Nombre de messages : 14
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Les klaxons des mariages de juin
(Asdorve)
J’entends au loin les klaxons des mariages de juin,
L’ai encore le goût de ta peau sur ma langue,
Comme une amertume de t’avoir laissé ce matin
Avec ça dans nos têtes comme un bateau qui tangue
Je dois bien avoir un million de choses à te dire
Mais les seuls mots qui me viennent, c’est te retenir
Avaler des couleuvres, mon cœur, dans un jeu de fléchettes,
Dans ma boule sous la neige tu m’as retourné la tête …
S’il te plaît … Arrête …
J’entends au loin les klaxons des mariages de juin
Qui me font penser que le bonheur est toujours pour les autres,
Rejoins moi dans ma petite éternité
Serre moi fort dans tes bras, je n’ai plus peur d’aimer … Oh t’aimer !
Aimer …
J’entends au loin les klaxons des mariages de juin,
L’ai encore le goût de ta peau sur ma langue,
Comme une amertume de t’avoir laissé ce matin
Avec ça dans nos têtes comme un bateau qui tangue
Je dois bien avoir un million de choses à te dire
Mais les seuls mots qui me viennent, c’est te retenir
Avaler des couleuvres, mon cœur, dans un jeu de fléchettes,
Dans ma boule sous la neige tu m’as retourné la tête …
S’il te plaît … Arrête …
J’entends au loin les klaxons des mariages de juin
Qui me font penser que le bonheur est toujours pour les autres,
Rejoins moi dans ma petite éternité
Serre moi fort dans tes bras, je n’ai plus peur d’aimer … Oh t’aimer !
Aimer …
farfallina988- Nombre de messages : 14
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Une grande rousse aux yeux verts
Je suis une grande rousse aux yeux verts
Non fumeuse et je suis toujours célibataire
Je gagne un assez gros salaire,
Je déteste la campagne et j’adore me distraire
Mais je cherche un mari
Alors je mets en fiche
Toutes mes mythiques envies
Peu importe si je triche
Ordi, dis-moi que je suis belle
Oh dis-moi qu’les hommes sont fidèles
Dis-moi que l’paradis n’est pas seul’ment virtuel
Que le monde est joli et l’amour éternel
J’ai mis que j’adore ma poitrine
Et mes fesses rebondies, je coche la case coquine
Je lis les commentaires des hommes
Ils me trouvent si sexy, fous de moi, c’est énorme
J’étale mon corps en tranche,
J’offre mon cœur en friche,
Ils flashent, ils craquent, ils flanchent
Sur ces mensonges en fiches …
Ordi, dis-moi que je suis belle
Oh dis-moi qu’les hommes sont fidèles
Dis-moi que l’paradis peut être aussi réel
Que le monde est joli et l’amour éternel
Fais moi croire que la vie
N’est pas toujours cruelle
Qu’il y a des hommes gentils
Et pas tous infidèles
Ordi, dis-moi que je suis belle
Oh dis-moi qu’les hommes sont fidèles
Dis-moi que l’paradis n’est pas seul’ment virtuel
Que le monde est joli et l’amour éternel
Non fumeuse et je suis toujours célibataire
Je gagne un assez gros salaire,
Je déteste la campagne et j’adore me distraire
Mais je cherche un mari
Alors je mets en fiche
Toutes mes mythiques envies
Peu importe si je triche
Ordi, dis-moi que je suis belle
Oh dis-moi qu’les hommes sont fidèles
Dis-moi que l’paradis n’est pas seul’ment virtuel
Que le monde est joli et l’amour éternel
J’ai mis que j’adore ma poitrine
Et mes fesses rebondies, je coche la case coquine
Je lis les commentaires des hommes
Ils me trouvent si sexy, fous de moi, c’est énorme
J’étale mon corps en tranche,
J’offre mon cœur en friche,
Ils flashent, ils craquent, ils flanchent
Sur ces mensonges en fiches …
Ordi, dis-moi que je suis belle
Oh dis-moi qu’les hommes sont fidèles
Dis-moi que l’paradis peut être aussi réel
Que le monde est joli et l’amour éternel
Fais moi croire que la vie
N’est pas toujours cruelle
Qu’il y a des hommes gentils
Et pas tous infidèles
Ordi, dis-moi que je suis belle
Oh dis-moi qu’les hommes sont fidèles
Dis-moi que l’paradis n’est pas seul’ment virtuel
Que le monde est joli et l’amour éternel
farfallina988- Nombre de messages : 14
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Ma douleur ...
(Pierre-Yves Lebert/Asdorve)
Ma douleur est un cheval,
Je le monte à cru sans rênes,
Je le mets au pas, quand il galope,
Je lui montre qui le mène,
Ma douleur est une salope …
Ma douleur est un menteur,
Un vieux truc en ferraille
Bourrée d’artifice, c’est une hélice
Qui tourne sans gouvernail
Ma douleur est mon moteur
Le bonheur est à tout le monde,
Ce cheval, c’est le mien,
Le bonheur est à tout le monde,
Ma douleur m’appartient
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Ma douleur est un tocard
Qui se prend pour un crack
Un pur sang apache, c’est un ringard,
Juste un bout de barbaque,
Ma douleur je la cravache
Le bonheur est à tout le monde,
Ce cheval, c’est le mien,
Le bonheur est à tout le monde,
Ma douleur m’appartient
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Le bonheur est à tout le monde,
Ce cheval, c’est le mien,
Le bonheur est à tout le monde,
Ma douleur m’appartient
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Ma douleur est un cheval,
Je le monte à cru sans rênes,
Je le mets au pas, quand il galope,
Je lui montre qui le mène,
Ma douleur est une salope …
Ma douleur est un menteur,
Un vieux truc en ferraille
Bourrée d’artifice, c’est une hélice
Qui tourne sans gouvernail
Ma douleur est mon moteur
Le bonheur est à tout le monde,
Ce cheval, c’est le mien,
Le bonheur est à tout le monde,
Ma douleur m’appartient
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Ma douleur est un tocard
Qui se prend pour un crack
Un pur sang apache, c’est un ringard,
Juste un bout de barbaque,
Ma douleur je la cravache
Le bonheur est à tout le monde,
Ce cheval, c’est le mien,
Le bonheur est à tout le monde,
Ma douleur m’appartient
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Le bonheur est à tout le monde,
Ce cheval, c’est le mien,
Le bonheur est à tout le monde,
Ma douleur m’appartient
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
Et c’est toi que je veux sur son dos avec moi
farfallina988- Nombre de messages : 14
Age : 40
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 21/03/2010
Le journal de Julie Z (outro)
Les tiges des fleurs délaissées de leurs épines,
Epinglées aux pages cornées d’un Moleskine,
Griffonner deux ou trois bonnes résolutions,
Mad’moiselle n’a plus le cœur à les tenir de toutes façons …
Un polaroïd pris au piège d’un trombone,
C’est un homme sur le verso inscrit, un téléphone
Elle en garde des regards et des gestes,
Mad’moiselle n’a plus le cœur à vous conter le reste, du reste …
Elle dévore ses toutes envies toujours
Mais a toute la vie quand on parle d’amour
Elle glisse quelques notes à ce sujet
Qu’elle accrochera aux mots pour les chanter,
Mad’moiselle a peur du lâcher prise,
Envoyer valser la douleur et son emprise
Pas question de lire entre les lignes
De ces colères auxquelles elle cède,
C’est ainsi écrit à la mine
Dans le « journal de Julie Z » …
Epinglées aux pages cornées d’un Moleskine,
Griffonner deux ou trois bonnes résolutions,
Mad’moiselle n’a plus le cœur à les tenir de toutes façons …
Un polaroïd pris au piège d’un trombone,
C’est un homme sur le verso inscrit, un téléphone
Elle en garde des regards et des gestes,
Mad’moiselle n’a plus le cœur à vous conter le reste, du reste …
Elle dévore ses toutes envies toujours
Mais a toute la vie quand on parle d’amour
Elle glisse quelques notes à ce sujet
Qu’elle accrochera aux mots pour les chanter,
Mad’moiselle a peur du lâcher prise,
Envoyer valser la douleur et son emprise
Pas question de lire entre les lignes
De ces colères auxquelles elle cède,
C’est ainsi écrit à la mine
Dans le « journal de Julie Z » …
farfallina988- Nombre de messages : 14
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Date d'inscription : 21/03/2010
Venezia
Texte de Venezia, j'espère que c'est une bonne transcription, ne m'en veuillez pas si ce n'est pas le cas.
Venezia
Venezia come un transatlantico nell' acqua nera
Staccava dai palazzi l'ombra della sera
Come una bella idea che affonda
Oltre la scia dell'onda
Per ogni istante nella nebbia
Il canto della rabbia
Tranquilla
Lei tiene tra le dita una coppa di champagne
Sul ponte il suo profumo dolce l'accompagna
Come nel solito naufragio
Lei chiama l'equipaggio
Ma quell'equipaggio?
Salvate la poesia, gli amanti,
Salvate feste e i diamanti
L'amore i l' illlusione gentile
Ciò che non deve servire.
Da sola
Non serve che ricordi di ricevimenti e danze
Di carnevale, maschere in tutte le stanze
Non si interessa al sole e al vento
Non sa che cosa il tempo
Sola nell abito selvaggio
Supplica l'equipaggio
Ma quell'equipaggio?
Salvate la poesia, gli amanti
Salvate sogni e i diamanti
L'amore i l'illlusione gentil
Ciò che non deve servire
Salvate i sentimenti
Le perle i giuramenti
Della città tutto si perde
Salvate ciò che non serve
Salvate la poesia, gli amanti
Venezia
Venezia come un transatlantico nell' acqua nera
Staccava dai palazzi l'ombra della sera
Come una bella idea che affonda
Oltre la scia dell'onda
Per ogni istante nella nebbia
Il canto della rabbia
Tranquilla
Lei tiene tra le dita una coppa di champagne
Sul ponte il suo profumo dolce l'accompagna
Come nel solito naufragio
Lei chiama l'equipaggio
Ma quell'equipaggio?
Salvate la poesia, gli amanti,
Salvate feste e i diamanti
L'amore i l' illlusione gentile
Ciò che non deve servire.
Da sola
Non serve che ricordi di ricevimenti e danze
Di carnevale, maschere in tutte le stanze
Non si interessa al sole e al vento
Non sa che cosa il tempo
Sola nell abito selvaggio
Supplica l'equipaggio
Ma quell'equipaggio?
Salvate la poesia, gli amanti
Salvate sogni e i diamanti
L'amore i l'illlusione gentil
Ciò che non deve servire
Salvate i sentimenti
Le perle i giuramenti
Della città tutto si perde
Salvate ciò che non serve
Salvate la poesia, gli amanti
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Date d'inscription : 17/09/2007
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