Roméo et Juliette
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Romeo et Juliette : découvrez le nouveau clip et des images du spectacle
Romeo et Juliette : A quelques jours du retour, découvrez le nouveau clip et des images du spectacle
Après 10 ans d'une tournée mondiale ovationnée par 5 millions de spectateurs, le spectacle de Gérard Presgurvic, remanié (nouveaux décors , nouveaux costumes, nouvel album à paraître le 25 janvier, contenant 9 titres inédits dont le single Avoir 20 ans), fait son grand retour en France, s'installant dès le 2 février et jusqu'au 4 avril au Palais des Congrès de la capitale avant de tourner en province. Un événement que la troupe n'a pas hésité à fêter par avance
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Re: Roméo et Juliette
C'est du pur Gérard Presgurvic, ça s'entend, au niveau de la musique, de la mélodie, des paroles et des rimes.
Après dommage pour Cecilia Cara, si emblématique ! Mais bon, elle est occupée ailleurs et elle a quand même tenue le rôle principal pendant 2 ans sans se faire remplacer, à 17 ans !(tiens ça me rappelle quelqu'un... au moins pour l'âge)
Ainsi, même si ça fait un sacré bout de temps qu'on le sait c'est Joy Esther qui a repris le rôle depuis la tournée d'Asie.
Alors on ne pas la comparer à Cecilia, ça ne serait pas lui rendre service sachant qu'elle est juste en dessous.
Donc même si Joy Esther n'est pas Cecilia Cara, ce que j'ai vu et entendu d'elle me fait dire qu'elle est très bien. Evidement on ne pourra conclure qu'après l'avoir vue sur scène, mais tout cela laisse présager de belle choses.
Tout ça pour dire qu'avant, c'est-à-dire il y a une heure, j'étais sur une peut être pour une place gratuite, et maintenant, je suis entre un peut être et un surement pour une place payante.
Après dommage pour Cecilia Cara, si emblématique ! Mais bon, elle est occupée ailleurs et elle a quand même tenue le rôle principal pendant 2 ans sans se faire remplacer, à 17 ans !(tiens ça me rappelle quelqu'un... au moins pour l'âge)
Ainsi, même si ça fait un sacré bout de temps qu'on le sait c'est Joy Esther qui a repris le rôle depuis la tournée d'Asie.
Alors on ne pas la comparer à Cecilia, ça ne serait pas lui rendre service sachant qu'elle est juste en dessous.
Donc même si Joy Esther n'est pas Cecilia Cara, ce que j'ai vu et entendu d'elle me fait dire qu'elle est très bien. Evidement on ne pourra conclure qu'après l'avoir vue sur scène, mais tout cela laisse présager de belle choses.
Tout ça pour dire qu'avant, c'est-à-dire il y a une heure, j'étais sur une peut être pour une place gratuite, et maintenant, je suis entre un peut être et un surement pour une place payante.
gibe2008- Nombre de messages : 516
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Romeo et Juliette, ultimes répétitions avant le retour sur scène en France, de février à avril 2010
Romeo et Juliette : Regardez les ultimes répétitions, au naturel, des pompes et acrobaties... aux baisers
Le sommeil risque d'être difficile à trouver, pour la troupe de Romeo et Juliette, spectacle qui fait son retour sur les planches du Palais des Sports de Paris, dès ce 2 février et jusqu'au 4 avril, après dix années d'absence consacrées à une tournée internationale ovationnée.
La version "actualisée" de la comédie musicale proposée par Gérard Presgurvic, dont nous vous avions dévoilé en exclusivité les coulisses à son retour en France, a connu quelques évolutions, aussi bien du côté du livret et de la partition (un nouvel album est paru, contenant neuf titres inédits, dont le single Avoir 20 ans et son clip), que de la troupe, des costumes et de la mise en scène.
Après vous avoir invités aux dernières répétitions axées sur les ballets et autres éléments chorégraphiques, découvrez ci-dessous, à la veille de la "première" de ce Romeo et Juliette 2010, les ultimes répétitions, en conditions réelles : sous l'oeil scrutateur de Gérard et sa femme Evelyne, Damien Sargue (Romeo), Joy Esther (Juliette), sa femme à la ville, John Eyzen (ex-Star Ac', Mercutio) et les autres ne ménagent pas leur peine. Mais comme c'est un spectacle "de la haine à l'amour", après la violence des pompes vient... la douceur des baisers !
G.J.
http://www.purepeople.com/
Le sommeil risque d'être difficile à trouver, pour la troupe de Romeo et Juliette, spectacle qui fait son retour sur les planches du Palais des Sports de Paris, dès ce 2 février et jusqu'au 4 avril, après dix années d'absence consacrées à une tournée internationale ovationnée.
La version "actualisée" de la comédie musicale proposée par Gérard Presgurvic, dont nous vous avions dévoilé en exclusivité les coulisses à son retour en France, a connu quelques évolutions, aussi bien du côté du livret et de la partition (un nouvel album est paru, contenant neuf titres inédits, dont le single Avoir 20 ans et son clip), que de la troupe, des costumes et de la mise en scène.
Après vous avoir invités aux dernières répétitions axées sur les ballets et autres éléments chorégraphiques, découvrez ci-dessous, à la veille de la "première" de ce Romeo et Juliette 2010, les ultimes répétitions, en conditions réelles : sous l'oeil scrutateur de Gérard et sa femme Evelyne, Damien Sargue (Romeo), Joy Esther (Juliette), sa femme à la ville, John Eyzen (ex-Star Ac', Mercutio) et les autres ne ménagent pas leur peine. Mais comme c'est un spectacle "de la haine à l'amour", après la violence des pompes vient... la douceur des baisers !
G.J.
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"Roméo & Juliette" : nous y étions !
"Roméo & Juliette" : nous y étions !
La comédie musicale de Gérard Presgurvic, "Roméo & Juliette", a repris ses activités en France, dix ans après avoir été lancée, au Palais des Congrès. La rédaction de Charts in France était présente pour la Générale, jeudi dernier : découvrez la chronique d'Hédia Charni !
Jeudi 4 février 2010, le tout Paris s’est pressé à la Générale de la nouvelle version du spectacle musical "Roméo & Juliette" - dix ans après sa création. Dès 2001, ses chansons devenues des classiques avaient inondé l’hexagone, notamment "Les Rois du monde", l’un des titres les plus vendues à l’époque (17 semaines non-consécutives n°1 du Top !).
Même si c'est en France que tout a commencé, le show s’est exporté depuis dans 17 pays en Europe, en Asie et outre-Atlantique. Fort du succès international rencontré par le “Musical”, Gérard Presgurvic a souhaité retrouver son premier public.
Ainsi, Patrick Bruel, Michel Boujenah, Manu Katché, Lââm, et même le rappeur Kool Shen, sont venus soutenir cette reprise, au cœur d’un Palais des Congrés archi-comble, malgré 45 minutes de retard, et quelques “couacs” dans l'organisation.
A cette occasion, Gérard Presgurvic avait écrit et composé, neuf titres inédits à découvrir sur scène et dans l’album, dont la nouvelle mouture est en bacs depuis le 25 janvier dernier - avec une timide apparition n°80 de nos charts, agrémenté pourtant des deux nouveaux singles "Avoir 20 ans" et "On prie".
En rescapé du casting original : Damien Sargue, qui a (enfin) abandonné sa longue chevelure, dans le rôle du torturé Roméo. Joy Esther (révélée en 2004 par la comédie musicale "Belles, belles, belles"), Madame Sargue à la ville, reprend avec conviction le rôle de la belle Juliette, en lieu et place de Cécilia Cara (partie notamment sur "Grease" et plus récemment "Bonnie & Clyde"...).
Mais la vraie révélation de ce spectacle est John Eyzen (notre photo ci-dessus), issu de la quatrième saison de "Star Academy", jouant Mercutio depuis trois ans (en Asie déjà), et reprenant donc le rôle créé en 2000 par l'artiste belge Philippe d'Avilla. Comme lui a glissé Julie Piétri à l’oreille, lors du cocktail after-show, ce garçon a «l’œil du tigre». Exit donc le jeune homme timide qui a grandi sous l’œil des caméras de TF1. John est un vrai grand second rôle, il a pris de l’étoffe, de la valeur et de l’expérience.
Alors, si le public ne chantait pas en chœur les tubes du spectacle, il semblait par ailleurs emporté par le show, malgré un deuxième acte traînant en longueur. Un ennui dont la salle, saisie d’une impatiente frénésie aux premières notes des "Rois du monde" ou d’"Aimer", ne s'est pas cachée.
Le meilleur moment de la comédie musicale reste sans conteste l’incroyable solo, "Avoir une fille" d’Arié Itah aka le comte Montaigu, qui endossait déjà en 2003 le rôle du père de Scarlet O’Hara dans la comédie musicale du même créateur, "Autant en emporte le vent".
Lors du rappel, Gérard Presgurvic visiblement ému, est apparu sous les applaudissements de la salle et de son équipe pour partager quelques mots sur scène.
De retour à Paris après presque dix ans d'absence, et cinq millions de spectateurs à travers le monde, "Roméo & Juliette" retrouve donc la scène du Palais des Congrès du 2 février au 4 avril 2010 pour quarante-deux représentations exceptionnelles, avant de partir en tournée en France, Suisse et Belgique, à partir de l’automne prochain. A suivre...
http://www.chartsinfrance.net
La comédie musicale de Gérard Presgurvic, "Roméo & Juliette", a repris ses activités en France, dix ans après avoir été lancée, au Palais des Congrès. La rédaction de Charts in France était présente pour la Générale, jeudi dernier : découvrez la chronique d'Hédia Charni !
Jeudi 4 février 2010, le tout Paris s’est pressé à la Générale de la nouvelle version du spectacle musical "Roméo & Juliette" - dix ans après sa création. Dès 2001, ses chansons devenues des classiques avaient inondé l’hexagone, notamment "Les Rois du monde", l’un des titres les plus vendues à l’époque (17 semaines non-consécutives n°1 du Top !).
Même si c'est en France que tout a commencé, le show s’est exporté depuis dans 17 pays en Europe, en Asie et outre-Atlantique. Fort du succès international rencontré par le “Musical”, Gérard Presgurvic a souhaité retrouver son premier public.
Ainsi, Patrick Bruel, Michel Boujenah, Manu Katché, Lââm, et même le rappeur Kool Shen, sont venus soutenir cette reprise, au cœur d’un Palais des Congrés archi-comble, malgré 45 minutes de retard, et quelques “couacs” dans l'organisation.
A cette occasion, Gérard Presgurvic avait écrit et composé, neuf titres inédits à découvrir sur scène et dans l’album, dont la nouvelle mouture est en bacs depuis le 25 janvier dernier - avec une timide apparition n°80 de nos charts, agrémenté pourtant des deux nouveaux singles "Avoir 20 ans" et "On prie".
En rescapé du casting original : Damien Sargue, qui a (enfin) abandonné sa longue chevelure, dans le rôle du torturé Roméo. Joy Esther (révélée en 2004 par la comédie musicale "Belles, belles, belles"), Madame Sargue à la ville, reprend avec conviction le rôle de la belle Juliette, en lieu et place de Cécilia Cara (partie notamment sur "Grease" et plus récemment "Bonnie & Clyde"...).
Mais la vraie révélation de ce spectacle est John Eyzen (notre photo ci-dessus), issu de la quatrième saison de "Star Academy", jouant Mercutio depuis trois ans (en Asie déjà), et reprenant donc le rôle créé en 2000 par l'artiste belge Philippe d'Avilla. Comme lui a glissé Julie Piétri à l’oreille, lors du cocktail after-show, ce garçon a «l’œil du tigre». Exit donc le jeune homme timide qui a grandi sous l’œil des caméras de TF1. John est un vrai grand second rôle, il a pris de l’étoffe, de la valeur et de l’expérience.
Alors, si le public ne chantait pas en chœur les tubes du spectacle, il semblait par ailleurs emporté par le show, malgré un deuxième acte traînant en longueur. Un ennui dont la salle, saisie d’une impatiente frénésie aux premières notes des "Rois du monde" ou d’"Aimer", ne s'est pas cachée.
Le meilleur moment de la comédie musicale reste sans conteste l’incroyable solo, "Avoir une fille" d’Arié Itah aka le comte Montaigu, qui endossait déjà en 2003 le rôle du père de Scarlet O’Hara dans la comédie musicale du même créateur, "Autant en emporte le vent".
Lors du rappel, Gérard Presgurvic visiblement ému, est apparu sous les applaudissements de la salle et de son équipe pour partager quelques mots sur scène.
De retour à Paris après presque dix ans d'absence, et cinq millions de spectateurs à travers le monde, "Roméo & Juliette" retrouve donc la scène du Palais des Congrès du 2 février au 4 avril 2010 pour quarante-deux représentations exceptionnelles, avant de partir en tournée en France, Suisse et Belgique, à partir de l’automne prochain. A suivre...
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Re: Roméo et Juliette
Donc Roméo & Juliette "les Enfants de Verone"
Je suis allé voir ça hier.
On s'engage pour une petite comparaison avec le spectacle originel évidement.
Il faut d'abords savoir que ce spectacle part avec un très gros handicap par rapport au premier, car, comme tout le monde le sait, Cécilia Cara ne joue pas dedans, alors évidement, vue qu'elle est juste en-dessous, il est évident que ce sera moins bien...
Sachant cela, les décors sont beaucoup plus aboutis, on vraiment un style qui se veut italien, après la renaissance. Les costumes sont plus moderne, plus près du corps, tout en conservant l'esprit que l'on avait sur le premier. Les chorégraphies sont bien meilleurs tout à l'air beaucoup plus rodé on n'a plus l'impression de voir des danseurs faire leur trucs chacuns de leur côté, on a vraiment affaire à un groupe de danseurs qui éxecute les mêmes mouvements. De façon plus général, la mise en scène est meilleur que sur le premier.
Ensuite, on avait noté certains problèmes de transitions entre certaines scènes, il est vrai que par moments on passe du coq à l'âne sans un petit quelque chose entre les deux pour l'expliquer. Alors qu'à l'orgine tout était fluide.
Autre inconvénient, certains acteurs manquent de charisme, Cyril Niccolai pour Benvolio, qui n'a pas du tout la la présence de Gregory Baquet, Ida Gordon pour la Nurse qui est beaucoup trop jeune pour son rôle, Arié Itah pour le comte Capulet qui joue moins bien que Sebastien Chato. Et Joy Esther, qui s'en sort pas mal, mais qui ne joue pas aussi bien que Cécilia Cara.
Je disais que la mise en scène était meilleur, disons que les tableaux sont beaucoup plus en cohérence avec les chansons qu'ils accompagnent.
Le personnage de la Mort est utilisée à meilleur éscient, il est moins présent et donc ses passages sont bien plus remarquables, en plus, le jeu de la fille qui l'interprète, la façon dont elle se déplace, ses tiques et ses mimiques, ses sourirs de dément, donnent vraiment l'impression qu'on à affaire à une psychopathe bonne pour pour la camisole à vie, et cette poudre, qu'elle disperse autour d'elle quand elle bouge, fait comme une aura, on prend tout de suite conscience qu'elle n'est pas comme les autre personnage, elle est beaucoup plus effrayante que l'orginelle.
Enfin, il y a un truc qui m'a marqué, les danseuses...mais les danseuses un truc de fou, elles ne m'avaient pas du tout marqué sur le premier, encore quand je le regarde le DVD, elles ne me font ni chaud, ni froid, alors que là elles sont vraiment..., je les regardais plus que les acteurs, en plus au premier rang j'en ai bien profité. Par contre il ne faut pas se fier au trombinoscope du programme, les photos ne sont pas terribles.
Donc, j'ai adoré malgré, l'absence de Cécilia Cara encore une fois, ce spectacle est génial et même mon "beau-père", qui est pas très spectacle, dit lui-même que c'est à voir et moi j'ajoute à revoir.
Je suis allé voir ça hier.
On s'engage pour une petite comparaison avec le spectacle originel évidement.
Il faut d'abords savoir que ce spectacle part avec un très gros handicap par rapport au premier, car, comme tout le monde le sait, Cécilia Cara ne joue pas dedans, alors évidement, vue qu'elle est juste en-dessous, il est évident que ce sera moins bien...
Sachant cela, les décors sont beaucoup plus aboutis, on vraiment un style qui se veut italien, après la renaissance. Les costumes sont plus moderne, plus près du corps, tout en conservant l'esprit que l'on avait sur le premier. Les chorégraphies sont bien meilleurs tout à l'air beaucoup plus rodé on n'a plus l'impression de voir des danseurs faire leur trucs chacuns de leur côté, on a vraiment affaire à un groupe de danseurs qui éxecute les mêmes mouvements. De façon plus général, la mise en scène est meilleur que sur le premier.
Ensuite, on avait noté certains problèmes de transitions entre certaines scènes, il est vrai que par moments on passe du coq à l'âne sans un petit quelque chose entre les deux pour l'expliquer. Alors qu'à l'orgine tout était fluide.
Autre inconvénient, certains acteurs manquent de charisme, Cyril Niccolai pour Benvolio, qui n'a pas du tout la la présence de Gregory Baquet, Ida Gordon pour la Nurse qui est beaucoup trop jeune pour son rôle, Arié Itah pour le comte Capulet qui joue moins bien que Sebastien Chato. Et Joy Esther, qui s'en sort pas mal, mais qui ne joue pas aussi bien que Cécilia Cara.
Je disais que la mise en scène était meilleur, disons que les tableaux sont beaucoup plus en cohérence avec les chansons qu'ils accompagnent.
Le personnage de la Mort est utilisée à meilleur éscient, il est moins présent et donc ses passages sont bien plus remarquables, en plus, le jeu de la fille qui l'interprète, la façon dont elle se déplace, ses tiques et ses mimiques, ses sourirs de dément, donnent vraiment l'impression qu'on à affaire à une psychopathe bonne pour pour la camisole à vie, et cette poudre, qu'elle disperse autour d'elle quand elle bouge, fait comme une aura, on prend tout de suite conscience qu'elle n'est pas comme les autre personnage, elle est beaucoup plus effrayante que l'orginelle.
Enfin, il y a un truc qui m'a marqué, les danseuses...mais les danseuses un truc de fou, elles ne m'avaient pas du tout marqué sur le premier, encore quand je le regarde le DVD, elles ne me font ni chaud, ni froid, alors que là elles sont vraiment..., je les regardais plus que les acteurs, en plus au premier rang j'en ai bien profité. Par contre il ne faut pas se fier au trombinoscope du programme, les photos ne sont pas terribles.
Donc, j'ai adoré malgré, l'absence de Cécilia Cara encore une fois, ce spectacle est génial et même mon "beau-père", qui est pas très spectacle, dit lui-même que c'est à voir et moi j'ajoute à revoir.
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