La troupe Mozart Opéra Rock

Les invités présents aux NRJ Music Awards, le 23 Janvier prochain



Pour la 11ème année consécutive, la cérémonie des NRJ MUSIC AWARDS, l'événement musical de l'année, récompensera les artistes français et internationaux préférés du public en 2009 !

En direct du MIDEM, TF1 et NRJ vous réservent cette année encore un show exceptionnel, présenté par Nikos Aliagas, avec toujours plus de stars et de surprises.

Devenu un rendez-vous incontournable de la scène musicale, les plus grands artistes internationaux et français qui ont fait l'actualité en 2009 seront présents et nous offriront un spectacle grandiose :

THE BLACK EYED PEAS, MIKA, ROBBIE WILLIAMS, DIAM'S, DAVID GUETTA avec KELLY ROWLAND et AKON, COUR DE PIRATE, La troupe de MOZART, MICHAEL BUBLE, SUPERBUS, CHRISTOPHE WILLEM,CHRISTOPHE MAE, qui fera son grand retour et nous interprètera pour la première fois à la télévision son nouveau single, et bien d'autres...
Au cours de la soirée, 12 trophées seront remis aux meilleurs artistes par de prestigieux invités :José Garcia, Ingrid Chauvin, Toni Braxton, Emmanuel Moire, Lilian Thuram, Grégoire, Jérôme Commandeur, Bruno Solo, Malika Ménard " Miss France 2010 ", Virginie Hocq, Agnes, Chantal Lauby, Anne-Charlotte Pontabry, Pittbull, Béatrice Rosen,David et Cathy Guetta,Florian Gazan et Mustapha El Atrassi du 6/9 d'NRJ...

« Mozart, l’Opéra Rock » sort vainqueur de la 11ème cérémonie des NRJ Music Awards

Le public a massivement voté pour « Mozart l’Opéra Rock » qui remporte trois récompenses : « le prix du groupe français de l’année », celui de « la chanson française de l’année » et celui « de la révélation française de l’année ».

Florent Mothe, qui joue Salieri dans la comédie musicale, est le grand vainqueur de cette cérémonie présentée par Nikos Aliagas.

Claire Perot quitte Mozart !



La comédie musicale Mozart, l'opéra rock triomphe dans toute la France depuis plusieurs mois. Mais Claire Pérot, l'une des chanteuses, a décidé de quitter la troupe.
Mozart, l'opéra rock est la comédie musicale à succès du moment. Un disque dans le top 5 des meilleures ventes d'albums, des récompenses aux NRJ Music Awards et une tournée triomphale à travers toute la France.
Tout irait pour le mieux si l'un de ses membres n'avait pas décidé de quitter la troupe. En effet, Claire Pérot, qui interprète le rôle de Constance Weber, l'épouse de Mozart, a préféré arrêter sa participation au spectacle.
La jeune femme aurait eu une opportunité pour un rôle au cinéma. "Elle a eu une offre qu'elle ne pouvait pas refuser. Son premier grand rôle au cinéma ! Après, j'avais le choix : ou bien je lui disais non, et j'avais une comédienne qui entrait sur scène à contre-cœur, ou bien je la laissais partir et réaliser son rêve", a déclaré Dove Attia.
C'est désormais Diane Dassigny qui a pris la relève et incarne Constance Weber dans la troupe de Mozart l'opéra rock. Le spectacle repartira en tournée dans toute la France dès le 4 février prochain.

Mikelangelo Loconte interprète Wolfgang Amadeus dans « Mozart l'opéra rock ». Nous l'avons rencontré samedi dernier, entre deux représentations au Zénith de Lille. Il s'excusait d'être en retard, tenait à la main « L'Art zen du temps » et s'est raconté sans faux-semblants.

PAR CATHERINE PAINSET




metro@lavoixdunord.fr PHOTO MAX ROSEREAU

Il n'est pas exactement le genre de freluquet qu'on pourrait s'attendre à rencontrer. S'il interprète Wolf-gang Amadeus de l'adolescence à la mort, et s'il ne les fait ni de loin ni de près, Mikelangelo Loconte a tout de même 36 ans. Ce qui veut dire qu'avant de se trouver propulsé au centre du plus énorme spectacle de variété de ce début de siècle, l'Italien a vécu. Et qu'il ne repeint pas en rose vif tout ce qui lui arrive.
« Je ne voulais pas faire de comédie musicale », avoue-t-il. Il raconte comment Jean-Pierre Pilot, compositeur de Zazie, a proposé son nom à la production de Mozart. « Il est venu pour un concert à Liège, où j'habitais, on s'est croisé dans un bistrot. Je suis arrivé comme une espèce de rock star - à l'époque, j'étais comme un petit roi dans un petit royaume -, avec des nanas derrière moi, et il s'est dit " c'est qui celui- là, il se prend pour Mick Jagger ?". Et puis on s'est parlé. Après ça, il a dit à Dove (Attia) , "j'ai trouvé un mec qui s'y croit vraiment, un vrai fou". » Mais Mikelangelo n'a au-cune envie de se présenter à Paris pour « être contrôlé, vu et écouté », d'autant qu'il doute de l'opportunité du projet (« s'ils touchent même à Mozart, ça veut dire qu'ils ne sont plus gênés de rien... », pense-t-il à l'époque). Jean-Pierre Pilot insiste, lui dit : « C'est vraiment du pop-rock, pas une comédie musicale comme tu les as en tête, tu dois me faire confiance. » Alors il se laisse convaincre que ce sera « un spectacle élégant, avec beaucoup de couleurs, beaucoup de nouveautés ». Il accepte de se plier à une audition qui lui donnera le rôle : « Il paraît qu'ils le savaient dès que je suis monté sur scène, qu'ils ont pensé "pourvu qu'il sache chanter !".

Commence un long travail de préparation, où Mikelangelo tente, dit-il, de faire exister son Mozart comme une personne plus qu'un personnage.
Il s'inspire des mouvements de Peter Pan, travaille à ce que « chaque sentiment se lise sur (son) visage ». Il en parle même avec Éric Elmosnino, l'interprète de Gainsbourg au cinéma : « Il m'a dit "écoute, s'ils t'ont choisi et s'ils t'ont dit d'être toi, ça veut dire que tu dois être toi. Et au lieu de bosser en regardant les DVD de ce qu'ont fait les autres, va voir des films de quand t'étais enfant, et récupère la même énergie". » Reste un problème, son accent italien : « Juste avant la création, ils ont tous paniqué, ils m'ont envoyé chez l'orthophoniste. Et moi je refusais, j'étais en retard, je séchais... » C'est Dove Attia qui finit par donner des cours à son élève, y passant des samedis et des dimanches : « Il m'apprenait à parler français avec les césures. » Maintenant que le spectacle existe, Mikelangelo garde son franc-parler pour le commenter. Il adore les scènes fortes, celles « où il y a les vrais événements », mais n'aime pas « les endroits où on donne des informations, quand on explique au public, avec des paroles, ce que fait Mozart. Je ne supporte pas ça, c'est comme l'avoir hors-champ, quand on ne sait pas comment faire un film, parfois ».
Quant à ce qu'il fera après, Mikelangelo ne cache pas ses doutes : « Là, on est dans le danger et en même temps dans la fortune : on est acclamé, mais ça peut se terminer d'un moment à l'autre. Après, il faut trouver quelqu'un qui s'intéresse à nous, faire en sorte de sortir un album comme il faut et que ça marche bien. » Un album en français, parce qu'il a « des choses à dire ». On n'en doute pas.

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Les comédiens de « Mozart », hier à Lille : le froid n'a pas arrêté les fans.


| DÉDICACES |




Hier, la troupe de « Mozart, l'opéra rock » était en dédicace au Furet du Nord de Lille. ...

Un millier de personnes au total ont fait le déplacement. La librairie de la Grand-Place grouillait de monde et à l'extérieur, une longue file s'est formée atteignant presque les marches du Théâtre du Nord. En première ligne pour obtenir un autographe, Estelle, Sabrina et Virginie qui étaient parties de chez elles, dans le Pas-de-Calais, à 11 h pour être sûres de ne pas manquer leurs idoles. Estelle, 15 ans, en véritable fan, est même en quête de son deuxième autographe. Le premier, elle l'a eu lors d'une séance de dédicace exceptionnelle à la fin de la représentation du 6 février à Lille. L'émotion est pourtant intacte et Estelle confie, l'oeil déjà rougi des joies à venir : « La dernière fois, j'ai pleuré avant même qu'ils arrivent. » Certains viennent aussi « juste pour les apercevoir, parce qu'(ils) les ont vus dans les clips », comme Théotime, 14 ans. Sur la pointe des pieds, bras tendu vers les cieux et dans la main l'appareil photo ou le téléphone, tous sont prêts à immortaliser le moment tant attendu.

Après trente minutes d'une attente interminable, les portes de l'ascenseur s'ouvrent enfin, les flashs crépitent, des fans pleurent d'émotion, d'autres offrent leur plus beau sourire à leur idole et tous crient ou chantent lorsque Mozart fredonne, au micro, un air de la comédie musicale. À l'extérieur aussi, on chante ou on écoute de la musique pour se réchauffer. « On a froid, mais c'est pour une bonne cause », commente Vincent, qui brave les rigueurs de l'hiver juste pour accompagner sa copine. Et Mozart laisse peu à peu sa place à Saint-Valentin. • PAU. D.
PHOTOS PATRICK DELECROIX
Dernières représentations de « Mozart, l'opéra rock », aujourd'hui, à 15 h et 21 h, et demain à 14 h et 19 h, au Zénith de Lille. 63 à 39 E. Il reste encore quelques places.

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Un décor imposant, un feu d'artifice de musique et de lumière avec une cinquantaine d'acteurs - chanteurs -musiciens sur scène. « Mozart l'opéra rock » est la comédie musicale événement, et à très gros moyens, de ce début d'année. Elle s'offre onze représentations, devant 35 000 spectateurs, au Zénith de Lille.

PHOTOS MAX ROSEREAU

LILLE / LILLE
Puissante symphonie au Furet



La troupe de la comédie musicale « Mozart l'opéra rock » était au Furet du Nord de Lille hier pour une séance de dédicaces. Forcément, des centaines de fans étaient au rendez-vous

MORAD BELKADI > morad.belkadi@nordeclair.fr
Dans une certaine mesure, le génie de Salzbourg tient enfin sa revanche sur Antonio Salieri, son meilleur rival. En tout cas, les scènes qu'offrait hier après-midi le Furet du Nord, à Lille, pouvaient le laisser penser.
À l'entrée, c'est une file d'attente qui zigzague sur plusieurs mètres. « Certains étaient là depuis 6 h du matin », confie-t-on du côté des services de sécurité. Des fans excités à l'idée de rencontrer ceux qui, il faut bien l'avouer, ont fait, en l'espace d'une année, de Mozart l'opéra rock un véritable phénomène. Des spectacles à guichets fermés, des singles devenus des tubes et les interprètes de cette comédie musicale élevés au rang de star. « On a fait le concert dimanche à Lille, on a été au Palais des sports et on compte bien retourner pour une nouvelle représentation », lance Anne-Claude Ikherbane, venue avec ses deux filles de Merville, satisfaite d'avoir décroché un autographe sur le livre officiel de la troupe qu'elle garde précieusement dans sa main.

« Émeutes »
Pendant ce temps, les artistes assurent le show. Le public est lancé sur les paroles des titres de la comédie musicale. Les dédicaces s'enchaînent et la foule plonge de plus en plus dans une hystérie généralisée. Des cris, des pleurs et même une jeune fille qui finira par s'évanouir.
Pour Jeanine Glinkowski, une fan arrageoise prise au piège au coeur du tumulte, ce triomphe est amplement mérité. « Tout est bon chez eux, assure-t-elle, les chansons, les costumes, la chorégraphie et même les pointes d'humour pendant le show. J'ai vu d'autres comédies musicales comme le Roi Soleil, ça n'a rien à voir » Mais bizarrement, ce n'est pas Mikelangelo Loconte, le personnage principal qui interprète Mozart, qui décroche la palme de l'applaudimètre. Celui qui remporte les suffrages à l'unanimité, c'est Florent Mothe. Ses groupies voient en lui un « beau gosse » qui a une vraie « prestance sur scène ». Et justement sur scène, l'homme, bientôt la trentaine, vole la vedette à Mozart en jouant le rôle de... Salieri.
Finalement, la revanche du natif de Salzbourg n'est peut-être pas pour tout de suite.w

Mozart, l'opéra rock : Regardez Solal en rockstar avec Maeva, Mikelangelo et Florent dans le clip de "J'accuse mon père"